Covid, peur et contrôle : les rouages de la manipulation mentale des masses

Découvrez comment la manipulation mentale des masses façonne notre perception, contrôle les foules et sert les intérêts d’une élite déconnectée. Découvrez comment la manipulation mentale des masses façonne notre perception, contrôle les foules et sert les intérêts d’une élite déconnectée.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Découvrez comment les élites manipulent les masses à travers la crise du Covid, selon Marion Saint-Michel, invitée sur Géopolitique Profonde.
  • Apprenez comment la peur est utilisée comme arme de contrôle pour imposer des mesures tyranniques et conditionner la population.
  • Explorez les stratégies de résistance psychologique pour vous libérer de l’emprise mentale et retrouver votre souveraineté.

Le 26 avril à 9h, Marion Saint-Michel est l’invitée de Mike Borowski, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Marion Saint-Michel est une psychologue clinicienne et diplômée en sciences politiques. Ancienne fonctionnaire, elle exerce désormais en libéral. Elle est l’autrice du livre Gouvernance perverse – La décoder, s’en libérer, dans lequel elle analyse les mécanismes de manipulation psychologique utilisés par certains dirigeants, notamment durant la crise du COVID-19.

L’élite au pouvoir : une caste cynique et émotionnellement déconnectée

Les élites gouvernantes ne dirigent plus pour le bien commun. Elles obéissent à une logique froide, technocratique, où l’humain est un facteur secondaire. Ces individus partagent des traits clairs : absence d’empathie, soif de contrôle, manipulation des masses. Ce ne sont pas des leaders visionnaires, mais des psychopathes fonctionnels, intégrés dans les hautes sphères du pouvoir économique, politique et médiatique. Ils n’ont aucun scrupule à utiliser la peur comme levier de domination. Le mensonge n’est pas un outil d’exception, c’est leur méthode de gouvernance permanente.

À travers la gestion du Covid, cette caste a révélé son vrai visage. Aucun débat, aucune dissidence tolérée. Les décisions sont imposées dans un climat de terreur sanitaire : confinement, couvre-feux, pass vaccinal. Le langage est militarisé, les citoyens deviennent des ennemis potentiels. Cette orchestration n’est pas une erreur ou un excès temporaire : c’est une stratégie structurée de soumission psychologique. Le but n’était jamais la santé publique, mais le conditionnement des foules à obéir sans réfléchir, dans une logique de servitude volontaire.

Cette logique est le prolongement d’une vision du monde où l’être humain doit être géré comme une ressource. L’élite ne ressent aucun attachement pour les peuples. Elle fonctionne dans une logique de domination systémique, où les émotions humaines sont vues comme des faiblesses exploitables. Cette froideur extrême n’est pas un accident : c’est la conséquence d’un formatage idéologique nourri par les cercles mondialistes, les grandes fondations et les réseaux d’influence dissimulés.

La peur comme arme de contrôle mental massif

La peur n’est pas un simple réflexe biologique : elle est devenue un outil de gouvernance totalitaire. Depuis le début de la crise Covid, elle a été utilisée avec précision chirurgicale pour déclencher un état de sidération collective. Messages apocalyptiques, chiffres martelés hors contexte, images d’hôpitaux surchargés : tout a été orchestré pour entretenir une angoisse constante. Ce climat a neutralisé la pensée critique. En état de peur prolongée, l’esprit humain ne raisonne plus, il obéit.

Les instruments de cette manipulation sont clairs : médias de masse, experts triés sur le volet, censures systématiques des voix dissidentes. Chaque jour, une nouvelle menace était diffusée : variant, saturation hospitalière, décès en hausse. Cette peur programmée a eu un effet anesthésiant. Elle a permis de faire accepter des mesures tyranniques, impensables quelques mois plus tôt. Le pass sanitaire est un exemple parfait de ce glissement : présenté comme temporaire, il est devenu un outil de tri social, de surveillance et d’exclusion.

Ce modèle repose sur un savoir ancien : le traumatisme répété modifie durablement le comportement. Les populations ont été plongées dans une boucle de stress, de confusion et de désespoir. Ce cocktail psychologique brise les repères, désactive la résistance et pousse à la soumission. L’ingénierie sociale appliquée ici est celle des techniques de torture mentale, autrefois utilisées dans les interrogatoires et désormais appliquées à grande échelle. L’objectif n’est pas de protéger, mais de reprogrammer l’obéissance.

Ingénierie sociale, perversion mentale et armes de résistance

Le système n’a pas simplement imposé des règles : il a déformé la perception du réel. Par la répétition, la culpabilisation et l’isolement, il a mis en place un climat de dépendance psychologique à l’autorité. L’individu dissident est présenté comme un danger public, un égoïste, voire un criminel. Cette inversion morale est au cœur de la perversion systémique : ce n’est plus le pouvoir qui doit rendre des comptes, mais le citoyen qui doit justifier sa liberté. Cette inversion du sens est le fondement de l’ingénierie sociale moderne.

Le discours sanitaire a été ritualisé, sacralisé. Le masque devient un symbole de vertu, le vaccin un rite d’appartenance. Toute critique est associée à la folie ou au complotisme. Ce mécanisme n’est pas improvisé : il repose sur les stratégies cognitives de déstabilisation utilisées dans les sectes. Isolement, redéfinition du langage, contrôle de l’information, chantage affectif : tous les leviers du contrôle mental ont été activés. Le système a utilisé le traumatisme collectif comme une opportunité de reformatage global des esprits.

Mais face à cette offensive, les armes de la résistance existent. La première est la lucidité radicale : refuser l’hypnose collective, réaffirmer sa souveraineté mentale. Il faut sortir de l’état de sidération, rompre avec les sources de propagande, reconstruire des communautés saines autour de la vérité et de l’entraide. La force psychologique est aujourd’hui une arme de survie. En cultivant l’esprit critique, la résilience et le courage de dire non, chacun peut se libérer de cette emprise mentale. La guerre est psychologique, la réponse doit l’être aussi.

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