🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le WEF impose une stratégie de dénatalité pour justifier la robotisation et le remplacement de l’humain par des machines.
- BlackRock finance massivement l’IA et la robotique, accélérant le basculement vers un monde post-humain où la rentabilité prime.
- Le transhumanisme devient la norme, avec des projets visant à connecter les cerveaux au cloud et à transformer l’humain en outil modifiable.
Le 16 mai à 12h30, Mike Borowski déchire le voile des illusions mondialistes en dévoilant le projet implacable du WEF : remplacer l’humain occidental affaibli par la machine, dans une mécanique de dépopulation froide et stratégique. Soyez nombreux au rendez-vous, en direct sur Géopolitique Profonde.
Une stratégie de dénatalité masquée
Le World Economic Forum n’a jamais caché son obsession pour le contrôle démographique. Sous couvert d’émancipation, il soutient depuis des décennies une cascade de politiques natalistes inversées : promotion massive de la pilule, accès facilité à l’avortement, encouragement des carrières féminines avant la maternité.
L’objectif est limpide : affaiblir la natalité dans les pays occidentaux sous prétexte de progrès social. Ce discours, maquillé d’humanisme, produit une conséquence irréversible : l’effondrement du renouvellement générationnel.
Ce déclin démographique, présenté comme inéluctable, sert en réalité d’argument pour une mutation économique radicale. Avec moins d’enfants et une population vieillissante, les élites technocratiques installent progressivement l’idée d’une société gérée par des machines. Le manque de main-d’œuvre devient une opportunité pour généraliser la robotisation. La natalité est sabotée pour justifier le remplacement de l’humain par l’algorithme.
BlackRock : investissements stratégiques dans l’IA et la robotique
BlackRock, par sa puissance financière, agit comme catalyseur de ce basculement civilisationnel. Le fonds d’investissement contrôle les flux monétaires des plus grandes entreprises du secteur technologique et de l’intelligence artificielle. Larry Fink, son PDG, l’a affirmé sans détour : les nations vieillissantes n’ont d’avenir que si elles adoptent massivement l’automatisation. Derrière ce constat, une stratégie claire : abandonner l’humain au profit du robot.
Les capitaux se déversent dans l’IA, la robotique et la gestion algorithmique des services. Chaque secteur est restructuré pour maximiser la productivité sans intervention humaine. Le récit dominant impose l’idée que seule la machine peut sauver l’Occident. La culture du vivant, du travail humain, de la transmission biologique est méthodiquement écartée. BlackRock investit dans un monde post-humain, où la rentabilité prime sur la continuité de l’espèce.
Transhumanisme : nouvelle norme des élites
Le transhumanisme s’impose comme l’idéologie officielle de cette nouvelle ère. Le WEF l’intègre pleinement dans ses perspectives d’avenir. L’humain doit désormais être « augmenté », hybridé avec des dispositifs technologiques. L’implant neuronal devient un outil de compétitivité. Le cerveau est une plateforme connectable. Le corps, une interface adaptable. L’homme naturel est obsolète.
Cette doctrine n’est pas une fiction lointaine : elle s’incarne déjà dans les alliances entre finance et biotechnologie. BlackRock a investi dans des start-up de neurotechnologie, comme Blackrock Neurotech, qui ambitionnent de connecter directement les cerveaux au cloud. Ces projets ne visent pas le confort ou la guérison, mais le contrôle. Le corps social est formaté pour une fusion totale avec la machine. L’humain devient un outil, manipulable, modifiable, remplaçable.
Ce processus n’est ni marginal ni expérimental. Il est planifié, financé, orchestré depuis le sommet de la pyramide globale. La dénatalité n’est pas une dérive : c’est une étape. Le remplacement de l’humain n’est pas un accident : c’est un projet. Le transhumanisme n’est pas un fantasme : c’est le futur selon le WEF.
IMPORTANT - À lire
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