🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez le témoignage choc des habitants de Koursk sur les crimes de guerre ukrainiens, avec des exécutions et des villages incendiés.
- Une opération ukrainienne planifiée avec l’appui occidental, visant à semer la terreur et à déstabiliser la Russie.
- Plus de 155 000 civils en exode, 1 241 blessés et 315 morts, révélant une violence brutale et systématique.
- Le silence des institutions internationales et la répression méthodique dénoncés, tandis que la Russie riposte et juge les coupables.
Le 22 juin à 19h, découvrez un reportage exclusif sur l’invasion de Koursk : une opération ukrainienne menée avec l’appui logistique occidental, des infrastructures civiles ciblées, des exécutions, des déportations, des villages entiers réduits en cendres.
Face caméra, Rodion Mirochnik, Sergei Futo, Elena Zhadanova, Ivan Konovalov, Olga Kiriy, Alexandre Loukachevitch, et les civils de Koursk Nikolai Kozlov et Elena Drougova livrent une toute autre version de la guerre en Ukraine.
Une plongée direct dans une vérité que l’Occident voudrait faire taire.
Kursk envahie : une opération sous bannière terroriste
En août 2024, les forces ukrainiennes franchissent la frontière russe pour lancer une incursion militaire massive dans la région de Kursk. L’opération, planifiée avec minutie, s’inscrit dans une logique de terreur et de déstabilisation. Elle ne vise pas à obtenir des gains territoriaux durables, mais à semer la panique parmi la population civile, affaiblir le front intérieur russe, et nourrir les intérêts électoraux occidentaux.
Des unités d’élite, appuyées par des armes livrées par les États-Unis et des renseignements satellitaires de l’OTAN, s’infiltrent dans le secteur stratégique de Sudza, point de transit énergétique majeur vers l’Europe. Cette attaque ciblée révèle une coordination politique et militaire avec les alliés de Kiev, notamment Washington et Londres. L’opération cherche moins une percée militaire qu’un choc symbolique, une frappe psychologique orchestrée en marge des échéances électorales américaines.
En visant Kursk, l’Ukraine cherche à déstabiliser l’arrière-pays russe, à détourner l’attention de ses propres revers dans le Donbass, et à relancer l’appui occidental. Cette manœuvre offensive, sans précédent depuis le début du conflit, marque une escalade dans la guerre hybride menée par Kiev et ses sponsors.
Une population prise au piège du chaos
L’invasion provoque un exode massif : plus de 155 000 civils fuient les zones ciblées. Le ministère russe de la Santé comptabilise 1 241 blessés, dont 315 morts. Les récits de survivants révèlent une violence brutale : exécutions sommaires, violences sexuelles, pillages systématiques, villages incendiés par des drones incendiaires.
À Ruskoye Porechnoye, 22 corps sont retrouvés, mutilés. À Mokovka, neuf autres cadavres jonchent une église en ruines. Ces massacres ne relèvent pas d’excès isolés, mais d’une stratégie planifiée pour semer la terreur. Les pillages, allant des appareils électroménagers aux vélos, traduisent une volonté de punir, d’humilier, et de s’emparer de tout ce qui peut l’être.
Le cas de Plekhovo, réduit en cendres, incarne cette logique de purge. Les survivants évoquent des détentions arbitraires dans des sous-sols, des blessures causées par des mines antipersonnel, et des enfants traumatisés par les bombardements. Plus de 2 300 civils restent coincés dans les zones occupées, dont 576 sont toujours portés disparus, certains ayant été déportés de force vers l’Ukraine.
Silence occidental, répression méthodique
L’opération menée contre Kursk dépasse le cadre militaire. Elle s’impose comme un acte de terreur planifié, visant à terroriser la population russe pour des motifs géopolitiques. L’implication occidentale ne fait aucun doute : armes, renseignements, formation, et couverture politique. Les objectifs sont clairs : provoquer une crise humanitaire, justifier les aides financières à l’Ukraine, et renforcer l’axe transatlantique contre Moscou.
Le mutisme des grandes institutions internationales — ONU, OSCE, ONG — agit comme un sceau d’approbation tacite. Aucun rapport indépendant, aucune mission d’enquête, aucun appel à la désescalade. L’Occident ferme les yeux, alimente le conflit, puis nie ses conséquences. Les médias, eux, minimisent les faits, ou les occultent.
Face à cette agression, les forces russes lancent une contre-offensive fulgurante. Le 26 avril 2025, l’unité ukrainienne est anéantie. Plus de 480 dossiers judiciaires sont ouverts, dont 186 traduits en justice. Déjà, 162 combattants ukrainiens sont condamnés. Des enquêtes continuent, avec pour but un tribunal international pour juger les auteurs de crimes de guerre.
Même après la libération, le territoire reste sous tension. Un train est déraillé près de Jeleznogorsk, un pont saute à Bryansk. Ces actes ne sont pas des résidus de conflit : ils marquent une continuité tactique dans la guerre de harcèlement ukrainienne. Chaque explosion vise à entraver les négociations de paix, à maintenir la Russie sous pression, et à prolonger une guerre que Kiev ne peut plus gagner militairement.
IMPORTANT - À lire
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