Un ancien RG dévoile la trahison ultime de Sarkozy

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 1er octobre à 19h, Hubert Marty-Vrayance, ancien commissaire des RG, invité de La Grande Émission sur Géopolitique Profonde. Découvrez son parcours et ses révélations explosives.
  • La condamnation de Sarkozy dévoile un traître et un chef de clan mafieux. Découvrez comment il a spolié la France et transformé l’appareil d’État en entreprise criminelle.
  • Sarkozy a liquidé le patrimoine national, bradant l’or français aux Américains. Une trahison économique majeure qui a affaibli la souveraineté française. Enquêtez sur cette manœuvre.
  • En tandem avec Guéant, Sarkozy a dirigé la France comme un réseau mafieux, distribuant les postes et neutralisant les contre-pouvoirs. Plongez dans les détails de cette corruption au sommet.

Le 1er octobre à 19h, Hubert Marty-Vrayance est l’invité de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Hubert Marty-Vrayance est un ancien commissaire de la Direction centrale des Renseignements généraux (RG), connu pour ses opinions qui ont souvent suscité le débat. Né en 1958 à Perpignan, sa carrière a débuté aux RG, où il a occupé divers postes avant de passer au Service de coopération technique internationale de police (SCTIP), avec un poste au Gabon. Il est l’auteur de “Face à l’État profond, 10 ans aux RG de Mitterrand à Sarkozy”.

La condamnation de Sarkozy révèle le vrai visage d’un traître

La condamnation à cinq ans de prison de Nicolas Sarkozy n’est pas une injustice, mais une réparation historique. Cet homme qui a dirigé la France en serviteur zélé de Washington et en chef d’un clan mafieux paie enfin pour une carrière bâtie sur la trahison, la corruption et les barbouzeries d’État. Ceux qui l’encensent comme un grand homme d’État se trompent : il a spolié la France, bradé ses richesses, muselé ses opposants et transformé l’appareil d’État en entreprise criminelle.

Sarkozy n’a jamais été qu’un prédateur politique, manipulant les institutions pour servir ses réseaux occultes. Son incarcération annoncée marque une étape symbolique : la chute d’un imposteur qui a souillé la République et trahi son peuple. Cette sentence n’efface pas ses crimes, mais elle brise le mythe construit par ses complices médiatiques.

Le premier acte de haute trahison de Nicolas Sarkozy fut la liquidation du patrimoine national. Sous sa présidence, la France a perdu près d’un quart de son stock d’or, bradé aux Américains pour une fraction de sa valeur réelle. Derrière cette opération se cachait une logique claire : livrer la souveraineté française à Wall Street et à la finance internationale. Ce geste criminel a privé la Nation d’une sécurité monétaire et affaibli durablement la Banque de France.

Le peuple, lui, n’a jamais eu son mot à dire sur ce saccage organisé. Présentée comme une « modernisation », cette manœuvre fut en réalité une soumission directe aux diktats étrangers. Sarkozy ne gouvernait pas en président, mais en vassal, exécutant les ordres de ses maîtres américains. Cette trahison économique suffit à elle seule à justifier sa condamnation, mais elle n’était que la première étape d’une œuvre de destruction bien plus vaste.

Le système mafieux Sarkozy Guéant au sommet de l’État

En tandem avec Claude Guéant, Nicolas Sarkozy a transformé l’État en machine de prédation. Ensemble, ils distribuaient les postes de préfets, de commissaires et de magistrats comme des jetons de poker, plaçant aux commandes des hommes dociles et corrompus. La République n’était plus gouvernée par des institutions, mais par un clan organisé en réseau mafieux.

Les carrières des résistants étaient brisées, les enquêtes dérangeantes enterrées, les contre-pouvoirs neutralisés. Cette organisation criminelle au sommet de l’État a gangrené la justice et la police, laissant aux Français l’illusion d’une démocratie alors que tout se décidait dans l’ombre. Sarkozy et Guéant régnaient comme des parrains, installant la corruption et l’intimidation comme règles du pouvoir. La France était sous occupation intérieure, dirigée non par le droit, mais par la peur et l’argent.

Intègre et déterminé, le commissaire des RG Hubert Marty-Vrayance enquêtait sur des affaires sensibles, dont le dossier Colonna, ce qui le désignait comme cible à abattre pour le clan Sarkozy-Guéant-Gaudin-Squarcini. Une machination fut orchestrée pour l’écarter, utilisant tous les leviers : manipulations judiciaires, cabales administratives, campagnes de discrédit.

Ce n’était pas un conflit interne mais une opération politique d’élimination. Le pouvoir sarkozyste redoutait ses révélations et a agi comme une mafia : neutraliser l’ennemi avant qu’il ne parle. La cabale contre Marty-Vrayance révèle la nature profonde du régime Sarkozy : une dictature souterraine, où la police politique et les barbouzes remplaçaient la loi.

Réseaux africains corruption et manipulations sanglantes

Parallèlement, Sarkozy entretenait des réseaux africains d’une corruption effrontée. Avec la complicité d’Abdoulaye Wade et de son fils Karim, des valises de billets circulaient chaque mois vers Paris. Ces liasses, stockées dans une armoire forte achetée soi-disant pour protéger ses discours électoraux, servaient en réalité à financer son clan et à acheter des fidélités.

La corruption africaine était au cœur du sarkozysme : une mécanique où la France offrait protection diplomatique et contrats juteux en échange de valises de cash. L’ancien président se comportait non comme un homme d’État, mais comme un chef de réseau transnational, utilisant les institutions françaises pour couvrir ses affaires sales. Ce trafic illustre l’ampleur de son mépris pour la Nation : la France était réduite à une plateforme de blanchiment au profit d’un clan mafieux.

Mais la plus grande trahison de Sarkozy fut d’imposer la Constitution européenne contre la volonté du peuple. En 2005, les Français avaient rejeté massivement ce projet lors du référendum. Trois ans plus tard, Sarkozy, méprisant ce vote souverain, fit ratifier le traité de Lisbonne par le Parlement. Ce coup de force effaça le verdict du peuple et livra la souveraineté nationale à Bruxelles.

En bafouant le suffrage universel, Sarkozy s’érigea en ennemi de la démocratie, imposant aux Français une Europe dont ils ne voulaient pas. Ce fut l’acte final d’un parcours marqué par la trahison, confirmant que cet homme n’a jamais gouverné pour son pays mais contre lui. Sa condamnation actuelle n’est qu’un début : le peuple français n’oubliera jamais que Sarkozy fut l’homme qui a violé son vote et vendu son destin à l’Union européenne.

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