🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez comment la crise sanitaire de 2020 a été orchestrée par des élites transnationales, avec des simulations comme Event 201.
- Apprenez pourquoi Big Pharma et l’OMS ont imposé un monopole vaccinal, en interdisant des traitements alternatifs efficaces.
- Comprenez l’impact des injections à ARN messager sur la surmortalité et la société, selon Corinne Lalo et ses invités.
Le 23 avril à 19h, Corinne Lalo, Marc Daoud et Laurence Waki sont les invités de Mike Borowski, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Corinne Lalo, journaliste et grand reporter spécialisée dans la santé depuis trente ans, a couvert certaines des affaires les plus marquantes de notre époque : du scandale du sang contaminé au nuage de Tchernobyl, en passant par la controverse de la vaccination contre l’hépatite B et la grippe H1N1.
Elle est aussi coauteure de Le Livre noir du médicament et Se soigner sans médicaments de A à Z, œuvres incontournables pour comprendre les dangers des produits pharmaceutiques et la recherche de solutions alternatives. Son livre « Les perturbateurs endocriniens : Tout ce qu’on ne vous dit pas« , réédité aux Éditions Le Cherche Midi, offre un éclairage précieux sur cette question de santé publique souvent passée sous silence. Grâce à ses recherches, elle apporte un éclairage important sur l’impact de ces substances chimiques sur notre organisme.
Marc Daoud est le directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel français qui traite de sujets variés tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie, la spiritualité et les théories du complot. Nexus se présente comme un média offrant une information libre, quitte à être inquiétante, et s’efforce de documenter des révélations et des innovations qui dérangent.
Laurence Waki est une philosophe, écrivaine et essayiste française engagée dans la critique des normes sociales et des dérives autoritaires contemporaines. Elle s’est fait connaître par ses tribunes dans France-Soir, où elle dénonce la soumission croissante des citoyens aux injonctions étatiques et la perte d’autonomie individuelle.
Un scénario global minutieusement orchestré
Loin d’être une surprise, la crise sanitaire de 2020 s’inscrit dans un plan mûrement réfléchi par les élites transnationales, appuyées par des fondations privées et des organisations supranationales. Dès les années 2010, des exercices comme Event 201, coorganisé par la fondation Gates, le World Economic Forum et le Johns Hopkins Center, ont mis en scène des pandémies imaginaires aux réactions parfaitement coordonnées. Ces simulations ne visaient pas à préparer une riposte sanitaire honnête, mais à conditionner les décideurs et l’opinion à accepter l’état d’urgence comme norme. Chaque étape a été pensée pour préparer la soumission : fermeture des frontières, censure, vaccination massive.
Le mythe d’une explosion virale à Wuhan n’a tenu que par le relais massif d’images spectaculaires et de chiffres non contextualisés. Aucune étude indépendante n’a confirmé l’existence d’une hécatombe sur place. Des drones pulvérisant de la désinfection dans les rues désertes ont servi d’ouverture à une opération de terreur psychologique planétaire. La peur a été alimentée en boucle par les médias mainstream, eux-mêmes largement financés par les mêmes réseaux que ceux de l’OMS ou de la Commission européenne. Tout a été mis en œuvre pour imposer une narration unique : un virus inédit, ultra-contagieux, mortel et incontrôlable… sauf par l’intervention d’un vaccin miraculeux.
L’OMS, pilotée financièrement par des intérêts privés, a décrété une urgence sanitaire mondiale sur la base de cas asymptomatiques détectés par des tests PCR non fiables. Cette manœuvre a permis de contourner toute analyse rationnelle pour faire régner un climat d’anxiété permanent. La machine de guerre technosanitaire a été lancée : isolement, muselière généralisée, couvre-feu, surveillance numérique… La pandémie n’a pas été subie, elle a été fabriquée et dirigée pour modeler les comportements et accélérer un agenda mondialiste.
Vaccin ARN : la collusion entre Big Pharma, OMS et médecins
La gestion de la crise n’a jamais reposé sur des considérations médicales ou épidémiologiques. Elle a été dictée par les intérêts de l’industrie pharmaceutique, en alliance étroite avec les agences sanitaires, les gouvernements, et une large part du corps médical. L’objectif était clair : interdire toute solution simple, peu coûteuse et efficace pour imposer un traitement unique, expérimental et massivement profitable. L’hydroxychloroquine, prescrite pendant des décennies sans problème, a été brutalement interdite. L’ivermectine, pourtant utilisée avec succès sur le terrain, a été tournée en dérision. Les études favorables ont été retirées, les médecins dissidents traînés devant les ordres ou radiés.
L’Union Européenne, l’OMS, la FDA et toutes les agences prétendument “indépendantes” ont orchestré une répression systématique de tout traitement alternatif. Cette stratégie d’interdiction n’avait qu’un seul but : protéger le monopole des vaccins à ARN messager, financés et développés par des groupes comme Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Ces laboratoires ont imposé leurs conditions aux États, y compris des clauses de non-responsabilité juridique en cas d’effets secondaires. Les contrats ont été signés dans l’opacité, avec des prix multipliés et des garanties de confidentialité qui relèvent d’un racket sanitaire.
Quant aux médecins, une partie importante a vendu son intégrité. Grassement rémunérés par les laboratoires pour des conférences, des publications ou des prescriptions, certains sont devenus les VRP de Big Pharma. La collusion est totale. Le Conseil de l’Ordre, censé défendre les patients, a protégé les praticiens alignés tout en persécutant les lanceurs d’alerte. Les soignants critiques ont été licenciés, diffamés, exclus. Cette trahison de la médecine a permis de maintenir le mensonge, d’imposer l’injection de masse et de faire passer la désinformation comme vérité scientifique.
Effets secondaires vaccin ARN : entre surmortalité et contrôle social
La mise sur le marché des injections expérimentales à ARN messager marque le point culminant de cette opération de manipulation. Présentées comme des vaccins classiques, elles modifient pourtant le fonctionnement cellulaire de manière inédite. Dès les premières campagnes, des signaux alarmants ont été remontés : effets neurologiques, myocardites, AVC, troubles menstruels, fausses couches. Pourtant, les autorités ont maintenu la ligne : tout ce qui contredit la doxa est conspirationniste. Cette censure médicale a tué. Car les injections n’ont pas protégé. Pire : elles ont aggravé les cas, favorisé l’émergence de variants, et conduit à une surchauffe du système immunitaire.
Aujourd’hui, les chiffres parlent : surmortalité massive en 2021 et 2022 dans des pays très vaccinés, baisse des naissances, explosion des cancers agressifs, recrudescence des maladies auto-immunes. Aucun média officiel n’ose faire le lien, alors que les courbes sont claires. Le récit de “la solution miracle” s’effondre, mais les coupables sont toujours protégés. Le peuple, lui, continue de payer : en santé, en liberté, en confiance.
L’injection n’a pas seulement servi un objectif sanitaire, elle a ouvert la voie à un nouveau modèle de société. Le passe sanitaire, rebaptisé “outil de liberté”, est une prémisse à l’identité numérique, à la monnaie programmable, à la surveillance généralisée. Le consentement a été arraché sous la menace. Ce mécanisme de contrôle social, testé à l’échelle mondiale, prépare un futur où la biopolitique devient l’arme principale du pouvoir. L’après-Covid n’est pas un retour à la normale : c’est une accélération de l’agenda transhumaniste global.
Les effets secondaires des vaccins ARN ne peuvent plus être ignorés. Face aux signaux alarmants, il est impératif de réévaluer les politiques sanitaires, de reconnaître les impacts réels sur la santé publique et de rétablir une transparence totale.
La vérité sur les effets secondaires du vaccin ARN doit enfin être mise en lumière.
IMPORTANT - À lire
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