Au cœur de la manifestation LFI contre l’islamophobie

Manifestation LFI 11 mai 2025 : un défilé sous tension entre islamisme, antiracisme et hostilité aux médias. Retour sur une journée explosive. Manifestation LFI 11 mai 2025 : un défilé sous tension entre islamisme, antiracisme et hostilité aux médias. Retour sur une journée explosive.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Découvrez le reportage exclusif de Mike Borowski sur la manifestation LFI du 11 mai 2025, où islamistes et ultragauche se mêlent, diffusé le 20 mai à 17h sur GPTV Investigation.
  • Le cortège, censé lutter contre l’islamophobie, trahit une ligne politique hostile à l’État-nation, avec des slogans anti-police et des drapeaux palestiniens.
  • L’équipe de GPTV agressée par le service d’ordre LFI pour avoir organisé un débat controversé, illustrant l’étroitesse idéologique et la censure brutale du mouvement.
  • LFI instrumentalise la mort d’Aboubakar Cissé pour nourrir un narratif antirépublicain et justifier l’alliance avec l’islamisme radical.

Le 20 mai à 17h, Mike Borowski vous invite à découvrir son reportage exclusif tourné au cœur de la manifestation LFI du 11 mai à Paris, sur GPTV Investigation.

Manifestation LFI 11 mai 2025 : une marche révélatrice de fractures idéologiques

Le 11 mai 2025, La France Insoumise a défilé de Bastille à Nation sous la bannière d’une prétendue lutte contre l’islamophobie. L’événement, présenté comme un hommage à Aboubakar Cissé, assassiné dans une mosquée du Gard, s’est rapidement transformé en tribune idéologique.

Derrière les slogans antiracistes, la réalité de la mobilisation révèle un tout autre visage. Le cortège était dominé par une convergence militante où islamistes, antifas et figures de l’ultragauche se mêlaient sans ambiguïté. Les pancartes dénonçant la police, les cris contre la République et la surreprésentation de drapeaux palestiniens trahissaient une ligne politique clairement assumée : celle d’un islamo-gauchisme sans filtre, hostile aux fondements même de l’État-nation.

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Dans ce climat tendu, notre présence sur place pour couvrir l’événement a suscité une hostilité immédiate. Alors que nous allions interroger le député LFI Carlos Martens Bilongo, le service d’ordre insoumis nous a agressés physiquement, nous arrachant notre bonnette marquée GPTV. Motif invoqué : nous serions « fachos » pour avoir organisé un débat entre Alain Soral et Fabrice Di Vizio. Cette réaction violente illustre parfaitement l’étroitesse idéologique d’un mouvement qui prône la tolérance tout en censurant brutalement toute voix dissidente.

L’imposture victimaire de LFI

La manifestation s’inscrit dans une stratégie bien rôdée de victimisation politique. LFI instrumentalise des drames réels pour nourrir son narratif antirépublicain. La mort tragique d’Aboubakar Cissé, bien qu’incontestablement dramatique, devient le prétexte à une offensive contre la laïcité, contre les institutions et contre les principes mêmes de la société française. Le mot « islamophobie », flou et idéologisé, devient un fourre-tout qui permet de disqualifier toute critique de l’islamisme, et par extension, de justifier l’alliance avec ses représentants les plus radicaux.

Cette récupération cynique s’appuie sur une rhétorique binaire où toute opposition devient suspecte. Être critique, c’est être raciste. Poser des questions, c’est être fasciste. Dans cette logique, la pluralité démocratique est bannie, remplacée par un sectarisme autoritaire sous couvert de lutte contre l’oppression. La scène vécue lors du reportage, avec un service d’ordre transformé en milice idéologique, ne fait que confirmer cette dérive inquiétante.

Un cortège sous surveillance

La composition du cortège ne laisse place à aucun doute sur son orientation idéologique. De nombreux manifestants affichaient clairement leurs accointances politiques, entre drapeaux palestiniens, slogans anti-police et références à l’islam politique. Certains profils présents interpellent. Certains manifestants incarnaient le type de militant qui, par leurs propos, laisse planer peu de doute sur leur engagement idéologique.

Cette ambiance générale, tolérée et même encouragée par les organisateurs, confirme la nature réelle de cette marche. Loin d’être un appel universel à la tolérance, elle fonctionne comme une vitrine pour des mouvances radicales, protégées par l’étiquette « antiraciste ». La pluralité d’opinions n’y a pas sa place. Les médias qui dévient du récit dominant sont pointés du doigt, voire violemment expulsés comme nous l’avons été.

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