Division : Gros clash entre Dupont-Aignan, Philippot et Asselineau sur Sud Radio !

Pourquoi les souverainistes français restent divisés ? Analyse des rivalités et de l’impasse politique actuelle du camp patriote. Pourquoi les souverainistes français restent divisés ? Analyse des rivalités et de l’impasse politique actuelle du camp patriote.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 19 septembre à 12h30, Mike Borowski analyse la querelle entre Dupont-Aignan, Philippot et Asselineau, qui affaiblit le camp souverainiste, en direct sur Géopolitique Profonde.
  • Les affrontements publics sur Sud Radio montrent une division chronique qui condamne les souverainistes à l’impuissance, malgré un rejet croissant de l’UE et de l’OTAN.
  • Depuis vingt ans, la fragmentation des candidatures patriotes profite au système, les empêchant de franchir un seuil décisif aux présidentielles.
  • Une urgence d’union s’impose pour briser l’impasse et incarner une véritable alternative face aux mondialistes, faute de quoi le souverainisme restera marginal.

Le 19 septembre à 12h30, Mike Borowski démonte la guerre fratricide entre Dupont-Aignan, Philippot et Asselineau, cette division qui condamne le camp souverainiste à l’impuissance électorale, en direct sur Géopolitique Profonde.

La semaine politique a été marquée par une querelle fratricide entre Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot et François Asselineau sur l’antenne de Sud Radio. Ces affrontements publics, diffusés en direct, offrent un spectacle qui affaiblit mécaniquement le camp souverainiste. Alors que le peuple français attend une alternative forte face au mondialisme, l’Union européenne et l’OTAN, les leaders de l’indépendance nationale se dispersent et se neutralisent mutuellement. Le constat est brutal : tant que ces divisions persistent, les souverainistes plafonneront à 1% et laisseront les clés du pouvoir à l’oligarchie. Le problème n’est pas la sincérité des personnes, mais la logique de rivalités qui sert involontairement le système.

La désunion chronique des forces souverainistes

Le clash entre Nicolas Dupont-Aignan et Florian Philippot, suivi des réponses de François Asselineau, met en lumière une vieille maladie du camp patriote : l’incapacité à parler d’une seule voix. Chacun revendique une légitimité incontestable : Dupont-Aignan se pose en candidat historique, Philippot capitalise sur son combat contre le passe sanitaire, Asselineau défend avec constance la sortie juridique de l’Union européenne. Mais au lieu de s’articuler en une force commune, ces approches se heurtent et s’annulent. Le résultat est mécanique : trois discours différents, trois candidatures isolées, et aucun poids politique réel.

Ce jeu de rivalités n’est pas une fatalité. Les souverainistes disposent d’un capital politique fort : le rejet croissant de Bruxelles, l’exaspération contre l’OTAN, et la colère face à la soumission des élites à Washington. Mais en restant divisés, ils empêchent cette énergie populaire de se traduire en victoire électorale. Ainsi, les élites mondialistes n’ont même pas besoin de combattre le souverainisme : il s’autodétruit par fragmentation.

Le piège électoral qui profite au système

Depuis vingt ans, les scrutins présidentiels sont marqués par le même scénario : une multitude de candidatures souverainistes, des résultats faibles et éparpillés, et au final une marginalisation politique. Cette répétition n’est pas le reflet d’un désintérêt du peuple pour l’indépendance nationale, mais le produit d’un système qui se nourrit de la division. Les 1% cumulés de chaque candidature patriote sont brandis comme preuve que le souverainisme serait minoritaire. En réalité, c’est l’absence de rassemblement qui empêche de franchir un seuil décisif.

Ce piège électoral n’est pas une fatalité. Si ces leaders refusaient de se neutraliser mutuellement, une candidature unique pourrait incarner un véritable mouvement populaire. Mais tant que les ego l’emportent sur l’union, les mondialistes conservent un boulevard politique. Le souverainisme restera confiné à un rôle de témoin critique, incapable de peser réellement sur les décisions qui engagent l’avenir de la nation.

Une urgence d’union pour briser l’impasse

Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot et François Asselineau partagent un objectif commun : la libération de la France face à l’Union européenne et à l’OTAN. Pourtant, chacun s’enferme dans sa stratégie personnelle, ce qui conduit à une impasse collective. Loin de mettre en cause la sincérité de leur engagement, il s’agit de constater un fait : tant qu’ils s’opposent entre eux, ils rendent service à ceux qui veulent maintenir la France sous tutelle étrangère.

L’histoire retiendra qu’aucun pays n’a jamais retrouvé sa souveraineté dans la division. Les exemples de Poutine en Russie ou de Trump aux États-Unis démontrent que la reconquête passe par un leadership rassemblant des courants différents derrière une ligne claire. Le peuple français attend cette clarté. Si les figures souverainistes acceptaient enfin de dépasser leurs rivalités, elles pourraient incarner une véritable alternative. Sinon, le souverainisme français restera condamné à un rôle marginal, réduit à 1% éternel, malgré l’attente immense du pays pour une France libre.

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