Le 8 avril à 7h, François Martin, Serge Ferderbusch, Nicolas Conquer et Alain Escada sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer en direct sur Géopolitique Profonde.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique.
Nicolas Conquer est un communicant et analyste politique français, actuellement porte-parole de Donald Trump en France. Connu pour ses prises de position en faveur de l’ancien président américain, il s’est forgé une réputation en tant que fervent défenseur des politiques trumpiennes et critique des élites européennes. Son rôle consiste à expliquer et promouvoir la vision de Donald Trump auprès du public français, en particulier dans le contexte des élections présidentielles américaines de 2024. En tant que porte-parole, Nicolas Conquer s’emploie à démontrer la pertinence des idées de Trump pour la France et l’Europe, soulignant l’importance des enjeux géopolitiques liés à une éventuelle réélection de l’ex-président.
Alain Escada est un militant et essayiste belge connu pour ses positions traditionalistes et ses critiques acerbes contre la mondialisation et les élites. Président de Civitas, un mouvement catholique traditionaliste, Alain Escada s’illustre par son engagement contre le sécularisme, le mondialisme, et la laïcité.
Retrouvez la revue de presse dès 7h, François Martin à 7h30, Serge Federbusch à 8h, Nicolas Conquer à 8h45 et Alain Escada à 9h15.
Obama relance l’affrontement : la guerre interne américaine est ouverte
Barack Obama ne joue plus les arbitres silencieux. En appelant ouvertement à la résistance contre Donald Trump, l’ancien président rompt définitivement avec la neutralité feinte de l’establishment démocrate. Son intervention galvanise les opposants de Trump, provoquant des manifestations massives à travers le pays. Le vernis institutionnel craque : les États-Unis entrent dans une nouvelle phase d’affrontement, où l’idéologie remplace le droit comme moteur du pouvoir.
Ce n’est plus une joute électorale, mais un conflit ouvert entre deux visions du monde. Trump incarne le repli souverainiste et l’attaque frontale contre les élites globalistes, tandis qu’Obama, figure de proue du mondialisme, tente une dernière manœuvre pour empêcher le retour de l’ancien président. Ce bras de fer n’est pas qu’américain : il redessine les lignes de fracture du monde occidental.
Trump face au dilemme ukrainien
Sur le front géopolitique, Trump avance sans boussole claire. Le rééquilibrage commercial était une évidence, mais sur le plan militaire, ses hésitations se multiplient. Redevenir le « gendarme du monde » s’oppose à sa base électorale isolationniste. Abandonner l’Ukraine risquerait d’apparaître comme une capitulation, mais continuer à la soutenir alimente la machine néoconservatrice qui cherche à le faire chuter avant les élections de mi-mandat.
Cette impasse stratégique reflète un affaiblissement structurel de l’empire américain. Le monde entier observe la manœuvre : si Trump rompt avec l’interventionnisme, il ouvre une brèche. Mais s’il cède aux pressions, il se renie. Dans les deux cas, le conflit russo-ukrainien devient un levier tactique entre deux Amériques irréconciliables.
L’effondrement français face au choc du monde
Pendant que les États-Unis se déchirent et que le reste du monde attend un nouveau cap, la France glisse lentement vers le chaos. Sous couvert de continuité politique, l’appareil d’État s’effondre, incapable d’assumer une vision stratégique dans un monde en recomposition. Crise économique, perte de souveraineté, soumission à l’UE : la France ne participe plus à l’histoire, elle la subit.
L’alternative mondiale se dessine pourtant clairement : reconduire l’ordre ancien jusqu’à l’effondrement total, ou oser des ruptures radicales. Le système mondialiste n’est pas seulement technocratique ou financier : il est fondamentalement satanique. Il repose sur l’inversion des valeurs, la destruction des identités, la négation des racines spirituelles des peuples. Ses relais sont partout : dans les élites européennes, les multinationales, les ONG, et les médias. Ce pouvoir ténébreux n’a pas dit son dernier mot. Mais face à lui, une contre-offensive s’organise, portée par les nations encore debout et les peuples réveillés. Le choc est inévitable.
IMPORTANT - À lire
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