Le 8 décembre à 12h30, Mike Borowski dévoile comment l’œil maçonnique et Emmanuel Macron ont transformé Notre-Dame, effaçant son héritage chrétien millénaire.
L’œil maçonnique remplace Saint-Louis dans Notre-Dame
Le nouveau reliquaire installé dans Notre-Dame de Paris est une trahison inacceptable de l’héritage chrétien et spirituel de la cathédrale. Présenté sous couvert de « modernité » et d’ »ouverture », cet objet remplace l’hommage à Saint-Louis, symbole du roi chrétien par excellence, par un artefact ouvertement ésotérique : l’œil des loges franc-maçonnes. Ce symbole, utilisé depuis des siècles par la franc-maçonnerie, est un puissant marqueur idéologique, représentant la surveillance omniprésente, l’humanisme déconnecté de Dieu, et une vision universaliste opposée aux fondements spirituels de Notre-Dame. L’installation de ce reliquaire est un coup symbolique brutal, destiné à effacer l’empreinte chrétienne de l’un des monuments les plus sacrés de France.
Cet acte ne relève pas d’un choix artistique innocent. Il s’agit d’un geste délibéré visant à détourner Notre-Dame de son rôle de sanctuaire chrétien pour en faire un « temple universel », un lieu vidé de sa transcendance et transformé en un outil de propagande pour des idéologies globalistes. L’objectif est clair : déconnecter le monument de ses racines historiques et spirituelles pour le remodeler selon une vision laïque et mondialiste. En imposant ce reliquaire, les décideurs trahissent l’âme religieuse de Notre-Dame, qui a porté l’histoire chrétienne de la France pendant plus de 850 ans.
Sous prétexte de « modernisation », c’est une attaque frontale contre l’identité chrétienne et nationale de la France. La cathédrale, pilier central de la foi et de la culture françaises, est aujourd’hui utilisée comme un terrain d’expérimentation idéologique par des élites qui méprisent l’héritage chrétien de la nation. Ce reliquaire profane Notre-Dame. Ce choix n’est pas une maladresse, mais un acte de sabotage culturel et spirituel.
Macron impose un nouvel ordre symbolique à Notre-Dame
Emmanuel Macron a franchi une ligne rouge lors de son discours prononcé à l’intérieur de Notre-Dame. En s’exprimant dans ce lieu sacré, il n’a pas rendu hommage à l’héritage chrétien de la cathédrale. Il a imposé sa présence comme un acte de domination, transformant un sanctuaire spirituel en une scène de spectacle politique. Ce n’était pas un discours innocent mais bien une démonstration de pouvoir et une appropriation idéologique, destinée à inscrire Notre-Dame dans une vision déspiritualisée et universaliste.
Durant son discours, Macron a multiplié des gestes particuliers avec ses mains, reconnus comme des signes maçonniques. Ces gestes, codifiés et porteurs de significations dans les cercles ésotériques, ne sont pas anodins. Ils traduisent un message subliminal destiné à ceux qui savent les décoder : Notre-Dame appartient désormais à un nouvel ordre symbolique, éloigné de la foi chrétienne qui a forgé son identité. Macron n’a pas parlé à la nation, il a marqué symboliquement le territoire de Notre-Dame pour en redéfinir le sens et l’usage.
L’autorisation donnée à Macron pour tenir ce discours est une humiliation pour l’Église de France. L’archevêché, en acceptant cette intrusion politique, a abdiqué son rôle de gardien spirituel. Il s’est soumis sans résistance à la pression de l’État, réduisant les autorités religieuses à un rôle de figurants dans un spectacle orchestré par le pouvoir. Ce n’est pas un président rendant hommage à un lieu de culte : c’est un chef d’État qui affirme sa suprématie sur un symbole religieux majeur. La soumission de l’Église face à cette mascarade est une honte nationale.
Une manipulation pour détruire la mémoire chrétienne
Ce qui se joue autour de Notre-Dame dépasse la simple rénovation d’un monument. Nous sommes face à une offensive idéologique et spirituelle d’une ampleur inédite. La cathédrale, joyau du patrimoine chrétien et témoin de l’histoire millénaire de la France, est en train de devenir un laboratoire d’expérimentation pour imposer une vision laïque, globaliste et déconnectée de ses origines. Le remplacement des symboles chrétiens par des références maçonniques et l’instrumentalisation politique de la cathédrale témoignent d’une volonté assumée de détruire l’âme chrétienne de la France.
Les faits sont accablants : en remplaçant le reliquaire de Saint-Louis par un symbole maçonnique, en autorisant Macron à imposer son discours au cœur même de Notre-Dame, les élites montrent qu’elles ne reculent devant rien pour imposer leur projet. Il s’agit d’effacer la mémoire collective chrétienne, d’arracher les racines spirituelles des Français pour mieux les soumettre à une idéologie mondialiste. Ce processus ne s’arrête pas à Notre-Dame, il s’inscrit dans une offensive plus large contre l’héritage chrétien de l’Europe, orchestrée par des cercles de pouvoir qui rejettent la foi et les traditions au profit d’un universalisme déshumanisé.
Cette manipulation est évidente. Il n’y a ni hasard, ni maladresse, mais une stratégie délibérée et concertée. Laisser faire, c’est accepter la destruction progressive de tout ce qui constitue l’identité spirituelle et culturelle de la France. Les Français doivent ouvrir les yeux. Notre-Dame n’est pas qu’une cathédrale, c’est un symbole vivant de la foi, de la mémoire et de l’histoire de la nation.
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