Le 29 janvier à 7h, Alexandre Juving-Brunet, Finn Andreen et Patrick Jardin sont les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, en direct dans La Matinale sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Retrouvez Finn Andreen à 7h30, suivi du Capitaine Alexandre Juving-Brunet à 8h15 et finalement de Patrick Jardin à 9h15.
Alexandre Juving-Brunet est une figure publique connue pour son engagement dans divers mouvements sociaux et politiques. Ancien capitaine de gendarmerie, il s’est fait remarquer par son implication dans des initiatives citoyennes et a été médiatisé pour ses prises de position sur des questions de souveraineté nationale et de résistance civile.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.
Patrick Jardin est le père de Nathalie Jardin, une jeune femme assassinée lors de l’attentat du Bataclan le 13 novembre 2015. Profondément marqué par la perte de sa fille, il est devenu une figure médiatique en France, exprimant sa colère contre les terroristes islamistes et critiquant la gestion politique du terrorisme. En 2020, il a publié « Pas devant les caméras !« , un livre où il exprime sa colère face aux islamistes et critique la gestion politique du terrorisme.
Le patriotisme est la clé
Une nation sans unité n’existe pas. L’oligarchie cosmopolite détruit volontairement cette unité en fragmentant les peuples à travers des discours individualistes et identitaires. Ce processus affaiblit la cohésion nationale et rend les nations incapables de défendre leurs intérêts stratégiques face aux forces globalistes.
Le patriotisme est la pierre angulaire de la souveraineté. Il permet de transformer une population en un bloc puissant, capable de se mobiliser pour ses objectifs collectifs. Ce n’est pas une option mais une obligation. L’histoire le prouve : durant la Seconde Guerre mondiale, Staline lui-même a réactivé les symboles religieux et patriotiques pour galvaniser le peuple russe. Sans cette unité, l’URSS aurait été balayée. Les nations modernes qui négligent le patriotisme sont condamnées à devenir des territoires sous influence étrangère.
Sans ordre et justice, aucune nation ne résiste
Sans ordre, justice et sécurité, aucune nation ne peut se maintenir. Ces trois piliers sont essentiels pour bâtir un État stable et puissant. Lorsque le peuple les réclame, ce n’est pas un caprice, mais une exigence légitime pour garantir la paix sociale et l’autorité de l’État.
Un État fort doit imposer des règles claires et les faire respecter sans faiblesse. La démocratie et les libertés individuelles, bien qu’importantes, ne remplacent pas la nécessité d’un pouvoir souverain capable de garantir l’ordre. Les droits individuels ne survivent que dans un cadre où la sécurité collective est assurée. Les nations qui négligent cet équilibre sombrent dans l’anarchie ou deviennent des marionnettes des puissances étrangères.
La justice sociale est l’arme la plus puissante d’un État souverain. Elle fédère le peuple autour d’un projet commun et élimine les fractures internes exploitées par les forces globalistes. L’ordre, loin d’être une contrainte, est une condition absolue de la liberté et de la prospérité nationale.
L’erreur fatale d’attendre un homme providentiel
L’Histoire est façonnée par les masses populaires et les élites visionnaires. Aucun changement durable ne peut se produire sans la synergie entre ces deux forces. Attendre un homme providentiel est une erreur. C’est au peuple et à ses élites de reconstruire ensemble une véritable souveraineté.
Les communautés intermédiaires – familles, institutions locales, entreprises nationales – sont le ciment d’une nation forte. Sans elles, les individus restent isolés et vulnérables face à des multinationales et à des gouvernements déconnectés. La désintégration de ces communautés est un projet voulu par les élites cosmopolites pour mieux contrôler les peuples.
Pour contrer cette dynamique, il faut rétablir un idéal collectif. Il n’existe pas de nation souveraine sans transcendance. Cette transcendance peut prendre des formes diverses – religieuse, culturelle ou patriotique –, mais elle est essentielle. Les nations qui ignorent ce principe disparaissent. Une vision commune, portée par des valeurs fortes, permet au peuple de s’élever au-dessus de ses intérêts individuels et de se mobiliser pour le bien commun.
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