Macron est-il fou ? On révèle son profil psychiatrique

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 16 avril à 19h, découvrez la psychologie d’Emmanuel Macron avec Michel Fize, Lara Stam et Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
  • Analyse de la mégalothymia de Macron, une pathologie mentale marquée par une obsession de supériorité et un mépris assumé envers le peuple.
  • Explorez comment son histoire intime et sa relation avec Brigitte Trogneux influencent son rapport au pouvoir et sa quête de domination.

Le 16 avril à 19h, Michel Fize, Lara Stam et Nicolas Stoquer sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.

Au programme : On analyse la psychologie d’Emmanuel Macron, en décortiquant les ressorts intimes qui influencent son rapport au pouvoir et à la nation.

Michel Fize est un sociologue et politologue français et ancien chercheur au CNRS. Il est reconnu pour ses travaux sur la jeunesse, l’adolescence et la famille. Il a également été engagé en politique, notamment en tant que conseiller régional d’Île-de-France et adjoint au maire de Michery. Auteur prolifique, il a publié plus d’une quarantaine d’ouvrages. Il a publié Un président anormal : essai sur la mégalothymia d’Emmanuel Macron, une analyse critique de la personnalité du président français qu’il nous présentera lors de cette émission.

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Lara Stam est chroniqueuse et animatrice, passée par Radio Courtoisie avant de rejoindre Géopolitique Profonde et GPTV. Spécialiste des questions de souveraineté et d’indépendance géopolitique, elle décrypte avec un ton incisif les crises internationales et les rapports de force mondiaux. Elle traite notamment des conflits oubliés (Arménie-Haut-Karabagh) et des enjeux multipolaires. Sur GPTV, elle a animé une émission nocturne, « Un Soir avec Lara », et contribue à d’autres formats comme « La Grande émission » sur GPTV et « Le Libre Journal de Géopolitique Profonde » sur Radio Courtoisie.

Nicolas Stoquer, diplômé de Sciences Po Paris, est titulaire d’un doctorat de Philosophie Politique. Il a été 28 ans fonctionnaire de l’Éducation nationale et du Ministère de l’économie et des finances en tant que Comptable Public. Il est un animateur phare de GPTV, où il dirige La Matinale et L’Actualité de midi. Ces émissions, mêlant revue de presse et analyses approfondies, sont devenues incontournables pour les spectateurs en quête d’une lecture alternative et critique des enjeux sociétaux, géopolitiques ou économiques.

Macron, l’hubris d’un président hors norme

Emmanuel Macron incarne une rupture psychologique inédite dans l’histoire de la Ve République. Jamais un président n’a autant méprisé son peuple, ni affiché une telle condescendance envers les classes populaires. Cette posture autoritaire ne relève pas d’un simple trait de caractère : elle traduit une pathologie mentale identifiée sous le nom de mégalothymia, cette obsession d’être reconnu comme supérieur. Macron ne gouverne pas, il domine. Il n’argumente pas, il impose. Il ne convainc pas, il écrase.

Derrière le masque lisse du technocrate moderne se cache un esprit profondément déséquilibré, nourri par une trajectoire personnelle marquée par une pulsion de pouvoir absolu. Macron ne veut pas diriger la France : il veut l’incarner, la plier à sa vision. Ce fantasme de toute-puissance révèle une construction mentale instable, façonnée par des blessures affectives, sexuelles et narcissiques.

Mégalothymia et psychologie d’Emmanuel Macron : un narcissisme structurant

Chez Macron, le besoin de reconnaissance dépasse l’ambition classique d’un chef d’État. Il s’agit d’un appétit compulsif de domination morale et symbolique. Cette soif de supériorité s’exprime dans ses discours et décisions. Lorsqu’il qualifie les Français de “Gaulois réfractaires”, il affiche un mépris assumé. Quand il parle de “ceux qui ne sont rien”, il révèle un dégoût pour l’humain ordinaire.

La mégalothymia n’est pas une exagération : elle structure son rapport au pouvoir. Macron se place au-dessus des institutions qu’il est censé incarner. Parlement, corps intermédiaires, presse, citoyens : tout est réduit à un décor. La contradiction le dérange, car elle fissure l’image idéale qu’il s’efforce de maintenir.

Ce narcissisme ne vient pas du politique, mais d’une construction personnelle troublée, marquée par un manque d’autonomie affective et un rapport biaisé à l’amour et à la sexualité.

Une histoire intime au cœur de la faille

Le couple qu’il forme avec Brigitte Trogneux en est révélateur. Macron a été initié à la vie amoureuse par une femme mariée, mère de famille, de 24 ans son aînée. Cette relation précoce a figé son développement émotionnel dans un schéma de soumission affective. Il n’a pas conquis l’amour : il l’a subi comme une révélation mystique. Depuis, il cherche à rejouer ce scénario : domination douce, emprise affective, validation par le regard d’autrui.

Brigitte est à la fois sa femme et sa figure maternelle. Celle qui l’a “fait roi” continue d’exercer une influence totale. Macron agit toujours comme un adolescent brillant voulant prouver qu’il mérite l’amour de sa maîtresse. Ce besoin d’admiration et de contrôle naît d’un manque : celui d’initiation virile, de reconnaissance masculine, de conquête personnelle.

Cette immaturité affective déforme son rapport au pouvoir. Macron ne se contente pas d’exercer l’autorité : il s’enivre d’autoritarisme, y cherchant un substitut à une virilité qu’il n’a jamais incarnée. Il traite le peuple comme un miroir censé refléter sa grandeur – et qu’il brise s’il n’y parvient pas.

Emmanuel Macron : la psychologie d’un président façonné par son mythe

Macron est aussi le produit d’un système qui l’a façonné : jeune prodige, énarque parfait, banquier brillant, gendre idéal… Ce storytelling n’a fait qu’accentuer une faille intérieure. Derrière le vernis de la réussite, on trouve une personnalité instable : mégalomane et dépendante, autoritaire et fragile.

Son lien avec Brigitte a été le déclencheur de cette posture, mais aussi sa justification permanente. Il ne doute jamais, car douter reviendrait à effondrer le mythe. Il ne remet rien en question, car il n’a jamais appris à le faire.

Macron n’est pas simplement “hors norme”, comme le dit Michel Fize : il est l’incarnation d’un déséquilibre intime projeté à l’échelle d’une nation. Il ne gouverne pas avec raison, mais avec ses pulsions. Il dirige la France comme un fantasme de grandeur, animé par la rage de ne plus jamais se sentir inférieur.

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