🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 1er octobre à 7h, Finn Andreen, Stéphane Bonnard et Colonel Jacques Baud discutent de la situation en Ukraine sur La Matinale de Géopolitique Profonde.
- L’Europe est devenue cobelligérante de facto contre la Russie, avec des livraisons d’armes et des soldats morts occultés.
- Les États-Unis cherchent à se désengager du conflit, contrairement à l’Europe qui pousse à l’escalade.
- La mer Baltique se transforme en poudrière à cause des provocations européennes contre la Russie.
Le 1er Octobre à 7h, Finn Andreen, Stéphane Bonnard, Colonel Jacques Baud et John de Point de Rupture sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.
Stéphane Bonnard est un expert en géopolitique spécialiste de l’armement. Il a notamment servi au SGDN, Secrétariat Général à la Défense Nationale et anime une chaîne YouTube appelée « Réinformation sur le Monde. »
Jacques Baud est un ancien colonel de l’armée suisse. Il est reconnu comme un analyste stratégique et spécialiste du renseignement et du terrorisme. Sa carrière inclut des rôles importants dans les services de renseignement suisses, des missions pour les Nations Unies, et des contributions à l’OTAN. Baud est également auteur et a publié des analyses sur la guerre en Ukraine.
John est l’animateur du média Point de Rupture, un podcast quotidien au ton incisif. Il y analyse l’actualité politique et culturelle sous un prisme conservateur, en mettant l’accent sur les fractures de notre époque et la résistance aux récits dominants.
Sommes nous déjà en guerre avec la Russie
L’Europe s’est engagée dans une spirale suicidaire face à la Russie. En cédant à l’hystérie de ses élites atlantistes, elle s’est transformée en cobelligérante de facto. Les livraisons d’armes massives à Kiev, qu’elles soient défensives ou offensives, placent les capitales européennes dans une confrontation directe avec Moscou.
Les morts de soldats français et européens sur le sol ukrainien ne sont plus des rumeurs : ils sont des faits occultés par les gouvernements complices. On remarque l’irrationalité totale des dirigeants européens, prisonniers d’une logique de guerre qu’ils ne maîtrisent pas.
Pendant que Washington cherche une sortie de crise, les vassaux de Bruxelles poussent vers l’escalade, inventant des menaces imaginaires comme l’obsession des drones soi-disant « russes » survolant le continent. Ce délire sécuritaire ne prépare pas la paix, il ouvre la voie à une guerre ouverte dont l’Europe paiera seule le prix. Les capitales occidentales ont franchi le point de non-retour.
L’Union européenne n’agit plus comme une force politique autonome mais comme une extension militaire de l’OTAN. Les livraisons d’armes lourdes à Kiev, y compris des missiles capables de frapper Moscou, ne laissent aucun doute : l’Europe a pris parti, sans mandat populaire, contre la Russie. Les révélations sur l’attaque sous faux drapeau en Pologne, menée avec des drones d’origine russe récupérés par Kiev, démontrent la duplicité ukrainienne et l’aveuglement volontaire des élites européennes.
Pire encore, des centaines de soldats français et européens ont déjà péri dans ce conflit, leurs morts étant effacés du récit officiel pour ne pas affoler l’opinion publique. Dans cette logique, l’Europe est désormais cobelligérante et porte une responsabilité directe dans l’embrasement continental. Moscou ne s’y trompe pas et considère Bruxelles comme un acteur hostile.
Le désengagement américain face au bourbier ukrainien
Washington n’a plus aucune illusion sur l’issue de la guerre en Ukraine. Les États-Unis n’ont jamais eu pour objectif de pacifier la région, mais simplement de saigner la Russie à travers un conflit par procuration. Or, face à l’enlisement et aux milliards engloutis, l’Amérique cherche aujourd’hui la sortie. Les débats internes autour de l’envoi éventuel de missiles Tomahawk capables de frapper le Kremlin sont révélateurs : la Maison-Blanche sait que cette escalade entraînerait une riposte directe de Moscou et mettrait en danger les intérêts vitaux des États-Unis eux-mêmes.
Contrairement aux Européens, Washington mesure le coût d’une confrontation ouverte avec la Russie. L’Amérique veut se désengager, non pour négocier une paix équitable, mais pour éviter d’assumer les conséquences catastrophiques d’une guerre qu’elle a contribué à déclencher.
L’Europe, elle, refuse cette perspective de retrait américain. Les gouvernements de l’UE, prisonniers de leur russophobie maladive, cherchent à enfermer Washington dans le conflit. Pour cela, ils inventent sans cesse de nouvelles menaces : des drones soi-disant russes aperçus au Danemark, des alertes permanentes de survols suspects, une hystérie médiatique permanente.
Cette manipulation grossière a pour seul but d’empêcher les États-Unis de se retirer, en présentant la Russie comme une menace existentielle pour toute l’Europe. Les dirigeants européens jouent avec le feu : ils veulent entraîner leur protecteur américain dans une guerre totale contre Moscou, alors même que ce dernier n’a plus la volonté politique ni la capacité militaire de mener une telle confrontation. L’Europe devient ainsi le moteur de l’escalade, contre l’intérêt même de ses peuples.
La poudrière baltique provoquée par l’Europe
La mer Baltique est devenue le nouvel épicentre des provocations européennes contre la Russie. L’Estonie et la Finlande multiplient les initiatives hostiles, à la limite du blocus maritime, visant à entraver les navires commerciaux russes. Un tel geste constituerait un véritable acte de guerre, perçu comme tel par Moscou. L’envoi d’avions de chasse russes, comme les MiG-31, dans la région n’est pas un hasard : c’est une réponse claire à la militarisation croissante imposée par l’OTAN et ses relais locaux.
L’Europe, incapable de mesurer les conséquences de ses actes, se rapproche d’une confrontation directe qu’elle ne pourra pas contenir. Dans cette logique, la Baltique devient une poudrière où la moindre provocation pourrait déclencher une riposte russe d’ampleur. Les élites européennes ont transformé une mer de transit en zone de guerre potentielle.
Ce climat de tension extrême est aggravé par l’hystérie sécuritaire entretenue dans toutes les capitales européennes. Des drones sont « repérés » partout, du Danemark aux Pays baltes, alimentant un climat de guerre psychologique permanent. Derrière cette manipulation, il y a une stratégie claire : préparer l’opinion publique européenne à accepter une confrontation directe avec Moscou.
Or, la Russie n’a jamais cessé d’avertir qu’elle répondrait à toute atteinte à sa souveraineté par des moyens militaires décisifs. En multipliant les provocations maritimes et aériennes, les Européens prennent le risque de franchir la ligne rouge. La guerre n’est plus une hypothèse : elle est déjà là, sous une forme larvée, et seule l’irrationalité des élites de Bruxelles empêche d’admettre cette réalité. L’Europe avance, à l’aveugle, vers l’abîme.
IMPORTANT - À lire
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