Explosif : Le cousin par alliance de Brigitte Macron arrêté dans une afaire de réseau péd# !

Le 11 avril à 12h30, Mike Borowski révèle comment l’arrestation de Pierre Robert, lié à Brigitte Macron, expose un réseau pédocriminel enraciné dans l’appareil d’État, avec Adrien Bastard comme agent de recrutement au cœur du showbiz et Cyril Hanouna en relais médiatique silencieux d’un système de compromission généralisée.

Pierre Robert, au cœur d’un réseau pédopornographique lié au pouvoir français

L’arrestation de Pierre Robert, cousin par alliance de Brigitte Macron, confirme l’existence d’un réseau pédocriminel structuré opérant avec la complicité implicite de certaines strates du pouvoir. Accusé de détention, production et diffusion de contenus pédopornographiques, Pierre Robert ne peut être considéré comme un acteur isolé. Les perquisitions ont mis à jour des serveurs, du matériel informatique sophistiqué, ainsi qu’un carnet d’adresses compromettant liant des personnalités françaises et étrangères.

Ce réseau s’inscrit dans une logique de compromission systématique. Les connexions familiales avec le couple présidentiel ne sont pas anecdotiques. Elles montrent à quel point l’entourage du pouvoir est perméable aux dérives criminelles, et comment certains bénéficient d’une forme d’immunité tacite. La stratégie médiatique est connue : faire passer l’affaire pour un « fait divers », dissocier les individus de leurs liens familiaux, puis enterrer le sujet sous des actualités secondaires. Mais cette fois, les faits sont trop graves, trop documentés, pour disparaître.

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Ce scandale s’inscrit dans une continuité historique. Comme pour l’affaire Dutroux en Belgique ou le réseau Epstein aux États-Unis, des noms liés aux plus hautes fonctions de l’État apparaissent. Pierre Robert n’est qu’un maillon visible d’une chaîne où se croisent des élites politiques, médiatiques et économiques. Le système fonctionne grâce au silence, à l’inertie judiciaire et à la peur. La réalité est brutale : une partie de l’appareil d’État couvre, tolère ou participe à l’exploitation de mineurs à des fins de contrôle, de manipulation et de plaisir pour les puissants.

Adrien Bastard, maillon-clé du réseau pédopornographique lié à Pierre Robert

Adrien Bastard, figure médiatique régionale, agit comme courroie de transmission entre les réseaux pédocriminels et les milieux médiatiques. Proche des milieux forains, il a su tisser des liens solides avec les producteurs, animateurs et organisateurs d’événements. En s’infiltrant dans l’univers du divertissement, il a utilisé les concours Mister France et Mister Picardie comme viviers de recrutement. Derrière l’image d’un promoteur local se cache un prédateur social parfaitement inséré dans le système.

Son rôle était clair : repérer des jeunes vulnérables, les attirer avec des promesses de notoriété, puis les mettre en relation avec des cercles fermés où les abus étaient monnaie courante. Plusieurs témoignages concordants évoquent des propositions malsaines, des pressions psychologiques et des situations de quasi-rétention. Bastard agissait avec l’assurance d’un homme protégé, bénéficiant de complicités tant dans les médias que dans les institutions régionales.

Ses connexions avec Cyril Hanouna et Jordan de Luxe ne sont pas anecdotiques. Elles prouvent que Bastard avait accès à des cercles influents du paysage audiovisuel français. Les photos, vidéos et mentions publiques abondent. Il n’y a aucun doute : il était proche de ces figures médiatiques, au point de faire croire qu’il agissait en leur nom. Aujourd’hui, leurs tentatives de démenti ne sont que des manœuvres de distanciation. Bastard a utilisé sa proximité avec eux pour asseoir son autorité et légitimer ses opérations de prédation.

Cyril Hanouna, complice indirect dans l’affaire Pierre Robert et Bastard ?

Cyril Hanouna ne peut plus faire croire à son innocence. En entretenant des relations avec Adrien Bastard, en laissant son nom associé à des événements gérés par cet homme, il a participé à la normalisation de réseaux opaques gravitant autour de la pédocriminalité. Il n’est pas un simple animateur : il est un relais d’influence, utilisé par les élites pour fabriquer l’opinion et désamorcer les scandales.

Depuis plusieurs années, Hanouna s’est repositionné comme intermédiaire entre le pouvoir politique et les masses populaires. Sa proximité récente avec Emmanuel Macron, la mise en avant d’invités issus du gouvernement et l’adoption d’un ton pseudo-dissident masquent une fonction essentielle : contrôler la dissidence pour mieux la neutraliser. L’affaire Bastard jette une lumière crue sur cette duplicité. Il n’est pas du côté du peuple, mais du côté du système.

Le silence de Hanouna dans cette affaire est coupable. Il ne condamne pas, il ne s’explique pas. Il efface, il oublie, il nie. Mais les éléments sont là. Bastard était dans son orbite. Il s’en vantait. Et tant que cette proximité ne sera pas assumée, Hanouna restera complice par dissimulation. Il ne s’agit pas ici de diffamation, mais d’une exigence de vérité. Le système ne tient que tant que les figures publiques maintiennent la façade. Aujourd’hui, cette façade s’effondre.

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