La police ne peut plus rien pour vous

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 2 avril, Maurice Signolet, Serge Federbusch et Franck Layré-Cassou débattent sur Géopolitique Profonde, animés par Mike Borowski.
  • La France sombre dans le narco-pouvoir, le trafic de drogue façonnant désormais l’organisation du pouvoir.
  • Le chaos est orchestré pour imposer un nouvel ordre technocratique selon les dogmes du Great Reset.
  • La police, autrefois protectrice, est devenue une milice du régime contre les opposants.

Le 2 avril à 19h, Maurice Signolet, Serge Federbusch et Franck Layre-Cassou sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Maurice Signolet, ancien commissaire divisionnaire français, est reconnu pour ses analyses sur les questions de sécurité publique. Il est l’auteur de l’ouvrage La police ne peut plus rien pour vous, publié aux éditions Eyrolles.

Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique.

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Franck Layré-Cassou est un personnage public aux multiples facettes. Passionné d’histoire, il est également reconnu comme un fervent napoléonien, ayant publié des ouvrages sur l’Empereur et son influence persistante dans notre quotidien. Sa carrière politique l’a vu candidat sous la bannière de Reconquête! dans la 11ème circonscription de Paris et est aujourd’hui militant au sein du Rassemblement National.

La France bascule dans le narco-pouvoir

La France a franchi un seuil critique : le trafic de drogue ne ronge plus seulement les marges de la société, il façonne désormais l’organisation même du pouvoir. De la Seine-Saint-Denis aux villages ruraux, le narco-business s’installe, s’impose, et prospère.

Cette progression fulgurante ne résulte pas d’un échec de l’État, mais d’un choix politique assumé : laisser la violence se répandre pour remodeler la société selon les dogmes du Great Reset. Pendant que la classe dirigeante se protège derrière ses murs et ses lois d’exception, la population subit la montée programmée du chaos.

Le narco-État français est une réalité installée

Le trafic de drogue n’est plus un phénomène urbain cantonné aux quartiers dits sensibles. Il a colonisé les campagnes, infiltré les lycées, les gares, les zones commerciales. Ce maillage territorial répond à une logique claire : assurer un contrôle social total par la violence économique et physique.

Derrière les guetteurs et les points de deal se cache une industrie parallèle devenue centrale dans l’économie française souterraine. La France ne combat plus le trafic : elle l’intègre, le tolère, et parfois même le protège par l’inaction stratégique.

Les forces de sécurité ne sont plus déployées pour éradiquer les réseaux, mais pour contenir la colère populaire. Chaque fusillade, chaque règlement de compte est traité comme un fait divers, jamais comme le symptôme d’un effondrement structurel. Pendant ce temps, les mafias prospèrent sous les yeux des autorités, avec une impunité qui ne laisse place à aucun doute : l’État est complice, ou du moins, il a renoncé.

Un chaos orchestré pour un nouvel ordre

L’insécurité permanente est devenue un levier de transformation sociale. En entretenant la peur, les élites imposent des solutions radicales : vidéosurveillance massive, restriction des libertés, contrôle numérique. Le modèle suit à la lettre le plan du Great Reset : détruire l’ancien monde pour imposer un ordre technocratique autoritaire. La criminalité n’est pas un échec de la République, c’est l’outil de sa refondation.

Ce désordre est savamment entretenu. Pendant que les classes moyennes sont broyées par l’insécurité, les élites déplacent le curseur : criminaliser les résistants, surveiller les contestataires, neutraliser la révolte. Le chaos sert un but précis : démolir toute forme de cohésion populaire pour instaurer un pouvoir sans limite, contrôlé par les multinationales et leurs relais politiques.

La police au service du pouvoir, plus du peuple

La police française n’est plus une force de protection du citoyen. Elle est devenue une milice du régime, mobilisée non pas contre les criminels, mais contre les opposants. Les trafiquants agissent en paix, pendant que les manifestants sont matraqués, nassés, fichés. Cette inversion des priorités traduit un changement de doctrine : maintenir l’ordre ne signifie plus protéger la population, mais garantir la stabilité du pouvoir.

Chaque opération policière dans les banlieues est calibrée pour éviter l’émeute, jamais pour démanteler les réseaux. À l’inverse, les déploiements massifs lors des mouvements sociaux montrent où se situe la véritable menace aux yeux des autorités : chez le citoyen éveillé, pas chez le criminel organisé. La police n’a pas été abandonnée, elle a été redirigée. Elle est l’instrument d’un pouvoir qui ne se cache plus de sa guerre contre le peuple.

IMPORTANT - À lire

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