🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez le reportage-choc « C’est notre petit secret » de Pierre Barnérias sur les réseaux pédocriminels, en direct le 3 juillet à 19h sur Géopolitique Profonde.
- Laurence Beneux, journaliste indépendante, et les défenseurs des libertés Johann Fakra et Matthieu de Crowdbunker analysent l’impunité des pédocriminels.
- Plongez dans un système de dissimulation où les institutions protègent les agresseurs et ignorent les victimes, révélant une vérité dérangeante.
Le 3 juillet à 19h, Laurence Beneux, Johann Fakra et Matthieu de Crowdbunker sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde. Découvrez notre émission exclusive centrée sur « C’est notre petit secret« , le dernier documentaire choc signé Pierre Barnérias.
La pédocriminalité n’est pas une dérive marginale, c’est un système structuré, protégé et banalisé au plus haut niveau. Dans son dernier reportage-choc « C’est notre petit secret », Pierre Barnérias brise le mur du silence et explore l’impensable : l’existence de réseaux pédocriminels bénéficiant d’une impunité quasi totale.
Mathieu, c’est le cerveau derrière Crowdbunker. Très engagé en faveur des libertés individuelles, il se bat contre les monopoles numériques. Avant de fonder Crowdbunker, Mathieu a navigué dans divers secteurs technologiques, acquérant une solide expérience en développement de plateformes numériques indépendantes et sécurisées.
Johann Fakra, est aussi un entrepreneur engagé et fervent défenseur des libertés individuelles. Il s’est spécialisé dans le développement de projets axés sur la protection des données et l’autonomie des utilisateurs.
Laurence Beneux est une journaliste indépendante. Elle a travaillé pour Le Figaro, Paris-Match, L’Express… ainsi que pour l’émission d’investigation « 90 minutes » sur Canal+. Elle est également la co-auteure, avec Serge Garde, de Le Livre de la honte, les réseaux pédophiles (cherche midi, 2000), et l’auteure de Droits des femmes et des enfants : l’intolérable indifférence (Michalon, 2017).
L’impunité comme règle
Face à la pédocriminalité, l’appareil judiciaire ne réagit pas, il se replie. Les enfants parlent, les plaintes sont déposées, les certificats médicaux s’accumulent — mais rien ne bouge. La machine s’enraye dès que le mot “viol” croise le mot “enfant”. Le chiffre est sans appel : plus de 80 % des affaires sont classées sans suite. Pas de procès, pas de confrontation, aucune vérité établie. La loi ne protège pas les victimes, elle organise leur silence.
Pendant ce temps, un simple vol, un tag ou une altercation en manifestation suffit à remplir les tribunaux. La délinquance ordinaire est jugée à la chaîne, l’impunité n’existe pas pour les petits. Mais lorsqu’un enfant accuse un homme puissant, bien entouré, au casier vierge mais au comportement répété, la justice freine. Elle doute, minimise, temporise. Dans cette société, on enferme plus vite un citoyen lambda qu’un adulte pour un viol sur mineur.
La presse n’est pas un contre-pouvoir, elle en est devenue le prolongement. Les dossiers dérangeants ne sont pas traités : ils sont tus. Les journalistes généralistes évitent les sujets qui fâchent, les documentaristes indépendants sont marginalisés. Ceux qui osent filmer, publier, enquêter sont poussés vers la sortie. L’omerta n’est pas une figure de style, c’est une politique éditoriale.
Un système de dissimulation
Les réseaux pédocriminels prospèrent dans les interstices du pouvoir. Ils se nourrissent du silence institutionnel, de la lâcheté judiciaire, de la complicité passive des structures d’État. Il ne s’agit pas d’accidents, mais d’un mécanisme précis : les institutions sont détournées pour neutraliser les enfants et protéger les agresseurs.
Des médecins rédigent des attestations, des spécialistes confirment les abus, des psychologues alertent. Mais ces pièces, pourtant essentielles, sont systématiquement écartées. Elles disparaissent des dossiers, sont déclarées irrecevables ou simplement ignorées. Le système ne cherche pas la vérité, il sélectionne les éléments qui l’arrangent. Même lorsque la science parle, la justice fait la sourde oreille.
Ce verrouillage repose sur une logique simple : faire taire toute voix qui dérange. Des soignants sont poursuivis pour avoir cru les enfants. Des mères sont accusées de manipulation quand elles protègent. La stratégie est inversée : ce ne sont plus les prédateurs qu’on traque, ce sont ceux qui les dénoncent. Ce renversement n’est pas une dérive, c’est la méthode.
Dans C’est notre petit secret, Pierre Barnérias ne se contente pas de dénoncer ce système : il en expose les preuves. Témoignages, extraits de procès, documents médicaux, rapports d’expertise – tout y est. Rien n’est basé sur l’émotion, tout repose sur du concret. Et pourtant, comme pour Hold-Up, la censure a frappé. Même scénario avec Les Survivantes, dont la sortie en salle fut un parcours d’obstacles. Trop dérangeant, trop vrai, trop visible. Le système rejette ce qu’il ne peut plus contrôler.
Face à cette chape de plomb, Laurence Beneux refuse de céder. Présente dans le reportage, elle ne se contente pas de commenter. Elle agit. Elle affirme haut et fort : tant que ces enfants ne seront pas entendus, elle ne lâchera rien. C’est un combat qu’elle mène à visage découvert, avec pour seule arme la vérité et pour seule boussole la justice que l’État refuse de rendre.
L’élite verrouille la vérité
À mesure que les dossiers montent dans la hiérarchie sociale, la justice ralentit. Quand un nom connu apparaît, tout devient flou : les témoins se rétractent, les preuves se perdent, les procédures traînent. Plus l’accusé est puissant, plus la machine judiciaire devient molle.
Plus inquiétant encore, certains témoignages évoquent des pratiques codifiées, ritualisées. Des enfants parlent de gestes précis, de cérémonies répétées, de groupes organisés. Les récits se recoupent, les détails sont identiques, les contextes varient à peine. Ce ne sont pas des délires isolés. C’est une langue commune, transversale, qui désigne des structures cohérentes. Il ne s’agit plus de pédophilie, mais d’un système de domination ritualisé.
Ce que ce reportage révèle, c’est que nous ne sommes pas face à des “affaires” mais face à une organisation. Une structure cachée, protégée, relayée, soutenue dans les sphères les plus respectables. Le plus grand scandale, ce n’est pas qu’il existe : c’est qu’il perdure, en pleine lumière, sous le regard d’une société qui préfère ne pas voir.
IMPORTANT - À lire
Pour aller plus loin dans la compréhension des réseaux pédocriminels, découvrez notre revue papier mensuelle. Chaque mois, nous explorons les rouages du système qui permet à ces réseaux de prospérer en toute impunité, grâce à des analyses approfondies et des témoignages exclusifs.
Notre revue papier vous offre un regard unique sur les zones d'ombre de notre société. Nous mettons en lumière les failles institutionnelles, les complicités passives et les stratégies de dissimulation qui permettent à ces réseaux de perdurer. Un contenu essentiel pour comprendre les enjeux cachés de notre époque.