Rothschild : Macron ne veut pas que vous sachiez ça !

Comment la famille Rothschild façonne le pouvoir politique en France depuis deux siècles à travers une influence discrète mais puissante. Comment la famille Rothschild façonne le pouvoir politique en France depuis deux siècles à travers une influence discrète mais puissante.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Découvrez comment la famille Rothschild influence discrètement la politique française depuis deux siècles, façonnant les carrières de Pompidou et Macron.
  • Apprenez comment la loi de 1973 a privatisé la création monétaire, plongeant la France dans la dette et favorisant les banquiers.
  • Plongez dans l’affaire Marković, révélant les secrets et la corruption des cercles du pouvoir sous Pompidou.

Le 18 juin à 19h, Patrick Pasin est l’invité de Mike Borowski, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde.

Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

Rothschild : la main cachée derrière le pouvoir

La famille Rothschild ne se contente pas de faire fructifier des banques ou des vignobles. Elle orchestre depuis deux siècles une stratégie d’influence discrète mais redoutablement efficace. Depuis ses bases à Francfort, puis à Paris et Londres, elle a infiltré les rouages économiques, politiques et médiatiques des grandes puissances européennes. En France, son empreinte est manifeste : c’est elle qui a façonné les trajectoires politiques de Georges Pompidou puis d’Emmanuel Macron, tous deux passés par sa structure bancaire.

Cette dynastie n’a pas seulement financé des guerres ou des États : elle a imposé sa vision ultralibérale de l’économie mondiale. Sa méthode est rodée : former des élites dans l’ombre, les insérer dans la sphère politique via les grandes écoles, puis les propulser au sommet sous une façade républicaine. Les Rothschild ne s’affichent jamais en pleine lumière, mais placent leurs pions au cœur du pouvoir. Pompidou à l’Élysée ? Un ancien directeur général de leur banque. Macron à la présidence ? Un pur produit de leurs bureaux parisiens. Ces parcours ne sont pas des coïncidences, mais des démonstrations de force.

La loi de 1973 : coup d’État monétaire

La loi du 3 janvier 1973 n’est pas une réforme technique. C’est une prise de contrôle. Avant cette date, l’État français pouvait financer ses besoins directement auprès de la Banque de France, sans intérêt, donc sans dette. Après cette loi, il doit emprunter sur les marchés financiers, aux conditions dictées par les créanciers privés. Le bénéficiaire direct ? Le secteur bancaire, dont les Rothschild étaient alors un pilier central.

Ce texte a été rédigé sous Pompidou, leur ancien collaborateur, et mis en œuvre par Giscard, lui aussi proche des milieux financiers. L’objectif est limpide : privatiser la création monétaire, soumettre l’État aux taux d’intérêt, transférer la richesse publique vers les banquiers. Cette décision a fait basculer la France dans la spirale de la dette, ouvrant la voie à l’austérité, aux coupes sociales, à la casse des services publics. La souveraineté budgétaire de la République a été confisquée par une oligarchie financière.

Ce hold-up monétaire n’a jamais été remis en question par les gouvernements successifs. Tous ont protégé les intérêts de ces créanciers. Pourquoi ? Parce qu’ils en dépendent. Parce qu’ils en sont issus. Emmanuel Macron, élu en 2017, représente la continuité parfaite de ce système verrouillé : ancien banquier chez Rothschild, propulsé par les réseaux financiers, il gouverne pour les marchés, pas pour les citoyens.

Claude Pompidou et l’affaire Marković : révélateur d’un monde fermé

L’affaire Marković n’est pas une simple page noire de la Ve République. Elle révèle la vraie nature des cercles du pouvoir. En 1968, Stevan Marković est retrouvé mort. Il aurait été en possession de photos compromettantes, impliquant Claude Pompidou dans des orgies entre élites, stars du cinéma et figures politiques. Aussitôt, l’État profond se met en branle pour étouffer l’affaire. Le SDECE manipule, la justice piétine, les témoins disparaissent.

Claude Pompidou est protégée. Aucun média n’ose aller au bout. Pourtant, les rumeurs sont persistantes : soirées décadentes, déguisements, jeux de rôle, transidentité. Cette affaire, soigneusement enterrée, en dit long sur l’impunité de ceux qui gouvernent. Le système se protège lui-même. Pompidou, menacé, réagit par une purge des services secrets. Il sait. Il connaît les rouages, il connaît les noms. Il en fait partie.

Cette mécanique de l’ombre, faite de manipulations, de fausses pistes et de réseaux imbriqués, est typique de la manière dont l’élite verrouille l’information. Ce n’est pas une théorie. C’est un mode opératoire. L’affaire Marković a exposé la façade d’un pouvoir gangrené par les réseaux, les chantages, les secrets. Elle démontre que les élites, loin d’être des serviteurs de l’État, vivent dans un entre-soi corrompu, souvent lié aux mêmes dynasties financières qui tiennent la bride de la République.

IMPORTANT - À lire

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