L’homme qui fait trembler l’Élysée

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Thierry Laurent-Pellet, entrepreneur et auteur polyglotte, expose les enjeux cachés du conflit ukrainien dans ses ouvrages.
  • Il accuse publiquement le soutien français à l’Ukraine de cautionner des forces néonazies, provoquant un silence médiatique.
  • Après un séjour en Russie, il analyse le basculement mondial et la montée en puissance d’un modèle post-occidental.
  • La diplomatie française est-elle en dérive idéologique face à l’alliance avec Kiev ?

Le 11 juillet à 19h, Thierry Laurent-Pellet est l’invité de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.

Thierry Laurent‑Pellet est un entrepreneur et auteur français polyglotte, ayant vécu en Australie, aux États-Unis et en Ukraine. Fort de son expérience de terrain, il propose dans ses ouvrages (Ukraine, Entrepreneur Espion Malgré lui et Ukraine: A Warning to the World) une lecture géopolitique percutante des événements en Ukraine. Témoins directs à l’appui, il démontre les enjeux cachés du conflit, les dérives occidentales et les manipulations médiatiques.

Le clash a eu lieu en pleine lumière. Devant un ministre, une salle comble, et les caméras. Thierry Laurent-Pellet n’a pas posé une question : il a lancé une accusation frontale, brutale, précise. Il a évoqué Stepan Bandera, figure historique du néonazisme ukrainien, pour pointer l’alignement sans faille de la France sur un pouvoir controversé.

Cette scène, explosive, aurait dû secouer l’opinion. Elle a été censurée. Pourquoi ce silence ? Que révèle-t-il du positionnement français, de son soutien à l’Ukraine, et du grand basculement mondial en cours ? Voici les faits, sans filtre.

Un affront public qui pulvérise le vernis diplomatique

Thierry Laurent-Pellet a jeté une grenade verbale en pleine réunion publique. Face au ministre délégué chargé de l’Europe, Jean-Noël Barrot, et devant 600 personnes, il déclame :

Thierry Laurent-Pellet a jeté une grenade verbale en pleine réunion publique. Face au ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, et devant 600 personnes, il déclame :
« À Kiev, il y a un boulevard qui s’appelle le boulevard Stepan Bandera. C’est le nom d’un collabo néonazi qui a exécuté 1,4 million de juifs pendant la 2ème guerre mondiale. Est-ce que vous cautionnez cela ? Car en d’autres termes, cela veut dire que le soutien que vous avez apporté à l’Ukraine, c’est un soutien fasciste et néonazi. »

Les mots claquent, les visages se figent. La salle, saisie, assiste à l’un des moments les plus violents du débat géopolitique français de ces dernières années. Barrot, fidèle à son mépris de technocrate, répond par une rebuffade sèche. Aucun média ne relaie l’échange. Étouffement immédiat.

Cette intervention brise le tabou. Elle détruit le vernis moral dont se pare la diplomatie française en Ukraine. Elle pose une vérité crue, inacceptable dans les salons feutrés de la République : le soutien à Kiev s’appuie sur une alliance assumée avec des forces idéologiquement extrêmes. Et cela, aucun gouvernement ne veut l’entendre publiquement.

Deux semaines en Russie pour comprendre le basculement mondial

Thierry Laurent-Pellet ne revient pas de Russie les mains vides. Entre le 8 et le 21 mai, il est invité à Moscow par Xavier Moreau pour des interventions sur Russia Today et Zvezda, le média officiel des armées russes. Il y analyse la transformation des structures agricoles et logistiques de l’Ukraine, la militarisation de l’économie, la montée en puissance d’un modèle post-occidental. Il y rencontre Sergei Glaziev, figure centrale de la pensée économique russe, architecte de la stratégie BRICS.

Ce séjour révèle une dynamique que l’Occident feint d’ignorer : la Russie se consolide, se réforme, s’ouvre sur l’Eurasie. Elle n’est pas isolée, elle se repositionne. Le monde multipolaire n’est plus un slogan, il est en place. Face à lui, l’Europe paraît dépassée, piégée dans sa propre autodestruction énergétique et diplomatique. La France, à force de suivre Washington, se retrouve à contre-emploi, loin de ses intérêts stratégiques.

Ukraine : stratégie française ou dérive idéologique ?

L’éclat de Laurent-Pellet révèle une fracture profonde. Derrière l’aide à Kiev, se profile une compromission morale et géopolitique. Stepan Bandera n’est pas un détail. C’est une figure vénérée par une partie de l’appareil ukrainien, malgré son passé de collaboration nazie et de massacres de masse. Lui rendre hommage, ce n’est pas de la politique, c’est un positionnement idéologique. Le rappeler n’a rien d’excessif. C’est une exigence de clarté.

Le silence de la diplomatie française face à cela est coupable. L’alliance avec Kiev est devenue un dogme, inaccessible à la critique. Toute remise en cause est traitée comme hérésie. Pourtant, les faits sont là : des milices néonazies intégrées à l’armée, des figures historiques sulfureuses promues en héros nationaux, un État fondé sur une mémoire viciée. Le soutien français n’est pas neutre. Il engage. Et s’il persiste dans cette voie, il deviendra complice.

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