Mort du pape François : ce qu’il faut retenir de son parcours controversé

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 22 avril à 12h30, Mike Borowski analyse en direct la mort du pape François en 2025, marquant la fin d’un pontificat au service du mondialisme et de la gouvernance globale.
  • François a transformé la Curie romaine en la confiant à des cabinets comme McKinsey, privilégiant les tableaux Excel à l’inspiration spirituelle.
  • Le pape a défendu les injections ARNm, critiqué les souverainetés nationales et prôné une gouvernance climatique globale, révélant son alignement sur l’agenda de Davos.
  • La France, grande oubliée du pontificat, a été délaissée au profit d’une vision multiculturelle et post-nationale, soulignant un désengagement des racines chrétiennes de l’Europe.

Le 22 avril à 12h30, Mike Borowski vous donne rendez-vous en direct pour un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.

La mort du pape François en 2025 soulève de nombreuses interrogations sur son héritage, marqué par une volonté affichée de transformer le rôle spirituel du Vatican en levier politique global.

Mort du pape François : la fin d’un pontificat au service du mondialisme

Le décès du pape François, survenu le 21 avril 2025, referme un chapitre historique du Vatican, marqué par une orientation mondialiste affirmée. De la défense acharnée des injections ARNm à sa collaboration étroite avec des cabinets de conseil privés, le pape n’a cessé de placer son pontificat dans les logiques d’une gouvernance globale, bien loin de l’héritage spirituel de ses prédécesseurs. Sa mort, survenue à quelques heures de la démission de Klaus Schwab du Forum de Davos, soulève bien des coïncidences troublantes.

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François, promoteur zélé de la gouvernance mondiale

Dès son intronisation en 2013, le pape François a imposé une rupture brutale avec l’approche traditionnelle de l’Église. Sous son impulsion, la Curie romaine a été littéralement livrée à des cabinets comme McKinsey, Ernst & Young ou encore KPMG. Ces multinationales ont été chargées de réformer l’administration ecclésiale, supplantant l’inspiration spirituelle par des tableaux Excel.

Son encyclique Fratelli tutti n’était qu’un manifeste mondialiste de plus : appel à une fraternité universelle désincarnée, éloge d’une gouvernance supranationale, critique des souverainetés nationales. Il a utilisé la tribune onusienne pour exiger des « accords fondamentaux » globaux, dans la droite ligne de l’agenda de Davos. Cette vision universaliste ne se fondait pas sur la foi, mais sur une ingénierie politique planétaire, en totale harmonie avec les mots d’ordre du Forum économique mondial.

Covid, climat, immigration : les trois piliers du pontificat progressiste

La gestion du Covid a révélé l’ampleur de l’alignement du pape sur les mots d’ordre technosanitaires. Le pape François a été l’un des plus fervents défenseurs des injections ARNm, allant jusqu’à traiter de « négationnistes » les cardinaux réticents. Il menaçait même de « réfléchir à comment les aider », dans un langage glaçant. Loin du respect du libre arbitre chrétien, il a imposé une ligne autoritaire, fidèle aux prescriptions de l’OMS et de Big Pharma.

Sur l’écologie, son encyclique Laudato si’ a masqué, sous couvert de conversion environnementale, un appel à un contrôle politique renforcé des comportements humains. Avec Laudate Deum, en 2023, il a plaidé pour des mesures contraignantes au niveau international, exigeant des gouvernements une soumission accrue à une gouvernance climatique globale.

Enfin, en matière migratoire, son double discours a crevé l’écran : critique virulente des politiques migratoires américaines, notamment celles de Trump, tout en maintenant au Vatican une politique ultra-sécuritaire. Il n’a pas hésité à dialoguer avec des dirigeants qu’il fustigeait publiquement, comme le vice-président J.D. Vance, à qui il accorda sa dernière entrevue.

La France, grande oubliée du pontificat

Malgré des liens historiques puissants entre la France et l’Église, François n’a jamais effectué de visite d’État officielle dans l’Hexagone. Il s’est contenté d’escales à Marseille ou en Corse, évitant soigneusement toute reconnaissance institutionnelle à la « fille aînée de l’Église ». Derrière ce choix se lit une volonté politique : marginaliser l’héritage catholique européen au profit d’une vision multiculturelle et post-nationale.

Cette absence s’inscrit dans une stratégie de désengagement volontaire vis-à-vis des racines chrétiennes de l’Europe, et dans un alignement constant sur les discours progressistes globalisés. Alors que le pape s’est montré omniprésent dans les débats climatiques, sanitaires ou migratoires mondiaux, il s’est volontairement éloigné des nations fidèles à leur identité chrétienne.

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