🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez la conférence à Moscou avec Alain Soral et Géopolitique Profonde. Deux voix françaises contre la propagande occidentale.
- Un peuple français trahi mais résistant. En Russie, on parle de souveraineté et de construction, en France de soumission et de destruction.
- Le dispositif MIRE, une arme stratégique contre SWIFT. La Russie bâtit une alternative, la France subit une économie sous tutelle.
- Soral évoque une guerre totale et le concept du Katechon. Poutine, figure du rempart face au chaos mondial.
- Résister, c’est agir. La Russie montre que c’est possible. La France doit s’inspirer et se battre pour sa souveraineté.
Aujourd’hui, le 9 juin à 17h, découvrez une partie de la conférence internationale qui s’est tenue en Russie, à laquelle j’ai participé. J’étais présent pour représenter Géopolitique Profonde, et Alain Soral faisait également partie des intervenants. Deux voix françaises, libres, face à la machine de propagande occidentale.
Un peuple trahi, une nation qui tient encore debout
Le message a été clair dès le départ : les peuples veulent reprendre le contrôle. Fin de l’illusion démocratique, fin de la soumission aux empires invisibles. Sur scène, j’ai parlé au nom d’un peuple français trahi, vendu, méprisé. Mais pas mort. Un peuple qui a encore la rage, qui croit encore à une sortie de l’abîme.
L’écart entre ce qu’on vit et ce qu’on nous vend est devenu insupportable. En Russie, on parle de souveraineté, de réalité, de résistance. En France, on subit un délire idéologique diffusé par des élites hors sol. Là-bas, on construit. Ici, on détruit. L’État russe agit pour son peuple. L’État français agit contre le sien.
Le dispositif MIR, cette alternative à SWIFT, incarne cette volonté de rupture. Ce n’est pas un gadget, c’est une arme stratégique. Pendant qu’on impose aux Français une économie sous tutelle américaine, la Russie bâtit une alternative solide. Voilà ce qu’on nous cache. Voilà ce qu’il faut regarder en face.
Soral, la guerre totale et la force du rempart
Alain Soral n’a pas mâché ses mots. Il a parlé de guerre. Pas seulement militaire, mais totale. Une guerre métaphysique entre le bien et le chaos. Son intervention a été directe, radicale, sans détour.
Le Katechon, ce concept qu’il remet au centre, ce n’est pas une théorie de salon. C’est un outil pour comprendre ce qui se joue. Ce qui retenait la barbarie a sauté. L’alliance judéo-nazie qu’il dénonce – mélange explosif de sionisme radical et de néonazisme ukrainien soutenu par Washington – n’est pas un fantasme. C’est le cœur du chaos actuel. Gaza, Donbass, Syrie : toujours les mêmes mains, toujours les mêmes crimes.
Mais une autre force monte. Les BRICS, les nations insoumises, les peuples enracinés. Soral l’a dit : ce pôle multipolaire, c’est le nouveau Katechon. Ce n’est pas de la poésie, c’est de la stratégie. Et oui, Poutine peut en être une figure. Si ce n’est un sauveur, au moins un rempart. Et dans la guerre qui vient, les remparts sont rares.
Résister c’est agir
Mon intervention ne visait pas à convaincre les convaincus. Elle visait à rallumer un feu. Celui d’une France qui refuse de crever à genoux. Oui, notre pays est occupé. Pas par des chars, mais par des marchés, des traités, des bases militaires. L’ennemi parle anglais, mais il parle aussi bruxellois et bancaire.
La Russie montre que résister, c’est possible. Sortir du dollar, signer des accords équitables, produire local : tout ça se fait déjà. Il ne manque que la volonté. Chez nous, elle est piétinée. Par les médias, par les politiques, par les parasites de la finance.
Ma présence à cette conférence, c’était un acte politique. Pas de neutralité ici. Le journalisme, le vrai, doit choisir son camp. Le mien est clair : le peuple français, pas ses traîtres. La France réelle, pas la France soumise. Le monde multipolaire, pas l’empire globaliste.
Ce que j’ai vu en Russie, c’est une nation fière, organisée, debout. Pas parfaite. Mais digne. Il est temps qu’on s’en inspire. Il est temps qu’on arrête de se chercher des excuses. Le combat est mondial. Mais il commence ici. Chez nous. Maintenant.
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