🔥 Les essentiels de cette actualité
- La censure bancaire frappe TV Libertés, fermeture des comptes sans avertissement ni motif, une attaque contre la liberté d’expression. Découvrez l’impact sur la survie de la chaîne.
- Le pouvoir utilise les banques pour neutraliser discrètement les voix dissidentes. Une stratégie sans trace, légale en apparence, mais dévastatrice. Comprenez comment l’État contrôle l’information.
- À deux mois des élections, TVL est ciblée pour son audience croissante et ses analyses sans filtre. Un timing révélateur des intentions du régime. Plongez dans les détails de cette répression.
Le 7 juin à 12h30, Mike Borowski vous propose une émission explosive sur un sujet d’importance capitale, en direct sur Géopolitique Profonde.
La censure bancaire, nouvelle arme du régime
La fermeture brutale des comptes de TV Libertés signe un basculement. Ce n’est plus la police, ni la justice, mais les banques, sur ordre politique, qui frappent la dissidence. Sans avertissement, sans motif. Une campagne de dons cruciale pour la survie de la chaîne a été interrompue en plein vol, étouffant financièrement un média jugé trop libre. Le message est limpide : les voix dissidentes n’ont plus leur place dans le système financier.
Cette stratégie ne laisse aucune trace apparente de censure. Pas de procès, pas de mise en examen. Juste un clic dans les bureaux feutrés d’un établissement bancaire. C’est l’art du contrôle invisible, celui qui nie jusqu’à l’existence de l’oppression. Le pouvoir a trouvé la méthode parfaite : discrète, légale en apparence, mais implacable. En s’en prenant à TVL, l’État franchit une ligne rouge. Il expérimente la suppression économique comme outil de répression idéologique.
TVL : fermeture de compte bancaire, une censure silencieuse
Ce que subit TVL n’est pas une erreur administrative. C’est une exécution ciblée. Une décapitation financière planifiée pour décourager, isoler, réduire au silence. Cette opération s’inscrit dans une série d’attaques menées contre les médias non-alignés. Après la suppression des chaînes comme RT France, après les déréférencements, voici venu le temps de la mort silencieuse par fermeture bancaire. Aucun procès, aucun débat public. Juste la disparition progressive des voix gênantes.
Les méthodes sont froides, chirurgicales. Elles s’appuient sur la docilité des institutions privées, prêtes à collaborer avec un pouvoir qui n’a plus besoin de censure directe. L’État sous-traite la répression à des banques devenues juges et bourreaux. Ce mécanisme produit une peur rampante. Chaque média alternatif, chaque créateur libre comprend désormais qu’il suffira d’un ordre discret pour tout perdre : comptes, dons, viabilité économique. Le système veut faire plier par la famine.
Faire taire avant que la colère n’explose
Le timing n’est pas anodin. À deux mois des élections européennes, alors que la colère sociale monte et que la légitimité du pouvoir vacille, les canaux alternatifs sont visés. TVL, par son audience croissante et ses analyses sans filtre, représentait un danger. Pas pour la sécurité nationale, mais pour le récit officiel. Un média qui refuse les éléments de langage devient immédiatement suspect. Et dans la logique totalitaire qui s’installe, le soupçon suffit à condamner.
La République n’a pas peur des armes. Elle a peur des mots. Ceux qui réveillent, qui dévoilent, qui fédèrent. TVL dérange parce qu’elle ne tremble pas. Parce qu’elle donne la parole à ceux qu’on veut invisibles. Parce qu’elle refuse la soumission. L’objectif n’est plus seulement de contrôler l’information, mais d’empêcher son financement. Le pouvoir veut un espace médiatique entièrement sous contrôle, où le pluralisme devient un risque à éliminer. Et il est prêt à tout pour y parvenir.
IMPORTANT - À lire
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