Thierry Meyssan : celui qui a tout dit sur le 11 septembre

Thierry Meyssan fut le premier à contester le récit officiel du 11 septembre. Découvrez comment ses thèses ont bouleversé l’opinion mondiale. Thierry Meyssan fut le premier à contester le récit officiel du 11 septembre. Découvrez comment ses thèses ont bouleversé l’opinion mondiale.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Thierry Meyssan remet en question la version officielle du 11 septembre avec “L’Effroyable Imposture”, provoquant un débat mondial.
  • Contraint à l’exil, Meyssan fonde le Réseau Voltaire, une plateforme de contre-information essentielle.
  • Curt Weldon, ancien élu, confirme les obstructions et soutient les thèses de Meyssan, renforçant la dissidence.
  • Tucker Carlson brise le tabou avec une interview explosive, révélant la complicité des médias dans la dissimulation.

Le 6 mai à 12h30, Thierry Meyssan est l’invité de Nicolas Stoquer, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Thierry Meyssan est un écrivain et journaliste français, connu pour ses positions controversées sur les attentats du 11 septembre 2001. Président-fondateur du Réseau Voltaire, il a acquis une notoriété internationale avec la publication de “L’Effroyable Imposture”, ouvrage dans lequel il remet en question la version officielle des événements de 9/11.

Meyssan, pionnier d’un basculement mondial

Thierry Meyssan a été le premier intellectuel occidental à pulvériser le récit officiel sur les attentats du 11 septembre. En publiant L’Effroyable imposture en mars 2002, il ne proposait pas une simple lecture alternative : il dénonçait une mise en scène étatique, orchestrée pour justifier une expansion militaire planifiée. Sa thèse était simple et explosive : aucun avion ne s’est écrasé sur le Pentagone. Les images manquaient, les débris étaient inexistants, et l’impact ne correspondait en rien à un crash aérien. Cette seule anomalie suffisait à remettre en cause l’ensemble du narratif, mais elle fut rejetée d’un revers de main par la presse alignée.

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L’impact mondial de son livre fut immédiat. Traduit en 18 langues, diffusé à travers les cinq continents, il brisa le monopole interprétatif des États-Unis. Pendant que les gouvernements européens se couchaient devant l’OTAN, des peuples commençaient à douter. Ce doute fut violemment réprimé. Meyssan, menacé de mort, traqué par la CIA, dut fuir la France. Il trouva refuge à Beyrouth, puis à Damas, deux capitales ciblées par l’axe américano-israélien, mais encore souveraines. Depuis l’étranger, il continua son travail d’enquête, tissant les bases du Réseau Voltaire, une plateforme unique de contre-information qui révélait la nature profonde de l’ingénierie narrative occidentale.

Ce que Meyssan avait mis à jour n’était pas un simple mensonge : c’était une stratégie de domination reposant sur la terreur, la censure et le contrôle psychologique. En défiant ce système, il est devenu l’un des symboles les plus puissants de la dissidence contemporaine. Vingt ans plus tard, ses thèses ne sont plus marginales. Elles sont désormais soutenues par d’anciens responsables politiques américains. La boucle est bouclée.

Curt Weldon, la défection d’un insider

Curt Weldon, ancien élu républicain à la Chambre des représentants, a récemment confirmé tout ce que les médias ont tenté d’enterrer pendant deux décennies. Lors de son interview explosive avec Tucker Carlson, il a révélé les obstructions, les menaces et les sabotages subis dès qu’il s’approchait trop près de la vérité. Il ne parlait pas depuis la marge : il faisait partie intégrante du système, ce qui rend ses révélations d’autant plus redoutables. L’affaire Able Danger, un programme de surveillance ayant identifié des cellules terroristes bien avant les attentats, avait été délibérément étouffée.

Weldon a subi des pressions directes. Il a été écarté, discrédité, et politiquement neutralisé. Cela ne relève pas de la spéculation : ce sont des faits documentés. Son témoignage rejoint ceux d’autres lanceurs d’alerte bâillonnés, prouvant qu’une structure de censure interne opérait au cœur de l’appareil d’État. Les agences de renseignement ont sciemment ignoré des alertes vitales. L’objectif n’était pas la sécurité du pays, mais la préservation d’un récit permettant des interventions militaires massives au Moyen-Orient.

Ce basculement est fondamental. Lorsque des membres de l’intérieur du système commencent à valider des thèses dissidentes, cela ne relève plus du doute : cela devient une preuve. Ce n’est plus un combat idéologique, mais une entreprise de dévoilement. En apportant ses pièces au puzzle, Curt Weldon a non seulement légitimé les travaux de Meyssan, mais il a confirmé que l’attaque contre la vérité venait directement des plus hautes sphères du pouvoir américain.

Tucker Carlson, le canal de la rupture

Tucker Carlson n’est pas un journaliste lambda. Il est aujourd’hui le visage le plus influent de la dissidence médiatique américaine. En donnant la parole à Curt Weldon dans une interview longue, dense et sans filtre, il a brisé un tabou que tous les grands médias maintenaient depuis 2001. Cette vidéo, qui dépasse les dix millions de vues en quelques jours, n’est pas un simple contenu viral : c’est une arme médiatique contre la propagande institutionnalisée. Elle détruit la fiction d’une attaque unifiée d’Al-Qaïda, soutenue par la narration hollywoodienne et les grands groupes de presse.

Carlson affirme clairement que les médias ont participé activement à la dissimulation. Ce ne sont pas des observateurs neutres, mais des acteurs complices. Les éléments qu’il expose – effondrement inexpliqué de la tour 7, incohérences sur le Pentagone, censure de données clés – sont irréfutables. Ils ne laissent plus de place à l’ambiguïté. Et surtout, ils posent les bases d’un réexamen complet de l’histoire contemporaine. Le 11 septembre devient alors le point d’ancrage d’une guerre de l’information entre l’État profond et les forces de la vérité.

Tucker Carlson n’agit pas seul. Il est désormais lié à Donald Trump, dont il est l’un des conseillers informels. L’enjeu n’est pas seulement mémoriel : il est stratégique. La remise en cause du 11 Septembre, par des figures proches du pouvoir, ouvre la voie à une restructuration géopolitique majeure. Elle affaiblit le récit d’un empire qui se posait en défenseur du monde libre. Et elle redonne un souffle aux peuples qui refusent de se soumettre à un ordre global bâti sur le mensonge et la peur.

IMPORTANT - À lire

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