🔥 Les essentiels de cette actualité
- Alain Escada et Typhaine Pinsolle invités de La Grande Émission le 14 mai à 19h sur Géopolitique Profonde. Débat sur mondialisation et vaccins.
- Le nouveau pape aligné sur le programme de Davos, prônant urgence climatique et justice sociale globalisée. Un tournant idéologique majeur.
- Le pape décore des personnalités proches de la franc-maçonnerie avec l’ordre de Malte, signe d’une recomposition des alliances au Vatican.
- Le pape soutient le sionisme politique, poussant à une rupture théologique et à un nouvel ordre moral mondialisé.
Le 14 mai à 19h, Alain Escada et Dr Typhaine Pinsolle sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Alain Escada est un militant et essayiste belge connu pour ses positions traditionalistes et ses critiques acerbes contre la mondialisation et les élites. Président de Civitas, un mouvement catholique traditionaliste, Alain Escada s’illustre par son engagement contre le sécularisme, le mondialisme, et la laïcité.
Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.
Un pape aligné sur le programme de Davos
Le nouveau pape Léon XIV s’inscrit résolument dans l’agenda du Forum économique mondial. Son discours épouse les codes de Davos : urgence climatique, inclusion numérique, justice sociale globalisée. Il ne parle plus au nom de la foi mais comme l’écho spirituel de la gouvernance transnationale. Ses déclarations sur la « fraternité humaine » et la « solidarité universelle » s’articulent parfaitement avec les mots d’ordre du WEF. L’Église devient le bras moral de l’idéologie mondialiste.
Cette proximité ne relève pas du hasard. Plusieurs de ses conseillers les plus actifs – économistes, climatologues, théologiens – sont directement liés aux réseaux du WEF. Le pape ne cache plus ses accointances avec les élites technocratiques qui pilotent la « grande réinitialisation ». Sous couvert d’humanisme, il désactive les fondements traditionnels de la doctrine catholique pour légitimer un ordre mondial post-national et post-chrétien.
Franc-maçonnerie et Ordre de Malte : une recomposition des alliances
Le geste symbolique est fort : le pape a décoré plusieurs personnalités avec la grande croix de l’ordre de Malte, parmi lesquelles des figures notoirement proches de la franc-maçonnerie. Il ne s’agit pas d’une ouverture œcuménique mais d’un basculement stratégique. L’ordre de Malte, historiquement lié aux souverainistes catholiques, devient un instrument de recomposition d’un pouvoir hybride, mêlant diplomatie vaticane, réseaux maçonniques et soft power occidental.
Des éléments précis montrent l’infiltration croissante des loges dans la Curie romaine. Nominations suspectes, déclarations ambigües, silences calculés : tout indique une volonté de cohabitation doctrinale avec des groupes que l’Église condamnait sans réserve jusqu’alors. La franc-maçonnerie dite progressiste, portée par des loges libérales européennes, gagne du terrain au sommet de l’Église. Le pape ne s’y oppose pas : il facilite cette pénétration au nom d’une modernité sacralisée.
Sionisme politique et trahison du magistère
Le lien entre le nouveau pape et les réseaux sionistes n’est plus une simple hypothèse. Il s’exprime par une bienveillance diplomatique hors norme envers l’État d’Israël et un soutien implicite aux orientations les plus dures du projet sioniste. Le pape justifie ces positions au nom de la reconnaissance historique des racines juives du christianisme. Mais ce discours masque une adhésion politique : Jérusalem devient pour lui le centre moral d’un monde réorganisé autour d’un axe abrahamique sous pilotage israélien.
Ce tropisme est l’héritage direct du Concile Vatican II. En reconfigurant le rapport au judaïsme, le concile a ouvert la voie à un renversement théologique majeur. Le nouveau pape pousse cette dynamique à son paroxysme : relativisation du salut chrétien, abandon de l’évangélisation, réhabilitation intégrale du judaïsme comme partenaire spirituel absolu. C’est une rupture. L’Église n’est plus dépositaire de la Vérité, mais une interface entre religions, au service d’un nouvel ordre moral mondialisé.
IMPORTANT - À lire
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