Macron n’a qu’un Seul Plan : la Guerre, la Guerre, la Guerre ! (Et vous Payez)

Le 22 mars à 12h30, Mike Borowski dénonce le sommet du 27 mars comme l’outil de Macron et des 27 pour empêcher la paix et imposer guerre, contrôle et dépopulation.

L’Europe pousse à la guerre contre la Russie

L’annonce d’un sommet à Paris, prévu le 27 mars, réunissant Emmanuel Macron, Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens, confirme une dynamique belliqueuse assumée. Ce rendez-vous diplomatique n’a rien d’un appel à la paix. Il s’inscrit au contraire dans une logique d’intensification du conflit militaire avec la Russie, sous couvert de solidarité européenne. Derrière les mots creux sur la “souveraineté ukrainienne” ou la “sécurité européenne”, se cache un plan clair : alimenter l’hostilité contre Moscou pour empêcher toute négociation de sortie de crise. Ce sommet n’aura qu’un but : renforcer l’aide militaire et verrouiller l’Europe dans une confrontation directe avec la Russie.

L’Europe, au lieu de se positionner comme force de médiation, alimente la polarisation. Berlin annonce dans le même temps un plan d’aide militaire supplémentaire de 3 milliards d’euros. Ces fonds ne visent pas à stabiliser la région, mais à prolonger la guerre. La diplomatie est enterrée, et la stratégie est limpide : maintenir le chaos pour garantir l’alignement des opinions publiques sous prétexte de “résistance”. Dans ce schéma, Macron joue un rôle central. Il orchestre la mise en scène d’un front uni contre la Russie tout en s’arrogeant une posture de leader européen. En réalité, il agit comme le joker de l’État profond, dont l’objectif est de transformer l’Europe en base arrière d’un conflit qui dépasse de loin les intérêts des peuples du continent.

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La paix rend impossible le programme globaliste

Le refus catégorique d’une paix négociée ne découle pas d’un excès de zèle, mais d’une stratégie globale. L’inflation, la dette, le contrôle numérique, et la dépopulation ne peuvent être imposés qu’en temps de guerre. Le chaos extérieur justifie toutes les dérives intérieures. La peur d’un conflit généralisé sert de levier pour faire accepter aux populations des sacrifices économiques, des lois liberticides, et une réorganisation complète des sociétés. Ce n’est pas une coïncidence si la guerre en Ukraine est entretenue avec autant de zèle par les institutions européennes. Elle est l’outil indispensable pour faire passer un agenda qui n’aurait jamais été accepté en temps de paix.

Les politiques de contrôle social qui se mettent en place dans tous les pays occidentaux — identités numériques, monnaies numériques de banque centrale, surveillance généralisée — s’appuient sur l’argument sécuritaire. La guerre joue ici un rôle fondamental : elle rend l’exception permanente. L’instabilité géopolitique permet aux gouvernements d’agir sans contre-pouvoirs, de contourner les débats démocratiques, et de faire taire les dissidences sous l’accusation de “propagande pro-russe”. Dans ce cadre, Macron incarne l’agent exécutif d’un projet qui n’a rien à voir avec les intérêts de la France, mais tout à voir avec la mise en œuvre d’un nouvel ordre technocratique transnational.

Zelensky, otage politique des 27

Volodymyr Zelensky n’est plus maître de ses décisions. Maintenu sous perfusion financière et militaire par les 27 États membres de l’UE, il est devenu le symbole d’un leadership artificiel, instrumentalisé par l’Otan et l’Union européenne. Les appels à la paix, les offres de médiation, les perspectives de compromis sont systématiquement écartés, non pas par Kiev, mais par ses parrains occidentaux. Il n’a plus la possibilité politique de signer un accord avec la Russie. Cela signerait sa chute immédiate, et celle du narratif sur lequel repose l’engagement occidental depuis 2022. En ce sens, l’Europe monte la tête de Zelensky pour qu’il ne signe jamais la paix.

Ce contrôle étroit sur Kiev permet de maintenir un front uni en apparence, alors que les opinions publiques commencent à douter de la légitimité et de l’utilité d’une guerre sans fin. La propagande de guerre, diffusée massivement par les médias occidentaux, repose sur la victimisation permanente de l’Ukraine et la diabolisation systématique de la Russie. Or cette manipulation ne tient que par la surenchère. La paix deviendrait une menace existentielle pour les élites politiques européennes, qui ont bâti leur crédibilité sur une opposition frontale à Moscou. Zelensky est ainsi maintenu dans une posture de guerre permanente, prisonnier d’un récit fabriqué par des intérêts qui le dépassent.

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