Danger Tabou : la Véritable Finalité de l’idéologie Lgbt

DANGER TABOU : LA VÉRITABLE FINALITÉ DE L’IDÉOLOGIE LGBT | GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Le 11 mars à 19h, Alexandra Brazzainville, Vincent Mc Doom et Jean-Luc Robert sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.

Alexandra Brazzainville est une personne intersexe atteinte du syndrome de Klinefelter, une condition génétique caractérisée par la présence de deux chromosomes X et d’un chromosome Y. Forte de son expérience et de son parcours, elle s’engage activement dans la dénonciation des dérives de certaines associations LGBT concernant la transition des mineurs et œuvre avec détermination pour la protection des enfants contre toutes formes de violence.

Vincent Mc Doom est un styliste et animateur de télévision. Marqué par une enfance difficile, il s’initie à la mode avant de travailler pour des maisons prestigieuses comme Yves Saint-Laurent et Guy Laroche. Il se fait connaître du grand public en 2004 grâce à La Ferme Célébrités. Engagé dans la lutte contre les violences faites aux enfants, il a fondé la Blue Angel Foundation pour soutenir les jeunes victimes d’abus.

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Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, Neuro divers +, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, dévoilant les dangers de la marchandisation de la santé mentale.

L’idéologie transgenre un programme d’ingénierie sociale

Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, la promotion de l’idéologie transgenre a pris une ampleur inédite. Loin d’être un simple mouvement social, elle est imposée par des institutions qui contrôlent l’éducation, la culture et les médias. Cette offensive s’accompagne d’une répression féroce contre toute critique, tandis que des associations militantes bénéficient de financements publics pour endoctriner la jeunesse.

Dans les écoles, les enfants sont exposés à des interventions qui les poussent à remettre en question leur identité biologique. Des manuels scolaires effacent la réalité du dimorphisme sexuel au profit d’une vision idéologique où « le genre » serait un choix individuel. En parallèle, le cinéma, la publicité et les médias imposent systématiquement des figures transgenres comme nouveaux modèles sociétaux. Loin de se limiter à la défense d’une minorité, cette stratégie vise à redéfinir les normes anthropologiques fondamentales.

Intersexuation et transgenrisme une récupération mensongère

L’un des arguments phares des militants trans est de prétendre que les personnes intersexes seraient la preuve de l’existence d’un « troisième sexe ». Or, cette manipulation est dénoncée par Alexandra, elle-même née avec un trouble du développement sexuel. Elle rappelle une réalité scientifique indiscutable : l’intersexuation est une pathologie, non une identité de genre.

Contrairement aux transgenres qui choisissent de modifier leur apparence, les personnes intersexes subissent une dualité biologique qui ne dépend pas d’une revendication personnelle. L’idéologie transgenre pousse aujourd’hui des adolescents en pleine crise identitaire vers des traitements irréversibles, comme les bloqueurs de puberté et les opérations chirurgicales.

Ce basculement est une rupture avec la rigueur médicale qui prévalait encore il y a quelques décennies. La psychiatrie et l’endocrinologie permettaient autrefois d’aider les jeunes à accepter leur corps. Désormais, tout enfant qui exprime un mal-être est immédiatement orienté vers la transition, dans une logique purement idéologique.

Aussi, le Serment d’Hippocrate impose aux médecins de ne pas nuire. Pourtant, prescrire des traitements hormonaux irréversibles et des chirurgies mutilantes à des patients, parfois mineurs, va à l’encontre de ce principe fondamental. Ceux qui ont violé ce serment devraient être jugés et condamnés pour avoir sacrifié l’éthique médicale sur l’autel de l’idéologie.

Un gouvernement qui protège les lobbies et étouffe les scandales

Si l’idéologie transgenre bénéficie d’un soutien total de l’État, les affaires de pédocriminalité impliquant des figures du pouvoir sont, elles, systématiquement enterrées. L’affaire Duhamel, les accusations contre Jack Lang ou encore les réseaux liés aux cercles de pouvoir ont été protégés par le silence médiatique et judiciaire.

Le contraste est saisissant : d’un côté, une répression féroce s’abat sur ceux qui critiquent l’idéologie transgenre, sous prétexte de « transphobie ». De l’autre, les élites impliquées dans des crimes contre des enfants sont couvertes par l’appareil d’État. Macron et son gouvernement n’ont eu de cesse de bloquer les enquêtes qui risquaient d’exposer des figures influentes de la politique, des médias et de la finance.

En parallèle, les associations LGBT, massivement financées, imposent une vision sexualisée de l’enfance sous couvert d’éducation à la tolérance. Certaines d’entre elles prônent une abolition progressive des repères biologiques et familiaux, préparant le terrain à des dérives inquiétantes. Derrière l’offensive transgenre, se cache une stratégie plus large : effacer les limites naturelles pour ouvrir la voie à un marché du corps sans entraves, que ce soit à travers la médicalisation forcée des enfants ou d’autres formes d’exploitation.

Le lobby transgenre un cheval de Troie institutionnel

Loin d’être un simple phénomène militant, l’idéologie transgenre est aujourd’hui un outil de contrôle social utilisé par les élites. Le gouvernement Macron, à travers ses financements massifs aux associations LGBT, orchestre cette mutation anthropologique. Derrière la façade de la « tolérance », c’est une déconstruction totale des repères naturels qui est imposée.

Les associations transgenres, soutenues par des multinationales et des lobbies pharmaceutiques, sont les fers de lance de cette révolution culturelle. Elles militent pour des transitions de plus en plus précoces, quitte à condamner des enfants à une médicalisation à vie. Le marché des hormones et des opérations chirurgicales représente un business colossal, qui explique en partie cet acharnement à imposer l’idéologie du genre.

Loin de toute approche scientifique, le discours transgenre repose sur des dogmes idéologiques. La biologie est niée, le langage est déformé, et toute opposition est criminalisée sous prétexte de « transphobie ». Ce contrôle du narratif médiatique empêche tout débat démocratique et sert à imposer un nouvel ordre social fondé sur la confusion identitaire.

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