Trump Vient De Changer Le Destin Des États-Unis

Le 6 mars à 19h, Georges Clément, Serge Federbusch et Franck Layre Cassou sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Georges Clément est le président du comité Trump France. Il milite pour le rapprochement entre les droites françaises et américaines, cherchant à renforcer les relations transatlantiques autour de valeurs conservatrices et nationalistes. En 2019, il publie Les Peuples contre les États : La Souveraineté Confisquée, un essai dans lequel il dénonce la centralisation du pouvoir au détriment de la volonté populaire, plaidant pour une restitution des droits aux nations et aux citoyens.

Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique. Il présentera son dernier livre, “Le Sabre et l’Esprit” aux éditions de Passy.

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Franck Layré-Cassou est un personnage public aux multiples facettes. Passionné d’histoire, il est également reconnu comme un fervent napoléonien, ayant publié des ouvrages sur l’Empereur et son influence persistante dans notre quotidien. Sa carrière politique l’a vu candidat sous la bannière de Reconquête! dans la 11ème circonscription de Paris et est aujourd’hui militant au sein du Rassemblement National.

Trump impose la paix en Ukraine en humiliant Zelensky

Dès son retour au pouvoir, Donald Trump a mis un terme à l’escalade insensée en Ukraine. Il a convoqué Volodymyr Zelensky pour une rencontre à Washington, lui imposant une réalité brutale : les États-Unis ne financeront plus la guerre. Zelensky, acculé, a fini par reconnaître la nécessité de négocier avec Vladimir Poutine. Cette soumission marque la fin du narratif belliciste imposé par l’État profond sous l’ère Biden.

Les négociations menées sous l’égide de Trump rétablissent l’ordre multipolaire que Washington tentait d’étouffer. Poutine impose ses conditions, notamment la reconnaissance de la Crimée et du Donbass comme territoires russes. L’Europe, privée du soutien militaire américain, n’a d’autre choix que de suivre. Le complexe militaro-industriel, principal bénéficiaire du conflit, voit son influence brutalement réduite.

Trump prouve ainsi que cette guerre n’a jamais été une nécessité mais une instrumentalisation géopolitique orchestrée par l’État profond. En un temps record, il inverse la tendance et expose la réalité : la paix était possible dès le début, mais interdite par l’élite mondialiste.

Une purge massive pour écraser l’État profond

Trump ne s’arrête pas à la politique étrangère. Sur le plan intérieur, il démantèle l’appareil bureaucratique infesté par l’État profond. Dès les premières semaines, il licencie des milliers de fonctionnaires fédéraux, mettant un terme au règne des technocrates anonymes qui imposaient leur idéologie progressiste sans rendre de comptes au peuple.

Il cible particulièrement les départements de l’éducation, de la justice et de l’environnement, considérés comme des bastions du wokisme et du contrôle étatique. Les universités, noyautées par les idéologues, subissent un coup d’arrêt brutal avec la suppression des financements fédéraux pour les programmes de « diversité et inclusion ». Trump rétablit un système où le mérite supplante la propagande.

Il va encore plus loin en abolissant la reconnaissance légale du genre « non-binaire » et en interdisant aux mineurs de changer de sexe. Les lobbies LGBT, qui avaient acquis un pouvoir disproportionné sous Biden, sont mis en échec. La politique identitaire s’effondre, et avec elle, l’une des armes de division les plus puissantes de l’État profond.

Un protectionnisme agressif qui fait trembler l’Europe

Trump frappe là où ça fait mal : les échanges commerciaux. Il relance sa politique de taxes douanières massives contre l’Europe, qu’il accuse de piller l’économie américaine en profitant d’un libre-échange asymétrique. Ces nouvelles taxes, imposées notamment aux importations automobiles et agroalimentaires, obligent l’Union européenne à revoir entièrement sa stratégie économique.

Ce retour au nationalisme économique met un terme à la dépendance des États-Unis vis-à-vis de la Chine et de l’UE. Les multinationales, habituées à exploiter la main-d’œuvre bon marché à l’étranger, sont contraintes de rapatrier leurs productions sur le sol américain. Wall Street grince des dents, mais l’industrie nationale se redresse.

L’Europe, incapable de rivaliser, accuse le coup. Emmanuel Macron et Olaf Scholz dénoncent un acte « hostile », mais n’ont aucun levier pour s’y opposer. L’UE, affaiblie par sa soumission aux dogmes mondialistes, se retrouve désarmée face à un Trump qui n’a plus rien à négocier.

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