🔥 Les essentiels de cette actualité
- L’accord mondial sur les pandémies impose un cadre contraignant aux États, sous l’autorité de l’OMS, transformant les nations en exécutants de directives supranationales.
- La France, laboratoire du mondialisme, voit ses syndicats financés par les mêmes institutions qu’ils devraient combattre, trahissant le peuple par la dette et la désintégration sociale.
- L’Ukraine sert de laboratoire idéologique pour l’OTAN, alimentant une guerre sans fin et détournant des milliards vers l’industrie de l’armement.
- Le déclin de l’hégémonie américaine annonce la fin d’un monde unipolaire, avec des alliances qui se recomposent et des intérêts nationaux qui prennent le pas sur les idéologies.
Le 21 avril à 7h, Claude Janvier et François Martin sont les invités de Raphaël Besliu, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde !
Retrouvez Claude Janvier à 7h30 puis François Martin à 8h15 !
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français ».
L’accord mondial sur les pandémies prépare un gouvernement sanitaire global
L’OMS relance son projet d’accord mondial sur les pandémies avec l’aval des grandes puissances. Ce texte, en apparence destiné à renforcer la coopération internationale, impose en réalité un cadre contraignant où les États membres devront se soumettre aux directives d’une entité supranationale. Ce n’est plus une question de santé publique, mais bien une tentative de prise de contrôle politique via la peur sanitaire. Les clauses de cet accord permettraient à l’OMS de décréter un état d’urgence mondial et d’imposer des politiques obligatoires, sans aucune consultation démocratique.
Derrière ce projet se trouvent les mêmes intérêts privés qui ont façonné la crise du Covid-19 : fondations liées à des multinationales, grands groupes pharmaceutiques et réseaux financiers tels que BlackRock ou Bill Gates Foundation. Ces acteurs investissent dans les organismes de santé et imposent ensuite leurs produits et services comme “solutions uniques”. L’accord de l’OMS devient l’arme légale de cette mainmise.
Ce plan ne vise pas la prévention, mais l’uniformisation des réponses sanitaires sous l’autorité d’une gouvernance mondiale non élue. Il transforme les États en simples exécutants d’instructions techniques imposées par les intérêts transnationaux. En somme, un véritable cheval de Troie du gouvernement mondial.
Le mondialisme avance par la dette, les syndicats et la guerre sociale
La France est un laboratoire avancé du projet mondialiste. Le pays croule sous une dette publique qui ne sert qu’à enrichir les marchés financiers. Pendant ce temps, les syndicats, prétendument défenseurs du peuple, sont financés par les mêmes institutions qu’ils devraient combattre. Ils deviennent les relais d’un pouvoir globalisé, acceptant les réformes néolibérales en échange de subventions massives. Le peuple est trahi deux fois : par ses élites politiques et par ses représentants syndicaux.
Cette stratégie s’appuie sur une logique de désintégration sociale. L’idéologie mondialiste se nourrit de la fragmentation des nations, de l’affaiblissement des souverainetés et de l’asservissement par la dette. Ce qui se joue ici, ce n’est pas une crise économique conjoncturelle, mais un basculement structurel vers un modèle où l’État-nation disparaît au profit d’une gouvernance technocratique transnationale.
La guerre sociale qui en découle est permanente : précarisation, inflation, impôts massifs, destruction des services publics, surveillance numérique. Chaque mesure va dans le sens d’un contrôle accru des populations et d’une mainmise des grandes institutions financières sur les États. C’est la pratique quotidienne du mondialisme, bien loin de ses discours théoriques.
L’Ukraine comme théâtre d’une ingénierie idéologique et militaire
L’Ukraine n’est pas seulement un champ de bataille, c’est aussi un laboratoire idéologique. Depuis 2014, la montée en puissance de groupes néo-nazis y est sciemment soutenue et instrumentalisée par l’OTAN et ses alliés. Ces milices ont été intégrées aux forces régulières avec l’accord tacite de l’Occident. Tout cela dans un silence médiatique assourdissant. Les États-Unis et l’UE ont transformé un pays souverain en pion stratégique dans une guerre de longue haleine contre la Russie.
Ce conflit permet aussi de détourner des milliards vers les industries de l’armement et les groupes financiers qui les contrôlent. En plus des profits, l’objectif est clair : maintenir l’Europe dans un état de dépendance sécuritaire et de soumission géopolitique. Le soutien aveugle à Kiev n’est donc pas humanitaire, il est idéologique et financier. Le peuple ukrainien n’est qu’un dommage collatéral dans une guerre qui ne dit pas son nom.
En injectant massivement des fonds, l’Occident alimente une guerre sans fin, tout en soutenant indirectement des courants radicaux. La propagande de guerre maquille cette réalité, mais les faits sont là : le conflit ukrainien est un outil géopolitique, pas une cause morale.
Fin des négociations et réalignement mondial
Le récent voyage de Giorgia Meloni à Washington ne masque pas l’évidence : les États-Unis prennent leurs distances avec une Europe affaiblie. Le projet atlantiste s’effrite. L’Italie, pilier stratégique en Méditerranée, tente de maintenir la relation transatlantique à flot, mais les signaux sont clairs : l’hégémonie américaine sur le Vieux Continent est en déclin. Ce repositionnement stratégique fragilise l’unité européenne, déjà fissurée par les désaccords internes sur l’Ukraine et le Moyen-Orient.
À Gaza, l’État israélien poursuit une politique de destruction massive, tandis que les États-Unis montrent des signes de désengagement. Les pressions internes, les divisions politiques à Washington, et les critiques internationales pèsent sur le soutien traditionnel à Netanyahou. La tentative de trêve de Pâques n’a été qu’un leurre de plus, vite abandonné au profit de l’escalade.
Sur le front de l’Est, la Russie consolide son emprise sur Koursk, marquant un tournant dans le conflit. Face à cette dynamique, les États-Unis, par la voix de Marco Rubio, annoncent leur volonté de quitter les négociations. Cette décision acte la faillite de la diplomatie occidentale. L’ordre mondial unipolaire s’effondre sous nos yeux. Ce qui se dessine, c’est un nouvel équilibre, plus dur, plus cynique, où les intérêts nationaux prennent le pas sur les alliances idéologiques.
Alors que le conflit entre la Russie et l’Ukraine s’intensifie, avec l’offensive à Koursk et l’arrêt brutal des négociations, l’équilibre mondial vacille.
L’Europe, prise entre les feux croisés de l’Est et de l’Ouest, se retrouve face à une fragmentation stratégique sans précédent.
IMPORTANT - À lire
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