Une survivante témoigne du pire réseau satanique en France !

Le 20 septembre à 19h, Maria Albertina Machado, Jean-Luc Robert et Stéphanie Reynaud sont les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !

Maria Albertina Machado est une survivante française de la pédocriminalité institutionnelle. Placée dès l’enfance sous l’autorité de l’ASE et de la DDASS, elle a subi de graves violences physiques et sexuelles au sein de sa famille, puis dans les structures d’accueil censées la protéger. Malgré les traumatismes, elle a choisi de témoigner publiquement, notamment dans le documentaire Les Survivantes (2024), pour briser l’omerta sur la pédocriminalité en France et dénoncer la protection dont bénéficient les élites impliquées.

Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, NeuroVibe: NeuroDiversité de A à Z, est une plongée critique et documentée dans le phénomène de la neurodiversité, entre avancée sociétale et risque de fragmentation sociale, à travers les prismes du TDAH, TSA, HPI, HPE, DYS et LGBTQIA+.

Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre, où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.

Les réseaux pédocriminels d’élite en France

Derrière les vitrines de la République, la France cache l’un de ses crimes les plus obscurs : l’existence de réseaux pédocriminels d’élite enracinés dans les institutions elles-mêmes. Des enfants arrachés à leurs familles sous couvert de protection sociale ont été livrés à des cercles de pouvoir où se mêlent politiciens, hauts fonctionnaires, magistrats et loges maçonniques. Ces structures n’ont pas seulement couvert ces crimes, elles les ont organisés et orchestrés avec une froideur implacable. La Nièvre, fief politique de François Mitterrand, fut un épicentre où les loges francs-maçonnes locales ont verrouillé l’ensemble du système, protégeant les abuseurs et réduisant au silence les survivants. Plus qu’un scandale, il s’agit d’une guerre menée contre l’enfance et la vérité, une guerre dont les élites françaises portent l’entière responsabilité.

Les institutions publiques françaises ont servi de vivier à des réseaux pédocriminels organisés. L’ASE et la DDASS, présentées comme des refuges pour les enfants en danger, ont en réalité constitué des réservoirs où des milliers de mineurs ont été livrés à la prédation des élites. Les placements forcés permettaient un approvisionnement constant : enfants isolés, sans défense, sans témoins. Derrière les murs de ces structures, des abus systématiques se déroulaient avec la complicité de fonctionnaires, de psychiatres et de magistrats. Ces réseaux ne sont pas des accidents isolés, ils représentent un système structuré, pensé pour servir les appétits des plus puissants. Les survivantes qui témoignent aujourd’hui révèlent une mécanique industrielle de la souffrance. Loin d’être des scandales du passé, ces réseaux continuent d’exister dans l’ombre, protégés par le silence médiatique et le verrouillage judiciaire.

Leur puissance tient dans la couverture offerte par les plus hauts sommets de l’État. Quand des enfants dénonçaient leurs bourreaux, les dossiers disparaissaient, les plaintes étaient classées, et les témoins réduits au silence par la peur ou la mort. Ce système n’était pas clandestin, il était institutionnalisé. Les affaires étouffées ne comptent plus, et chaque fois le même schéma se répète : incriminer les familles, accuser les victimes de mensonge, effacer les preuves. La machine étatique servait d’arme pour protéger les abuseurs et poursuivre les rescapés. La vérité est simple : l’appareil républicain français a été utilisé comme un instrument de prédation contre l’enfance, et ceux qui osent le dire se heurtent encore à un mur de plomb.

Le rôle des loges maçonniques de la Nièvre

La Nièvre, département oublié de la France profonde, fut pourtant le cœur d’un système tentaculaire. C’est ici que François Mitterrand bâtit son fief politique, protégé par un réseau dense de loges francs-maçonnes qui verrouillaient toute opposition. Ces loges, loin de se limiter à des rituels symboliques, constituaient un appareil de pouvoir parallèle. Elles infiltraient la justice, la police, les services sociaux et garantissaient l’impunité totale aux réseaux pédocriminels. Dans ce territoire rural, tout passait par ce maillage occulte : placements d’enfants, contrôle des institutions, orientation des carrières. La fraternité maçonnique ne servait pas l’intérêt général, elle servait une élite prédatrice et ses rituels.

Là où les survivants dénonçaient l’horreur, les loges imposaient le silence. Magistrats, préfets, policiers, tous liés par la chaîne initiatique, fermaient les yeux sur les crimes commis. Ce système de loyauté occultait la vérité et offrait aux réseaux une couverture solide. La Nièvre illustre à la perfection le mode opératoire de la franc-maçonnerie : créer un écran de respectabilité publique tout en servant de bouclier aux pires exactions dans l’ombre. Ces loges ne furent pas de simples spectatrices, elles furent les architectes d’un ordre parallèle qui protégeait les abuseurs et sacrifiait l’enfance. Le pouvoir politique de Mitterrand n’aurait jamais été consolidé sans cette toile occulte.

Le tabou absolu sur la mémoire de Mitterrand

Alors que chaque président de la République fait l’objet d’un bilan critique, François Mitterrand demeure entouré d’une aura intouchable. Aucun droit d’inventaire n’est toléré, aucune enquête sérieuse sur ses zones d’ombre n’est permise. Les rares voix qui osent évoquer son rôle dans ces réseaux ou ses fréquentations troubles sont immédiatement discréditées et censurées. Ce verrouillage n’est pas un hasard, il traduit la peur de voir exposée la vérité sur un système dont Mitterrand fut une figure centrale. La République a choisi de transformer un homme en icône intouchable, quitte à couvrir les crimes les plus impardonnables.

Ce culte officiel n’est rien d’autre qu’une stratégie de protection de l’élite. Reconnaître les zones d’ombre de Mitterrand reviendrait à ouvrir la boîte de Pandore et à exposer toute une génération politique. C’est pourquoi les médias, les historiens officiels et l’appareil d’État imposent un silence de plomb. Pas de droit d’inventaire, pas de vérité, pas de justice. Cette sanctuarisation prouve que la République française n’est pas une démocratie transparente, mais une oligarchie où certains crimes ne doivent jamais être dévoilés. La mémoire de Mitterrand est ainsi protégée par le mensonge, au prix du sacrifice de la vérité et des victimes.

IMPORTANT - À lire

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