Le 22 janvier à 7h, Finn Andreen et Maître Fabrice Di Vizio sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu en direct sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.
Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.
Retrouvez Finn Andreen à 7h15, suivi de Maître Fabrice Di Vizio à 8h15 !
L’oligarchie mondialiste s’effondre et redouble d’arrogance
Le changement de présidence aux États-Unis marque un tournant radical dans l’équilibre mondial. Les dernières heures de Biden à la Maison-Blanche ont été marquées par une série de grâces présidentielles honteuses, couronnant une administration symbolique de l’impunité. Anthony Fauci, figure controversée de la gestion sanitaire, a bénéficié d’une grâce préventive, tout comme plusieurs généraux, agents du renseignement et membres de la famille Biden. Ces actes traduisent une protection insidieuse des élites face à une justice devenue instrumentalisée.
En parallèle, l’investiture de Trump réveille l’espoir d’un vent de liberté, mais la bataille reste titanesque. L’oligarchie mondialiste multiplie les obstacles pour verrouiller le pouvoir à travers des bureaucraties autoritaires. Les Meanstreams occidentaux, en particulier en France, servent de relais zélés à cette propagande, préférant dénoncer les grâces des prisonniers politiques du Capitole que de s’intéresser aux scandales de leurs propres élites.
Elon Musk et le symbole du salut romain
Elon Musk, figure iconique de l’innovation, s’est retrouvé au cœur de la controverse après avoir été photographié exécutant un geste interprété par certains comme un salut romain. Ce geste, capté lors d’un événement public, a immédiatement été utilisé par les médias Mainstream pour alimenter une nouvelle polémique contre Musk.
Derrière ce lynchage médiatique se cache une réalité plus profonde : Musk est devenu une cible privilégiée des élites mondialistes. En s’opposant à la censure institutionnalisée sur X (anciennement Twitter) et en dénonçant les excès du wokisme, il incarne un contre-pouvoir qui dérange. Ce geste, qu’il qualifie lui-même de malentendu, a été déformé pour l’associer à une idéologie extrême et ainsi le discréditer. Mais cette campagne de diffamation illustre surtout la panique des mondialistes face à une figure capable de mobiliser des millions de personnes contre leur narratif.
Le totalitarisme technocratique s’intensifie
La société bascule dans une ère de suffocation, orchestrée par des projets totalitaires comme les Zones à Faibles Émissions (ZFE) ou le développement des Smart Towns, véritables cages technologiques. Ces dispositifs ne sont pas de simples mesures écologiques ou technologiques, mais les piliers d’un contrôle total des populations sous prétexte de sécurité ou de durabilité.
La censure atteint des sommets. Les réseaux sociaux, autrefois symboles de liberté, deviennent les bras armés de l’idéologie dominante. Les climato-réalistes et les sceptiques du narratif sanitaire sont muselés sous le prétexte fallacieux que « la science n’est pas une opinion », alors même que cette science est devenue un outil de manipulation.
L’Arcom, en France, illustre parfaitement cette dérive. Cette institution, loin d’être un arbitre neutre, est désormais une officine de censure autoritaire, applaudissant la suppression de comptes dissidents et la disparition d’émissions comme TPMP, jugées non conformes à la ligne officielle.
Une ère de servitude et de rébellion
Le contraste entre les aspirations de liberté incarnées par l’investiture de Trump et la mainmise totalitaire des bureaucrates occidentaux est frappant. Alors que certains peuples entrevoient l’espoir d’une souveraineté retrouvée, d’autres restent accablés par des élites déconnectées et parasites, imposant une idéologie mortifère à coups de coercition et de propagande.
Le fossé se creuse. La bataille est loin d’être terminée, mais les remparts idéologiques des mondialistes s’érodent. Les chaînes qui étouffent les peuples finiront par se briser sous le poids de leurs propres contradictions. Le temps presse : il ne s’agit plus seulement de résister, mais de reconquérir les droits fondamentaux face à cette oligarchie en déclin.
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