OMS : l’organisation la plus dangereuse au monde

L’OMS agit comme une autorité supranationale, imposant ses directives au-dessus des lois nationales via des traités contraignants. L’OMS agit comme une autorité supranationale, imposant ses directives au-dessus des lois nationales via des traités contraignants.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Débat explosif le 15 mai à 19h sur YouTube avec Jacky Cassou et Patrick Pasin, invités de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
  • Jacky Cassou dénonce les dérives autoritaires de l’OMS dans son livre « OMS, menace pour l’humanité ».
  • Patrick Pasin, critique de la géopolitique et de la santé publique, explore la souveraineté individuelle.

Le 15 mai à 19h, Jacky Cassou et Patrick Passin sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Jacky Cassou est un auteur et animateur français engagé dans la critique des politiques sanitaires et des institutions internationales. Il a notamment publié OMS, menace pour l’humanité, un ouvrage dans lequel il dénonce le rôle de l’Organisation mondiale de la santé, qu’il accuse de dérives autoritaires et de collusions avec des intérêts privés.

Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

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L’OMS s’impose comme autorité supranationale

L’Organisation mondiale de la santé n’est plus un simple organe consultatif : elle agit comme une autorité supranationale, plaçant ses directives au-dessus des législations nationales. Les règlements sanitaires internationaux, signés par 196 États, permettent à l’OMS d’imposer des mesures contraignantes, sans validation parlementaire dans les pays membres. En déclarant une urgence sanitaire, elle déclenche une chaîne d’obligations juridiques qui neutralisent toute opposition interne. Ce cadre légal a été renforcé après le SRAS, puis appliqué avec une brutalité inédite durant la crise du COVID-19.

La réponse à la pandémie a illustré cette mécanique implacable. L’OMS a imposé confinements généralisés, masques obligatoires, fermetures d’écoles, puis pass sanitaires à l’échelle planétaire. Les gouvernements ont agi comme relais, souvent sans débat démocratique, justifiant leurs décisions en invoquant la “science” validée par l’OMS. En réalité, cette centralisation sanitaire a permis un basculement inédit de pouvoir vers une technocratie globalisée, hors de tout contrôle citoyen.

L’objectif est clair : faire de la santé un vecteur de gouvernance mondiale. L’OMS prépare de nouveaux traités pandémiques visant à légaliser cette tutelle permanente sur les États. En coulisse, ce sont des intérêts privés, fondations et industriels qui influencent les priorités de l’organisation. La santé devient ainsi un prétexte à l’ingénierie sociale, pilotée depuis le sommet d’une pyramide technocratique.

Gates, financeur et stratège de la gouvernance sanitaire

Bill Gates est aujourd’hui l’un des hommes les plus influents dans les décisions sanitaires globales. Sa fondation, deuxième financeur de l’OMS après les États-Unis, injecte des centaines de millions de dollars chaque année. Mais au-delà des dons, elle oriente l’agenda stratégique : vaccination de masse, surveillance numérique, cartographie virale mondiale. La vision de Gates, techno-solutionniste et malthusienne, s’impose via des réseaux public-privé tentaculaires.

La Fondation Gates finance également Gavi, CEPI et bien d’autres partenaires de l’OMS. Ces entités agissent de concert pour développer, produire et distribuer les vaccins, tout en définissant les priorités de recherche. L’OMS devient alors un organe d’exécution pour des programmes conçus ailleurs, dans des conseils d’administration dominés par les grands acteurs pharmaceutiques. Le pouvoir n’est plus entre les mains des peuples, mais dans celles d’une élite philanthropique globaliste.

L’obsession vaccinale de Gates n’est pas une simple lubie humanitaire. Elle s’inscrit dans un projet plus vaste de contrôle démographique et de surveillance sanitaire mondiale. Les campagnes de stérilisation par “vaccins contraceptifs” en Afrique, sous couvert d’aide au développement, en témoignent. En fusionnant santé, numérique et biotechnologies, Gates impose une gouvernance algorithmique, déshumanisée, au nom de l’efficacité.

Corruption, pandémie orchestrée et soumission généralisée

L’OMS est gangrenée par la corruption structurelle. Le financement privé, représentant plus de 80 % de son budget, rend l’organisation vulnérable aux intérêts des donateurs. Chaque programme, chaque crise devient une opportunité d’enrichissement pour ceux qui dictent les priorités sanitaires mondiales. La gestion de la pandémie de COVID-19 a révélé l’étendue de cette collusion.

L’alerte à Wuhan a été déclenchée tardivement, malgré les signaux évidents. Pendant ce temps, l’OMS minimisait les risques, reprenant sans sourciller la propagande du régime chinois. Une fois l’urgence déclarée, elle a imposé un narratif unique : virus mortel, confinement indispensable, vaccin unique solution. Ce narratif verrouillé a été relayé par les gouvernements et médias, tous alignés sur la parole “officielle”. Le débat scientifique a été étouffé, les traitements alternatifs censurés, les experts dissidents marginalisés.

Ce n’est pas une erreur, c’est une stratégie. En amplifiant la peur, l’OMS a permis la mise en place de mesures autoritaires dans des dizaines de pays. La pandémie a servi de laboratoire de contrôle social, avec traçage numérique, QR codes, propagande médicale de masse. Le chaos sanitaire orchestré a ouvert la voie à une refonte totale de la souveraineté. La santé devient le prétexte absolu pour suspendre les libertés, imposer des passes numériques et conditionner l’accès aux droits fondamentaux.

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