Exclu : en immersion dans le monde hors-sol et « parfait » de la Macronie

Immersion au meeting Renaissance de Gabriel Attal : un événement hors-sol entre slogans inclusifs et idéologie progressiste déconnectée du réel. Immersion au meeting Renaissance de Gabriel Attal : un événement hors-sol entre slogans inclusifs et idéologie progressiste déconnectée du réel.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Immersion exclusive au meeting de Renaissance : culte de la minorité et indifférence au réel. La Macronie, un monde hors-sol.
  • Un parc à thème progressiste : Disneyland pour technocrates et militants LGBTQ+. La politique réduite à la visibilité queer.
  • Idéologie inclusive comme seul projet. L’école, espace de lutte contre le racisme, non d’instruction.
  • Renaissance, bras armé du globalisme : éléments de langage en anglais et agenda 2030. Une messe mondialiste déconnectée.

Diffusion exclusive de ce micro-trottoir avec Mike Borowski, le 10 avril à 17h sur la chaîne YouTube de GPTV Investigation.

Nous avons plongé là où aucune chaîne YouTube dissidente n’a osé mettre un pied : au grand meeting national de Renaissance, le parti de Gabriel Attal, émanation directe du pouvoir macroniste. Ce que nous y avons vu dépasse la caricature. Tout y est : le culte de la minorité, la glorification des vieux, l’obsession pour l’inclusion, l’indifférence totale au réel. Pendant que la France s’effondre, cette caste politique organise son propre carnaval, en toute sérénité.

Ce meeting Renaissance, orchestré par Gabriel Attal, dévoile le visage idéologique d’un pouvoir déconnecté, entre culte des minorités et slogans creux.

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Ce meeting Renaissance n’a rien d’un vrai rassemblement politique : c’est un parc à thème progressiste calibré par Gabriel Attal et son équipe, un Disneyland pour technocrates, boomers sous anxiolytiques et militants LGBTQ+ urbains. Nous avons tout filmé : les visages, les discours, les petits groupes internes, les grandes déclarations creuses. Nous vous emmenons au cœur de la machine Renaissance. Ce que nous avons vu confirme une chose : la Macronie vit dans un autre pays.

Meeting Renaissance : une secte progressiste déconnectée du peuple

Dès notre arrivée, l’ambiance est irréelle. On est accueilli par une animation “inclusive” avec musiques pop, slogans en anglais et drapeaux arc-en-ciel flottant plus haut que le drapeau tricolore. Le ton est donné : ici, le peuple français n’existe plus. Il a été remplacé par une foule aseptisée, urbaine, qui pense que la politique, c’est défendre le droit à la visibilité queer dans les espaces publics.

Dans les stands internes, nous découvrons des groupes surréalistes : “Boomers en mouvement”, “Renaissance LGBT+”, “Jeunes avec Brigitte”. Chaque micro-parti a son porte-parole, ses éléments de langage, ses goodies. Nous échangeons avec Jean-Michel, figure locale du collectif LGBT+ : pour lui, le combat principal, ce n’est pas le chômage ou la décadence scolaire, mais “la lutte contre les discriminations systémiques”. Ce sont ses mots. Il nous explique que Renaissance est l’avant-garde du progrès en Europe. Pendant ce temps, les campagnes françaises crèvent.

Les retraités présents, majoritairement issus des classes moyennes supérieures, semblent être là pour se rassurer. On leur promet un monde où tout est maîtrisé, où l’État les protège de la “haine” et du “populisme”. C’est l’électorat pilier du macronisme : des gens qui ne veulent surtout rien changer, tant qu’ils peuvent continuer à vivre dans leur bulle.

L’idéologie inclusive comme seul projet politique

Le moment le plus édifiant, c’est notre discussion avec la représentante du pôle Éducation. Face caméra, elle nous explique calmement que sa priorité n’est pas la lecture, ni les fondamentaux, ni même la transmission de la langue française. Son objectif affiché : que l’école soit “un espace de lutte contre le racisme et l’antisémitisme”. On ne parle plus d’instruction, mais de rééducation idéologique.

Dans tous les discours, le mot “inclusion” revient comme un mantra. Pour Renaissance, inclure, c’est gouverner. Le programme n’a plus de cap économique, social ou civilisationnel. Il est intégralement absorbé par la logique des minorités. On célèbre les trans, les racisés, les migrants, les seniors, les “non-binaires”, mais jamais l’ouvrier français, jamais la mère de famille des zones rurales, jamais ceux qui subissent vraiment le déclin.

Gabriel Attal, dans son discours, ne fait que répéter des slogans creux. Il parle de “républicanisme ouvert”, de “modernité progressiste”, de “société inclusive”. Rien de concret, aucune réponse aux problèmes réels : insécurité, dette, effondrement éducatif, immigration de masse. Juste de la poudre aux yeux pour médias parisiens et électeurs anesthésiés.

Renaissance, bras armé du globalisme en France

Ce meeting n’est pas un événement politique. C’est une messe mondialiste, sous influence directe du World Economic Forum. Tout y est : les éléments de langage en anglais, les références à “l’agenda 2030”, les appels à une société “résiliente, ouverte, écologique et inclusive”. Renaissance est une vitrine française du wokisme et du néolibéralisme financier. Un prototype de ce que veut imposer la caste à toute l’Europe.

Les “normies” que nous interrogeons sont totalement déconnectés. Beaucoup sont des enseignants, des cadres, des retraités urbains. Ils récitent leurs phrases comme des automates : “le RN fait peur”, “Macron nous protège”, “il faut lutter contre les fake news”. Aucun ne parle de pouvoir d’achat, de sécurité ou de frontières. C’est le vide total, formaté par les médias de masse.

Et comme si ça ne suffisait pas, Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, vient faire son petit tour, sourire figé, discours bien calibré. Elle parle d’union, de diversité, de défense de la démocratie. Toujours les mêmes mots. Toujours la même mise en scène.

Le meeting Renaissance de Gabriel Attal n’est pas seulement un événement politique, c’est un manifeste idéologique. Derrière les discours policés et les visages souriants, se cache une vision de la France qui tourne le dos au peuple pour épouser les dogmes de la mondialisation et de l’inclusion à tout prix. Un théâtre bien rôdé, mais de plus en plus vide de sens pour ceux qui vivent la réalité au quotidien.

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