Le 25 mai à 19h, Violette Valorcy, Christophe Soyer, Jean-Louis Lefèvre et Lydiana Delbreil sont les invités de Nicolas Stoquer, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde.
Violette Valorcy est fondatrice de l’association « Les Rencontres de l’Un-connu ». Elle œuvre pour rassembler les esprits libres autour de la quête de sens et de vérité.
Christophe Soyer est magnétiseur et rebouteux. Il incarne une approche ancestrale du soin, connectée aux énergies de la nature.
Jean-Louis Lefèvre est auteur, astrophysicien et ethnobotaniste. Il intervient dans le film Les Ailleurs de Sébastien Duijndam, consacré aux phénomènes d’abduction.
Lydiana Delbreil est médium. Elle explore les dimensions invisibles pour transmettre des messages et accompagner les êtres en quête de lumière.
Un festival en rupture avec le monde convenu
C’est dans le sillage de la gestion autoritaire de la crise sanitaire que s’est cristallisé un besoin irrépressible : créer un monde parallèle. Hors des carcans idéologiques, religieux et sociaux, une contre-société se forme, portée par ceux qui ne se contentent plus de subir la norme. L’association des Rencontres de l’Un-connu incarne cette lame de fond, unissant chercheurs, artistes et éveilleurs de conscience dans une quête de vérité non négociable. En mai 2024, leur premier festival à Cajarc a rassemblé plus du double des participants attendus. Le succès a été fulgurant. Conférences sur la vie extraterrestre, spectacles baroques, stands de bien-être et moments de partage ont redessiné les contours d’une communauté en pleine émergence.
Cette dynamique collective s’enracine dans des parcours de vie profondément transformés. Christophe Soyer, magnétiseur, passionné par les mégalithes et leur alignement avec les constellations, et son épouse, alchimiste des mots et des sens, ont quitté le confort matérialiste pour une quête absolue de sens. Leur itinéraire personnel, entre effondrement et reconstruction, les a conduits à tisser un réseau de chercheurs, de conférenciers et d’artisans d’un autre savoir, souvent marginalisés, toujours engagés. Ce réseau constitue aujourd’hui l’ossature d’un projet qui défie les récits officiels : une manifestation culturelle et spirituelle affranchie du politiquement correct, dédiée à la Grande Conscience Universelle.
Féminin et Masculin sacrés, une réponse à la confusion contemporaine
Pour 2025, le festival s’attaque à un thème brûlant : le Féminin et le Masculin sacrés. Dans une époque saturée de confusion identitaire, où la biologie est niée au profit d’idéologies importées, le retour à l’essence des polarités n’est plus une option, c’est une nécessité. Le genre est devenu une arme politique. La dissociation des êtres d’avec leur nature profonde alimente un chaos silencieux, insidieux, mais bien réel. Face à cette offensive, le festival oppose une vision unificatrice, enracinée, transversale : réconcilier l’humain avec sa double polarité, restaurer l’équilibre fondateur.
Les conférenciers annoncés incarnent cette démarche. Jean-Louis Lefèvre, astrophysicien et ethnobotaniste, relie les abductions aux savoirs anciens. Lydiana Delbreil, médium d’une précision troublante, ouvre les portes du monde invisible. D’autres figures incontournables – historiens, chercheurs, linguistes – apporteront leur pierre à l’édifice de cette réconciliation sacrée. La pièce de théâtre « Sacrée Genèse », les projections sur les femmes sacrées de Bretagne, les spectacles de danse et les moments festifs compléteront cette immersion totale. L’expérience se veut holistique, incarnée, sensorielle, loin des discours aseptisés.
Une convergence d’esprits libres et de savoirs marginaux
Ce qui distingue ce festival n’est pas la quantité, mais la densité. Chaque intervenant, chaque artisan, chaque performance converge vers une seule mission : libérer l’esprit. Bleuette Diot, historienne et archéologue de terrain, relie Gobekli Tepe aux récits bibliques. Christophe Soyer, explorant la corrélation entre mégalithes et constellations, fait émerger une géographie céleste oubliée. La traduction française inédite de « La Genèse oubliée » de Radu Cinamar, les croisements avec les travaux de Mauro Biglino, Pietro Buffa et Anton Parks, tout cela compose une trame alternative cohérente, dérangeante, inattaquable.
Ce tissu de connaissances ne s’arrête pas à la spéculation : il se vit. Les ateliers, les stands artisanaux, les espaces de discussion permettent à chacun de s’approprier ces savoirs. Pas de hiérarchie figée, mais une circulation fluide des idées. La danse, le théâtre, la parole et le silence se répondent. Cette convergence n’est pas un hasard, elle résulte d’un long travail de sélection, d’écoute, d’expérimentation. Elle reflète un mouvement souterrain mais déterminé, qui ne demande plus la permission d’exister.
Le festival des Rencontres de l’Un-connu 2025 ne se contente pas de faire événement. Il ouvre une brèche. Une brèche dans la chape de plomb de la pensée unique, dans la verticalité des discours imposés. Ici, les savoirs oubliés, les intuitions ancestrales et les recherches non conformes retrouvent leur place. Et ce n’est qu’un début.
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