🔥 Les essentiels de cette actualité
- Patrick Martini, thérapeute en médecine naturelle, défie Big Pharma avec la phytothérapie. Découvrez son combat le 12 juillet à 19h sur Géopolitique Profonde.
- Les traitements naturels sont criminalisés et étouffés par le système médical. Comment Martini résiste-t-il aux pressions ?
- Big Pharma contrôle tout : publications, régulations, et même la définition de la maladie. Un pouvoir tentaculaire qui écrase les alternatives.
- Les dissidents comme Fourtillan et Martini sont traqués et réduits au silence. Leur crime ? Proposer une autre voie pour la guérison.
Le 12 juillet à 19h, Patrick Martini est l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde !
Patrick Martini est un thérapeute français spécialisé dans la médecine naturelle, les approches holistiques et les soins cellulaires. Ingénieur de formation, il s’est progressivement tourné vers les médecines non conventionnelles, prônant une santé libérée de la chimie industrielle. Il défend une vision de la guérison fondée sur la phytothérapie, la nutrition orthomoléculaire et l’intelligence du corps, en opposition directe au modèle imposé par les grands laboratoires pharmaceutiques. Très critique envers Big Pharma, il dénonce les mécanismes d’emprise, de dépendance et de censure du système médical dominant.
La médecine naturelle face à l’empire pharmaceutique
Patrick Martini incarne la rupture frontale avec le paradigme médical imposé par les grands laboratoires. Il soigne sans molécules de synthèse, sans protocoles imposés, sans dépendance à la chimie industrielle. Sa pratique repose sur la phytothérapie, la nutrition cellulaire, l’équilibre biologique. Cette orientation le place d’emblée dans la ligne de mire du système, qui protège ses intérêts avec une efficacité redoutable.
Les autorités sanitaires multiplient les barrières administratives, les mises en demeure, les contrôles arbitraires. La moindre allégation thérapeutique en dehors des cadres établis devient prétexte à des procédures. Les pharmacies refusent de collaborer. Les médecins conventionnels s’alignent sur une doxa imposée par les facultés sponsorisées. L’ensemble du système médical, appuyé par une presse complice, verrouille l’accès au débat. Les traitements naturels ne sont pas seulement ignorés : ils sont ciblés, criminalisés, étouffés.
La médecine officielle ne tolère aucune alternative. Elle défend un monopole déguisé sous des oripeaux scientifiques. Les essais cliniques sont réservés aux produits brevetables. Les produits naturels, non lucratifs, ne peuvent intégrer le circuit validé. Ce verrouillage n’est pas une négligence, c’est une stratégie. La santé devient un marché captif. Tout praticien qui s’en éloigne subit tôt ou tard la riposte. Martini est dans le collimateur, non parce qu’il met en danger ses patients, mais parce qu’il met en danger un modèle économique.
Big Pharma : une puissance tentaculaire
Les grands laboratoires ne sont pas des entreprises classiques. Ils forment une structure opaque, transnationale, dotée d’un pouvoir d’influence inégalé. L’industrie pharmaceutique contrôle les publications médicales, les agences de régulation, les réseaux de formation, les financements universitaires. Elle infiltre les comités d’experts, dicte les protocoles, oriente les campagnes de prévention. Elle ne se contente pas de vendre des médicaments : elle redéfinit ce que signifie être malade.
Ce pouvoir ne se limite plus à l’économie. Il devient politique. Il décide des urgences sanitaires, impose des vaccins à l’échelle planétaire, verrouille la recherche. Le médicament cesse d’être un outil thérapeutique pour devenir un vecteur de contrôle. Les scandales s’accumulent – effets secondaires cachés, études falsifiées, dépendances organisées – sans que l’appareil judiciaire ne remette en cause le système. Les sanctions, quand elles existent, sont symboliques. Le cartel pharmaceutique agit avec l’arrogance d’une structure au-dessus des lois.
Ce fonctionnement s’apparente à celui d’une mafia. Pas dans le folklore, mais dans l’efficacité : éliminer les concurrents, corrompre les instances de contrôle, protéger ses intérêts par tous les moyens. La dissidence n’est pas tolérée. La science n’est utilisée que comme vitrine. Ce n’est plus la vérité médicale qui guide le système, mais l’obligation de rentabilité. Toute vérité alternative devient un crime contre le business. Patrick Martini ne dérange pas par ses résultats, mais parce qu’il échappe au circuit de facturation global.
Dissidents médicaux : traqués, enfermés, réduits au silence
Le cas du Professeur Fourtillan le prouve : s’opposer à l’ordre médical mondial peut mener en prison. Fourtillan, scientifique reconnu, a mis en cause la toxicité de certaines substances vaccinales et dénoncé les collusions entre laboratoires et institutions. Sa réponse ? Internement psychiatrique, incarcération, discrédit médiatique. Aucun débat sur le fond. Aucune prise en compte de ses recherches. Juste une punition. Un message clair envoyé à tous les praticiens tentés de sortir du rang.
Patrick Martini suit le même chemin. Pas encore emprisonné, mais ciblé. Harcelé par les institutions, dénigré par les médecins conventionnels, accusé sans preuve. Sa vie personnelle devient un enjeu. Ses déplacements, ses conférences, ses prescriptions sont surveillés. Le système ne vise pas la vérité, il vise la dissuasion. Il faut empêcher l’émergence d’un autre modèle médical, même s’il est plus efficace, plus humain, plus durable.
Derrière cette traque, une peur : que les peuples réalisent qu’ils peuvent se soigner autrement. Que la médecine ne soit pas l’apanage des laboratoires. Que la prévention vaille mieux que la pilule. Que l’immunité naturelle ne soit pas un blasphème. Martini et Fourtillan deviennent les symboles d’un basculement possible. Ils sont poursuivis pour avoir démontré qu’il existe une autre voie, et que cette voie fonctionne.
IMPORTANT - À lire
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