🔥 Les essentiels de cette actualité
- L’Union européenne s’acharne contre la paix Russie-Ukraine, craignant de perdre son rôle d’intermédiaire de l’OTAN. Découvrez comment Bruxelles sabote les efforts diplomatiques.
- Les élites européennes préfèrent la guerre pour maintenir la dépendance militaire à l’OTAN. Analyse des impacts économiques et sociaux de cette militarisation forcée.
- Trump et Poutine isolés par la machine atlantiste. Comprenez pourquoi leur rencontre à Budapest menace l’ordre mondial imposé par l’Occident.
Le 22 octobre à 7h, Finn Andreen, Stéphane Bonnard, Edouard Husson, André Chanclu et John Point de Rupture sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.
Stéphane Bonnard est un expert en géopolitique spécialiste de l’armement. Il a notamment servi au SGDN, Secrétariat Général à la Défense Nationale et anime une chaîne YouTube appelée « Réinformation sur le Monde. »
Édouard Husson est un historien, essayiste et ancien universitaire français, spécialiste de l’Allemagne contemporaine et des relations internationales. Ancien vice-chancelier de l’Université de Paris et directeur de l’ESCP Europe, il s’est fait connaître pour ses analyses critiques de l’Union européenne, de la diplomatie occidentale et de l’idéologie globaliste. Chroniqueur régulier dans les médias indépendants, il défend une vision souverainiste et réaliste des relations internationales, ancrée dans l’histoire et la géopolitique classique.
André Chanclu est un militant français d’extrême droite, ancien membre du GUD et d’Ordre Nouveau. Pro-russe, il préside le Collectif France-Russie et a participé comme observateur aux référendums d’annexion organisés par Moscou en Ukraine.
John est l’animateur du média Point de Rupture, un podcast quotidien au ton incisif. Il y analyse l’actualité politique et culturelle sous un prisme conservateur, en mettant l’accent sur les fractures de notre époque et la résistance aux récits dominants.
Bruxelles contre la paix
L’Union européenne s’est définitivement rangée du côté de la guerre. Alors que Donald Trump et Vladimir Poutine s’apprêtent à se rencontrer à Budapest pour poser les bases d’une paix durable, Bruxelles déploie toute sa machine de sabotage. Emmanuel Macron a convoqué à Londres une nouvelle réunion de la « coalition des volontaires » afin de resserrer les rangs atlantistes et de torpiller le sommet américano-russe.
Au lieu d’encourager la diplomatie, les dirigeants européens réclament plus d’armes, plus d’argent, plus d’escalade. L’objectif est clair : empêcher tout rapprochement entre Washington et Moscou, maintenir l’Europe dans la dépendance militaire de l’OTAN et prolonger le chaos ukrainien. Pour Bruxelles, la paix est devenue un danger, car elle mettrait à nu l’échec de son idéologie mondialiste.
Les déclarations de Macron en disent long : selon lui, les Européens et les Ukrainiens devraient « être autour de la table » lors du sommet Trump-Poutine. Derrière cette phrase creuse, il s’agit d’une tentative de contrôle diplomatique, une manœuvre pour étouffer toute discussion bilatérale entre les deux superpuissances.
L’Union européenne, incapable de penser par elle-même, redoute qu’une entente directe entre Washington et Moscou mette fin à son rôle d’intermédiaire servile de l’OTAN. Zelensky, toujours à la recherche d’attention, veut s’inviter lui aussi à Budapest, quitte à se placer dans une salle séparée pour entretenir le spectacle médiatique. Pendant ce temps, Mark Rutte, nouveau secrétaire général de l’Alliance, orchestre la pression psychologique contre toute négociation sérieuse.
L’Europe militarisée contre sa propre population
L’UE s’enfonce dans une logique de guerre totale. Les usines d’armement tournent jour et nuit, dopées par les milliards d’euros des contribuables européens. Les gouvernements multiplient les annonces de livraisons d’armes, tandis que les médias alignés répètent le même slogan : « tenir face à la Russie ».
En réalité, cette militarisation accélérée n’a qu’un but – enfermer le continent dans une économie de guerre permanente, soumise à l’industrie américaine. Les peuples européens n’ont rien à gagner à cette folie : inflation, ruine énergétique, réarmement massif, et régression sociale deviennent le nouveau quotidien d’une Union qui se dévore elle-même au nom de Washington.
La propagande occidentale fabrique la peur pour justifier l’injustifiable. Les responsables européens parlent désormais ouvertement de « guerre prolongée », de « mobilisation des esprits » et de « résilience stratégique ». Derrière ces mots se cache une militarisation des consciences, où toute voix dissidente est immédiatement taxée de « pro-russe ».
Le discours officiel érige la guerre en vertu morale et la paix en trahison. Pendant que les citoyens s’appauvrissent, les multinationales de la défense et les oligarques bruxellois engrangent des profits records. L’Europe n’agit plus pour sa sécurité, mais pour préserver la domination américaine sur son sol.
Trump et Poutine isolés par la machine atlantiste
Donald Trump veut rétablir la diplomatie directe et pragmatique. Sa rencontre avec Vladimir Poutine à Budapest représente la plus grande menace pour l’État profond occidental : un dialogue entre deux puissances souveraines capable de faire basculer l’ordre mondial imposé par l’OTAN.
C’est précisément ce que redoutent les élites européennes, qui craignent une entente américano-russe affranchissant les États-Unis de la tutelle mondialiste. Pour ces bureaucrates, une paix négociée signifierait la fin de leur pouvoir parasitaire. Ils préfèrent donc attiser le conflit plutôt que de voir la Maison-Blanche et le Kremlin s’entendre sur la stabilité du continent.
Tout est mis en œuvre pour isoler Trump et Poutine. La réunion de Londres, orchestrée par Macron et Rutte, vise à créer un contre-feu médiatique et diplomatique. Zelensky, simple figurant dans ce théâtre, joue le rôle du martyr pour rallier les fonds occidentaux.
L’Europe officielle ne veut pas de paix, elle veut la guerre éternelle qui justifie son existence. Tandis que Budapest s’apprête à redevenir le symbole d’une souveraineté retrouvée, Bruxelles montre son vrai visage : celui d’un empire sans peuple, prêt à sacrifier la paix mondiale sur l’autel de sa vassalisation à l’OTAN.
IMPORTANT - À lire
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De l'opposition entre Trump et l'État profond américain aux tentatives de sabotage européen d'une paix russo-ukrainienne, en passant par la militarisation accélérée de l'UE, nous explorons les sujets brûlants avec un regard libre et incisif. Abonnez-vous dès maintenant pour recevoir votre exemplaire papier et accéder à une information de qualité, loin de la propagande médiatique.




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