Di Vizio règle ses comptes avec le pouvoir et « l’opposition » !

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DI VIZIO RÈGLE SES COMPTES AVEC LE POUVOIR ET “L’OPPOSITION” ! | GPTV

Le 8 avril à 19h, Fabrice Di Vizio, Sylvain Baron et Antoine Gainot sont les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.

Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.

Sylvain Baron, journaliste engagé, revient tout juste de son périple en Ukraine, où il a plongé au cœur des zones de conflit à Zaporija et Marioupol.

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Antoine Gainot est un éditorialiste au sein de la revue « Front populaire », une publication française fondée par Michel Onfray, qui se consacre à une réflexion critique sur les enjeux contemporains en France et en Europe. À travers ses écrits, Antoine Gainot aborde des sujets variés, souvent marqués par une analyse de l’actualité politique et sociétale, et s’inscrit dans une démarche de défense de la souveraineté populaire et de remise en question des dogmes dominants.

La République vacille, l’autoritarisme s’installe

L’échéance présidentielle de 2027 n’a jamais paru aussi irréelle. Le pouvoir central affaibli, les institutions vidées de leur substance, et une classe politique incapable de répondre aux crises majeures : tout indique que la République vit ses dernières heures. Le gouvernement ne gouverne plus, il verrouille. Il n’administre plus, il contrôle. Chaque réforme impopulaire est imposée par la force ou par décret, et les contrepouvoirs sont méthodiquement neutralisés. La marginalisation judiciaire d’opposants politiques, comme Marine Le Pen, montre que le système ne tolère plus aucune alternative crédible. Encore faut-il qu’elle soit une réelle opposition ! Ou bien est-ce juste une mise en scène …?

Face à la défiance généralisée, la République choisit l’escalade autoritaire. Surveillance renforcée, restriction des libertés, encadrement de l’information : l’État se bunkerise pour survivre à son propre effondrement. Ce glissement est assumé, planifié, organisé. Ce n’est plus une démocratie, c’est une citadelle assiégée qui tire sur ses citoyens.

L’euro numérique : la dernière chaîne

En octobre 2025, la monnaie numérique de banque centrale débarque en France. Présentée comme une « modernisation », elle acte en réalité un basculement totalitaire. Chaque transaction pourra être tracée, chaque dépense validée ou refusée. Le cash, seul rempart à la liberté économique individuelle, est appelé à disparaître. Ce nouveau système n’est pas une innovation : c’est une prison monétaire.

Avec la généralisation de l’euro numérique, l’État acquiert un levier inédit pour conditionner l’accès à la consommation. En cas de désaccord politique, de comportement « déviant », ou d’opinion non conforme, il pourra désactiver un compte, bloquer un paiement, couper la vie. Ce n’est plus une hypothèse, c’est un programme en cours d’implémentation. La fin de l’argent liquide, c’est la fin de l’autonomie.

Un peuple vidé, sans colère ni résistance

Les Français ne se battent plus. Ils encaissent. Ils observent l’écroulement avec une résignation glaciale. Ni la guerre en Ukraine, ni la menace numérique, ni même les provocations autoritaires du pouvoir n’ont réveillé une mobilisation de masse. Même le Rassemblement National, longtemps vu comme exutoire politique, ne parvient plus à canaliser l’angoisse collective. La rupture entre la population et ses élites est totale. Mais elle ne produit pas la révolte : elle engendre l’abandon.

L’état d’esprit des Français, aujourd’hui, c’est l’anesthésie. Le dégoût, la fatigue, la peur. Ils n’y croient plus. Ni aux partis, ni aux syndicats, ni aux promesses. Ce détachement n’est pas un désintérêt : c’est une réaction immunitaire à un système perçu comme définitivement corrompu. Ce peuple ne demande plus rien. Et c’est précisément ce silence qui permet à l’ordre techno-autoritaire de s’installer.

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