🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez comment l’oligarchie utilise la dette publique comme arme pour démolir le système social, avec François Martin et Xavier Poussard dans La Matinale de Géopolitique Profonde.
- Apprenez pourquoi les syndicats sont devenus complices de la régression sociale et comment les élites captent les richesses au détriment du peuple.
- Comprenez la répression ciblée contre les voix dissidentes, comme l’affaire Xavier Poussard poursuivi pour cyberharcèlement, et la censure des médias alternatifs.
- Explorez l’accélération totalitaire mondiale et le verrouillage systémique derrière les conflits et les innovations comme l’identité numérique.
Le 22 juillet à 7h, François Martin et Xavier Poussard sont les invités de Nicolas Stoquer, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde !
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Xavier Poussard est un journaliste d’investigation français, connu pour son travail méticuleux et ses enquêtes explosives sur les zones d’ombre du pouvoir. Rédacteur en chef de la revue Faits & Documents, il s’est spécialisé dans l’analyse des réseaux d’influence, des biographies non autorisées et des manipulations médiatiques orchestrées par l’État profond.
L’oligarchie sans masque
La dette publique n’est plus un problème économique, c’est une arme. Utilisée méthodiquement par l’oligarchie pour justifier la démolition d’un système social qu’elle juge trop coûteux, elle devient l’alibi d’une guerre menée contre les peuples. Ce n’est plus la dépense publique qui est en cause, mais le mode de vie des citoyens qu’il faut raboter. Et les syndicats, jadis figures de résistance, sont devenus les complices d’un désengagement orchestré. Leurs silences successifs valident la régression, leur présence dans les négociations maquille l’illusion démocratique.
Pendant que les comptes publics sont sacrifiés aux marchés, les responsables de cette incurie se gavent de privilèges. Banques centrales, gouvernements, hauts fonctionnaires, multinationales : tous participent à une gigantesque captation de richesses, planifiée depuis des décennies. Le peuple, lui, paie deux fois : par l’impôt et par l’effondrement du service public. La facture est salée, mais elle n’est toujours pas présentée aux véritables responsables.
Dissidence ciblée et répression programmée
L’affaire Xavier Poussard s’inscrit dans une logique implacable : neutraliser toute voix dissidente. Convoqué ce lundi au commissariat central de Milan, le journaliste est poursuivi pour cyberharcèlement envers Brigitte Macron. Derrière cette procédure, se cache une volonté claire : faire taire ceux qui fouillent là où le pouvoir ne veut pas qu’on regarde. Le refus de Madame Macron de se soumettre à une expertise psychiatrique, tout en poursuivant l’affaire en appel, montre l’embarras du sommet de l’État face à une parole qu’il ne peut contrôler.
La réaction du pouvoir est de plus en plus brutale. Policière, judiciaire, parfois extrême. Les médias alternatifs sont infiltrés, les enquêtes dérangeantes censurées, les lanceurs d’alerte traqués. Le monopole de l’information ne suffit plus, il faut maintenant éradiquer la dissidence. Et cette répression ne se limite pas à la France : elle s’étend à toute l’Europe, preuve que la collusion entre oligarchies nationales et instances supranationales est désormais totale.
L’accélération totalitaire mondiale
Ce qui se joue aujourd’hui dépasse les frontières. C’est une offensive globale, visant à imposer un ordre unipolaire sous couvert de multipolarité contrôlée. Les conflits en Ukraine, en Palestine, dans l’Indo-Pacifique ne sont pas des exceptions, mais les fronts multiples d’un même projet : sauvegarder la domination occidentale face à l’émancipation des peuples. Ce n’est pas une réorganisation géopolitique, c’est un verrouillage systémique.
L’identité numérique, la monnaie programmable, les régulations sanitaires mondialisées ne sont pas des innovations neutres. Elles sont les instruments d’un contrôle social renforcé, masqué derrière un discours sécuritaire. Et pendant que les peuples réclament souveraineté, les élites construisent un carcan numérique invisible. Une course est lancée : d’un côté, le peuple qui se libère ; de l’autre, le pouvoir qui s’affole et réagit par la force. Cette confrontation devient totale, brutale, et surtout, irréversible.
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