L’enfer : les Élites Gauchistes Étaient de Sortie pour vous Expliquer la Vie

L’ENFER : LES ÉLITES GAUCHISTES ÉTAIENT DE SORTIE POUR VOUS EXPLIQUER LA VIE | GPTV

Le 23 mars à 12h30, Mike Borowski vous attend pour un direct sur un sujet brûlant d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde :

Samedi 22 mars 2025, plus de 150 artistes et figures publiques gauchistes, parmi lesquels Annie Ernaux, Médine, Guillaume Meurice ou encore Assa Traoré, se sont réunis pour manifester contre le racisme et l’extrême droite.

Une mobilisation en apparence noble, relayée avec zèle par les médias dominants, qui contraste violemment avec leur silence total face à des atteintes majeures aux libertés fondamentales survenues lors de la crise du Covid-19. Ce double standard révèle une dissonance cognitive flagrante et une manipulation idéologique orchestrée.

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Quand la liberté devient à géométrie variable

Durant la crise sanitaire, la France a mis en place des mesures liberticides d’une ampleur inédite : pass sanitaire obligatoire pour accéder à des lieux publics, suspension des soignants, pompiers et personnels administratifs non vaccinés, pression sociale et professionnelle insupportable sur les réfractaires à l’injection. En tout, plus de 15 000 professionnels de santé ont été suspendus, certains sans indemnité ni recours, pour avoir simplement défendu leur droit au consentement libre et éclairé.

Où étaient ces artistes à ce moment-là ? Annie Ernaux, voix prétendument engagée, a-t-elle prononcé le moindre mot pour dénoncer ces décisions iniques ? Médine, si prompt à s’indigner contre l’islamophobie d’État, s’est-il élevé publiquement contre l’humiliation institutionnelle infligée à des milliers de soignants ? Guillaume Meurice, humoriste de France Inter, plus enclin à moquer les “complotistes” qu’à défendre les libertés fondamentales, a préféré ridiculiser toute opposition au narratif officiel. Quant à Assa Traoré, militante acharnée contre les violences policières, a-t-elle seulement levé le petit doigt face à la militarisation de l’espace public durant les confinements ?

Ce silence n’est pas un oubli. C’est un choix politique. Et ce choix révèle une vérité dérangeante : pour ces artistes, la liberté ne vaut que lorsqu’elle sert un agenda idéologique bien défini.

La dissonance cognitive comme ligne de conduite

La dissonance cognitive est cette capacité à soutenir des idées contradictoires tout en se croyant moralement cohérent. Elle est devenue la norme dans les milieux artistiques subventionnés. Ces figures publiques ont soutenu, voire justifié, l’exclusion sociale de citoyens non injectés au nom de la “solidarité”, tout en se réclamant aujourd’hui des droits de l’homme et de l’égalité.

Ils ont applaudi aux restrictions, brandi le “Tous vaccinés, tous protégés”, insulté ceux qui réclamaient la liberté de choix. Puis, sans honte, ils défilent aujourd’hui contre un “climat de haine” qu’ils ont eux-mêmes contribué à nourrir pendant des mois en diabolisant une partie de la population.

Les exemples sont légion : Camélia Jordana, figure de la gauche bien-pensante, a accusé la France de racisme systémique tout en militant pour la vaccination de masse et le contrôle numérique via le pass. L’actrice Juliette Binoche, aujourd’hui très active sur les enjeux climatiques, s’est distinguée par un silence complet durant les mois où les soignants étaient humiliés. À aucun moment, ces voix dites “libres” n’ont remis en cause le chantage vaccinal, ni dénoncé la censure massive qui frappait médecins, chercheurs ou journalistes dissidents.

Des porte-voix du pouvoir déguisés en résistants

Derrière l’étiquette de l’engagement citoyen, c’est en réalité un alignement servile sur les mots d’ordre du pouvoir qui se dessine. Subventionnés, invités permanents des plateaux de France Télévisions ou d’Arte, ces artistes n’ont rien d’opposants. Ce sont des vecteurs de propagande soft, habillés de vertus humanistes mais totalement soumis à l’idéologie dominante.

Lorsqu’il fallait défendre les libertés réelles, celles de travailler, de soigner, de respirer sans QR code, ils ont disparu. Lorsqu’il s’agit aujourd’hui de dénoncer une “haine d’État”, ils ressortent les pancartes et se présentent comme la conscience morale du pays. Ce n’est pas seulement une contradiction. C’est une stratégie d’occupation culturelle.

En refusant de défendre les opprimés réels — les soignants suspendus, les étudiants exclus des universités, les citoyens discriminés sur base sanitaire — ces artistes ont choisi leur camp : celui du contrôle, de la soumission et de l’amnésie sélective.

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