« Alerte » nouveau variant dangereux et infectieux : ça ne s’arrête jamais !

Le nouveau variant NB.1.8.1 détecté en France suscite une vague d’alarmisme médiatique sans données concrètes. Décryptage d’un scénario bien rôdé. Le nouveau variant NB.1.8.1 détecté en France suscite une vague d’alarmisme médiatique sans données concrètes. Décryptage d’un scénario bien rôdé.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le variant NB.1.8.1 alimente l’alarmisme médiatique, servant de prétexte à de nouvelles restrictions et à la peur.
  • Big Pharma profite du battage pour écouler des stocks de vaccins, sous couvert d’urgence sanitaire.
  • Le Great Reset utilise la pandémie pour imposer des changements sociétaux radicaux et une surveillance accrue.

Le 25 mai à 12h30, Mike Borowski dévoile comment le variant NB.1.8.1, l’alarmisme médiatique, Big Pharma et le Great Reset s’entremêlent dans une stratégie de contrôle mondial savamment orchestrée.

Nouveau variant, même stratégie de la peur

Le variant NB.1.8.1 fait une entrée calculée sur la scène médiatique française. Détecté pour la première fois dans l’Hexagone, il devient instantanément l’objet d’un traitement alarmiste, amplifié par les chaînes d’information continue. BFMTV et d’autres médias parlent déjà d’un variant « très inquiétant » et « très infectieux », sans jamais contextualiser les données. Ce discours anxiogène, bien rodé, rappelle le début de la crise de 2020. L’effet recherché est immédiat : raviver un climat de panique sanitaire et conditionner les esprits à l’idée d’un retour des restrictions.

La mécanique est bien connue : marteler une menace invisible, appuyer sur l’urgence médicale, puis relayer les recommandations des autorités sanitaires comme des dogmes. Le port du masque, les tests de masse, et la vaccination sont réactivés comme réflexes conditionnés. Le fait que le variant circule déjà en Asie et ait provoqué une hausse de cas à Hong Kong sert de justification globale, bien que l’impact réel reste marginal. En réalité, ce battage médiatique vise à remettre la population dans une logique d’obéissance, avec la crainte comme moteur principal.

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Tout est calibré pour raviver le traumatisme collectif. On parle de nouvelles vagues, de systèmes hospitaliers à risque, de besoin urgent de vaccins adaptés. Le spectre du chaos sanitaire est brandi à nouveau, comme s’il s’agissait d’une vérité inévitable. En parallèle, aucune donnée sérieuse n’indique une dangerosité accrue du variant. Ce n’est pas la gravité qui compte, mais la perception : en amplifiant l’inquiétude, le système peut réactiver les leviers de contrôle social déjà testés en 2020 et 2021.

L’enjeu caché des vaccins à écouler

Le retour sur le devant de la scène d’un nouveau variant coïncide étrangement avec les débats autour des vaccins actualisés. Plusieurs laboratoires pharmaceutiques, soutenus par des agences de santé, envisagent de cibler ce variant ou ses dérivés dans les prochaines campagnes. La FDA aux États-Unis discute d’intégrer NB.1.8.1 ou LP.8.1 dans les formules à venir. Ce calendrier parfait laisse peu de doute sur les intentions commerciales derrière cette agitation soudaine.

Des millions de doses de vaccins sont encore en stock. Elles dorment dans les congélateurs des centres de santé et représentent une perte colossale pour les géants de l’industrie pharmaceutique. En créant un sentiment d’urgence, les autorités peuvent relancer artificiellement la demande, sous prétexte de protection collective. L’enjeu est moins sanitaire qu’économique : sauver un modèle basé sur la vaccination de masse et sur le renouvellement constant des produits.

Pfizer, Moderna et consorts n’ont jamais caché leur stratégie : chaque nouveau variant est une opportunité commerciale. Et chaque campagne médiatique prépare le terrain pour un déploiement massif des nouveaux sérums. La complicité tacite des médias, des gouvernements et des experts payés par l’industrie rend ce dispositif quasi inattaquable. L’objectif est limpide : faire du COVID un produit permanent, un abonnement biologique renouvelable à l’infini, avec le soutien d’une opinion publique sous influence.

Les campagnes de peur ne servent donc pas seulement à préparer le terrain pour les mesures sanitaires. Elles permettent aussi d’entretenir une dépendance structurelle aux laboratoires. Chaque mutation du virus devient une raison de plus pour injecter, contrôler, suivre. L’innovation technologique est ainsi mise au service d’un contrôle économique et médical global, dont le vaccin n’est que la première pierre.

COVID : prétexte au Great Reset technocratique

Depuis 2020, la pandémie a servi de levier d’ingénierie sociale à grande échelle. Elle a justifié des transformations que des décennies de débat n’auraient jamais permis d’imposer : télétravail généralisé, numérisation des services, surveillance accrue, centralisation des décisions. La résurgence d’un variant comme NB.1.8.1 pourrait prolonger ou amplifier cette dynamique. Le Great Reset n’est pas une théorie, c’est une feuille de route.

Le Forum économique mondial, par la voix de ses représentants comme Klaus Schwab, l’a répété : les crises sont des opportunités systémiques. La pandémie a permis de tester l’adhésion des peuples à des changements radicaux. Pass sanitaire, QR codes, restriction de circulation : tout cela a fonctionné, non pas parce que c’était nécessaire, mais parce que la peur avait brouillé le jugement collectif. Le nouveau variant vient rappeler que la matrice est toujours en place, prête à se réactiver.

L’objectif n’est pas de protéger, mais de reprogrammer la société. Imposer une obéissance numérique, centraliser les données de santé, introduire des identifiants biométriques. La répétition des vagues pandémiques alimente un climat de crise perpétuelle, dans lequel la liberté devient un luxe conditionnel. Le virus devient l’outil parfait pour justifier une transformation profonde de l’ordre social.

La surveillance biomédicale, combinée à l’intelligence artificielle et aux identifiants numériques, prépare le terrain d’un monde hyperconnecté, géré par une élite technocratique. Ce modèle ne tolère pas la dissidence, il fonctionne par l’adhésion forcée à des normes sanitaires, environnementales, comportementales. Le variant NB.1.8.1 n’est donc pas une surprise. Il est la suite logique d’un plan où la santé publique masque un projet politique global, déjà bien avancé.

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