Le 23 janvier à 7h, Oskar Freysinger et Christian Vanneste sont les invités de Nicolas Stoquer, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde !
Retrouvez Oskar Freysinger à 7h15, suivi de Christian Vanneste à 8h15 !
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur. Son dernier ouvrage est Animalia, aux éditions Serena.
Christian Vanneste est un homme politique et essayiste français. Ancien membre du RPR puis de l’UMP, il a été député de la dixième circonscription du Nord de 1993 à 1997, puis de 2002 à 2012. Il est également président du RPF de 2012 à 2014 et du think tank la Droite libre depuis 2015.
Trump renverse l’ordre mondial établi
Donald Trump représente une rupture radicale avec le mondialisme. En remettant les États-nations au centre des décisions, il bouscule un ordre établi depuis des décennies. Aux États-Unis, sa politique économique protectionniste, axée sur l’intérêt national, et sa dénonciation des institutions supranationales marquent un tournant historique.
Cette dynamique s’impose sans résistance notable. Les médias traditionnels et les élites progressistes, affaiblis par leur perte de crédibilité, sont incapables de freiner l’adhésion croissante des peuples à cette vision souverainiste. La montée en puissance de figures comme Elon Musk, qui dénoncent ouvertement les excès du politiquement correct et des dogmes technocratiques, accentue ce basculement. Aux États-Unis, Trump ne fait pas que dominer la scène politique : il catalyse un mouvement profond qui redessine l’équilibre mondial.
La souveraineté gagne du terrain en Europe
L’Europe, autrefois fer de lance du mondialisme, se retrouve en difficulté. Les institutions européennes s’accrochent désespérément à un modèle centralisé et technocratique, désormais rejeté par une partie croissante des populations. Face à l’incapacité de Bruxelles à répondre aux crises économiques, sociales et migratoires, l’insatisfaction gronde dans plusieurs pays.
En Allemagne, des mouvements populistes contestent l’autorité des élites en dénonçant les politiques énergétiques et migratoires de Berlin. En Europe de l’Est, des nations comme la Hongrie et la Pologne s’affranchissent ouvertement des diktats bruxellois, affirmant leur souveraineté avec force. Le Royaume-Uni, après le Brexit, continue de montrer la voie en traçant un chemin clair de rejet des dogmes mondialistes.
La France, pourtant, reste figée. Engluée dans un modèle républicain centralisé, le pays refuse de reconnaître l’échec de son système. Les élites françaises ignorent la colère sociale et économique qui monte, préférant s’enfermer dans des discours déconnectés. Tandis que le reste de l’Europe s’éveille, la France s’enfonce dans une paralysie qui pourrait lui être fatale.
Davos, symbole d’un mondialisme en déclin
Le forum de Davos, longtemps perçu comme le temple de l’élite mondialiste, symbolise désormais son affaiblissement. Réunis chaque année, les dirigeants et penseurs mondialistes peinent à cacher leur désarroi face à la montée des mouvements souverainistes. Leurs outils habituels – discours alarmistes sur le climat, menaces de pandémies ou scénarios de guerre mondiale – ne parviennent plus à mobiliser les populations.
Les stratégies de contrôle s’intensifient néanmoins. Les monnaies numériques de banque centrale (CBDC), soit, un moyen de surveillance économique et de restriction des libertés, sont mises en avant. Ces outils visent à centraliser davantage le pouvoir financier, à contrôler les transactions et, in fine, à brider toute contestation populaire.
Mais ces efforts désespérés échouent. Les peuples, de plus en plus conscients des manipulations et des abus, rejettent massivement ces initiatives. Le modèle mondialiste, usé par ses contradictions et incapable de répondre aux aspirations populaires, s’effondre progressivement.
Le basculement vers un monde dominé par les nations souveraines est désormais inévitable. Partout, les populations se mobilisent pour reprendre le contrôle de leur destin. Cette dynamique écrase les idéologies progressistes et supranationales, qui s’effondrent sous leur propre incapacité à répondre aux réalités contemporaines.
L’Europe vacille, les États-nations se renforcent, et les tentatives des élites pour préserver leur domination échouent. Une nouvelle ère s’ouvre, marquée par le triomphe de la souveraineté et de la volonté populaire.
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