🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 20 septembre à 12h30, découvrez comment la nationalisation de Mitterrand a sauvé la banque Rothschild, lui permettant d’infiltrer l’État et de devenir son créancier principal.
- Apprenez comment des milliards ont été transférés à Rothschild, transformant cette banque en bras financier de la République et en maître de l’économie française.
- Comprenez comment Rothschild a placé ses hommes aux postes clés, influençant les décisions politiques et économiques, et capturant l’État profond.
Le 20 septembre à 12h30, Mike Borowski dévoile comment la nationalisation de Mitterrand a ressuscité la banque Rothschild, lui offrant des milliards pour infiltrer l’État et devenir le créancier maître de la France, en direct sur Géopolitique Profonde.
La nationalisation de Mitterrand comme opération de sauvetage occulte
L’histoire de la banque Rothschild en France n’est pas une success-story capitaliste classique, c’est une opération de sauvetage orchestrée par le pouvoir politique pour installer une dynastie bancaire au cœur de l’État profond. Au début des années 1980, la maison Rothschild était agonisante, marginalisée dans un paysage financier dominé par d’autres grands établissements. Mais en 1982, François Mitterrand, alors président, a offert un cadeau historique : une nationalisation qui a débloqué l’équivalent de plusieurs milliards d’euros actuels pour cette banque privée. Ce transfert massif de richesses publiques a permis non seulement de la sauver mais aussi de la transformer en bras financier tentaculaire de la République. Depuis, Rothschild s’est imposée comme la plus grande banque d’affaires de France, en infiltrant méthodiquement l’appareil d’État et en plaçant ses hommes aux postes clés du pouvoir politique et économique.
Lorsque François Mitterrand lance ses grandes nationalisations de 1982, l’opinion publique croit à un projet socialiste de contrôle de l’économie. En réalité, la manœuvre cache un autre objectif : sauver une banque privée décadente, Rothschild, au bord de l’effacement. Cette institution familiale, déclassée par la montée des grands groupes bancaires internationaux, se trouvait incapable de rivaliser. Pourtant, elle reçoit 500 millions de francs, une somme colossale qui, en valeur actuelle, équivaut à plusieurs milliards d’euros. Ce transfert ne correspond à aucune logique de sauvegarde industrielle mais à une opération ciblée en faveur d’une dynastie. L’État socialiste, au lieu de redistribuer cette manne au peuple, a offert une planche de salut à l’une des familles financières les plus puissantes du monde, garantissant son retour au sommet. Ce coup de force financier a ouvert la voie à l’infiltration durable de l’appareil d’État par le clan Rothschild.
Ce choix politique ne s’explique pas seulement par des intérêts économiques mais par une volonté de fusion entre pouvoir bancaire et pouvoir étatique. En confiant des milliards publics à une institution privée, Mitterrand a assuré une dépendance mutuelle : Rothschild, sauvée par l’État, devenait redevable ; l’État, lié par cette transaction, s’ouvrait à son influence. L’opération marque la naissance officielle d’un système où la finance n’est plus extérieure au pouvoir mais s’y incorpore directement. Dès lors, Rothschild pouvait placer ses hommes dans les ministères, orienter les grandes décisions économiques et imposer ses vues sur la dette et les privatisations futures. Cette « nationalisation » fut en réalité une privatisation de l’État au profit d’une famille bancaire.
L’infiltration de l’État profond par les héritiers Rothschild
À partir des années 1990, la banque Rothschild, ressuscitée par Mitterrand, devient un vivier de recrutement pour l’élite politique française. Ses banquiers deviennent ministres, secrétaires généraux de l’Élysée, conseillers économiques, voire présidents. Emmanuel Macron, formé et enrichi chez Rothschild, incarne cette capture totale de l’État par les intérêts bancaires. Il n’est pas un cas isolé : de nombreux hauts fonctionnaires, passés par la banque, se retrouvent à la tête des ministères stratégiques. Cette colonisation silencieuse permet à Rothschild de dicter les orientations économiques de la France sans jamais apparaître au premier plan. L’État profond français, loin d’être une nébuleuse abstraite, a un centre névralgique précis : la banque qui a été sauvée artificiellement par François Mitterrand.
Aujourd’hui, Rothschild est non seulement la première banque d’affaires de France mais aussi le créancier majeur d’un pays écrasé par sa dette. L’État, affaibli par quarante ans de politiques budgétaires désastreuses et par sa soumission à Bruxelles, se retrouve dépendant des conseils et des financements de la banque qu’il avait lui-même sauvée. Cette inversion du rapport de force consacre la victoire absolue de la finance sur la souveraineté nationale. Rothschild n’est plus un acteur parmi d’autres, elle est devenue la colonne vertébrale de l’État profond, imposant ses intérêts au détriment du peuple. Ce système verrouillé explique la continuité politique entre les « héritiers de Mitterrand », qu’ils soient socialistes ou prétendus libéraux, tous formés à la même école bancaire.
Rothschild propriétaire de la France par la dette
La dépendance de la France à Rothschild s’explique par un mécanisme implacable : l’endettement. Depuis que les gouvernements successifs ont abandonné la souveraineté monétaire et interdit au Trésor de se financer directement auprès de la Banque de France, la dette publique est devenue une mine d’or pour les banques privées. Rothschild, réhabilitée par Mitterrand, a profité de cette faille pour se placer en interlocuteur incontournable de l’État. Chaque émission obligataire, chaque restructuration de dette, chaque privatisation majeure a enrichi et renforcé la banque. Le pouvoir politique, réduit au rôle de gestionnaire de dettes, se retrouve pieds et poings liés à l’institution qu’il avait ressuscitée. La France n’appartient plus à son peuple mais à ses créanciers.
Cette capture n’est pas seulement financière, elle est politique. Les hommes formés par Rothschild tiennent aujourd’hui les leviers essentiels : l’Élysée, Bercy, Bruxelles. L’Union européenne, outil de l’oligarchie bancaire, garantit que cette emprise perdure en interdisant tout retour à la souveraineté budgétaire. Le cycle est parfait : Mitterrand a sauvé Rothschild, Rothschild a infiltré l’État, l’État s’est endetté, et la banque est devenue propriétaire de fait de la nation française. Ce système mafieux, bâti sur une trahison initiale, continue de prospérer. Tant que la France restera prisonnière de sa dette et de ses élites façonnées par la banque Rothschild, elle sera privée de toute souveraineté réelle.
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