🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez les invités de La Matinale : Finn Andreen, analyste géopolitique, Pierre Jovanovic, défenseur de l’or, et Youssef Hindi, historien de l’eschatologie.
- Les morts suspectes d’Olivier Marleix et Éric Denécé : purge silencieuse des opposants au pouvoir profond.
- Affaire Epstein enterrée : 10 000 contenus pédopornographiques sans arrestations, le DOJ nie l’existence d’un registre.
- Trump, espoir ou complice ? Silence total sur Epstein, lanceurs d’alerte ignorés.
Le 9 juillet à 7h, Finn Andreen, Pierre Jovanovic et Youssef Hindi sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer en direct sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.
Pierre Jovanovic est un journaliste économique, éditeur et éditorialiste français, auteur d’essais historiques, théologiques, financiers et politiques. Il anime sa chaîne Youtube Pierre Jovanovic – La revue de presse et vient également de publier 888 : « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ». Grand défenseur de l’or et l’argent métal comme valeur refuge, il nous aidera à y voir plus clair dans ce sombre avenir économique qui nous tend les bras.
Youssef Hindi est écrivain, chercheur indépendant et historien de l’eschatologie messianique. Ses travaux de recherches sont tournés principalement vers l’étude des origines des idéologies modernes, de leur évolution et leur influence sur la politique et la géopolitique contemporaines. Il a récemment publié son dernier ouvrage, co-écrit avec Pierre-Antoine Plaquevent « Israël et la guerre mondiale des religions : Géopolitique et millénarisme. »
Suicide politique : la purge des figures de la dissidence en France
Les morts suspectes s’enchaînent, toujours sur la même ligne de fracture : celle de l’opposition au pouvoir profond. Olivier Marleix, figure gaulliste de la droite parlementaire, est retrouvé pendu le 7 juillet. Classé comme « suicide » sans autopsie publique, son décès ressemble moins à un drame personnel qu’à une exécution silencieuse. Il menait une enquête sur la finance criminelle et les circuits d’influence qui relient BlackRock, Israël et Washington. Trop indépendant, trop lucide, il n’était pas contrôlable.
Même constat pour Éric Denécé, ex-directeur du CF2R, retrouvé sans vie en janvier. Lui aussi posait les bonnes questions, lui aussi dérangeait. Deux morts, un même profil : des hommes libres, ancrés dans une vision souverainiste de la République. Le système ne tolère pas la dissidence. Il la fait taire. À coups de silence médiatique, de conclusions expéditives, et surtout d’amnésie collective. Chaque nouveau décès est un avertissement.
L’affaire Epstein enterrée en plein jour
On promettait l’explosion. On annonçait des noms, des visages, des preuves. Ce fut un brouillard épais. La Maison Blanche, par la voix de Karoline Leavitt, a confirmé que le Département de la Justice détient plus de 10 000 contenus pédopornographiques issus du dossier Epstein. Pourtant, aucune arrestation. Aucune poursuite. Aucune liste. Seulement un mémo du DOJ-FBI, publié le 7 juillet 2025, qui nie l’existence d’un registre de clients et entérine définitivement la thèse du suicide de Jeffrey Epstein.
La colère gronde. Des élus dénoncent une opération de protection des élites, un écran de fumée visant à protéger politiciens, milliardaires et fonctionnaires impliqués. L’État profond verrouille l’affaire, l’enterre à la pelle. Les images sont trop explicites, dit-on. Mais le problème n’est pas la violence des preuves. C’est leur puissance politique. Si la vérité sort, c’est un château de cartes qui s’effondre. Et les fondations du pouvoir mondial tremblent.
Trump, ultime espoir ou serviteur du système ?
Beaucoup misaient sur Trump pour faire éclater la vérité. Mais depuis son retour en campagne, le silence règne. Aucun soutien aux lanceurs d’alerte. Aucune critique du mémo DOJ. Rien. Le magnat new-yorkais, pourtant engagé jadis contre les réseaux pédocriminels, s’aligne désormais sur les conclusions officielles. Il entérine le suicide d’Epstein, ignore la censure de la Maison Blanche, et ne demande aucun compte à ceux qui enterrent les preuves.
Ce retournement alimente les soupçons. Trump a-t-il été contraint ? A-t-il intégré le jeu ? Dans tous les cas, les résultats sont clairs : plus de révélations, plus de combat, juste le silence. Le même silence qui entoure la mort de Marleix, la disparition de Denécé, les zones d’ombre de toutes ces affaires. L’omerta est totale, globale, implacable. Le système ne débat pas. Il élimine.
IMPORTANT - À lire
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