🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez l’aveu surprenant de Von Der Leyen sur les vraies valeurs de l’Europe, une révélation qui pourrait changer votre perception de l’UE.
- Le 9 avril à 12h30, Nicolas Stoquer nous livre une analyse exclusive de cette déclaration choc.
- Plongez dans les détails de cette confession et comprenez les implications pour l’avenir de l’Europe.
Le 9 avril à 12h30, Nicolas Stoquer démonte point par point le révisionnisme historique d’Ursula von der Leyen, entre effacement des racines chrétiennes, glorification du Talmud, oubli des crimes sionistes et soumission idéologique de l’Europe.
Ursula von der Leyen falsifie l’histoire européenne
En déclarant à l’université Ben Gourion que « l’Europe, ce sont les valeurs du Talmud », La déclaration de von der Leyen sur le Talmud dépasse la simple maladresse rhétorique : elle redessine les contours de l’identité européenne. Avec sa déclaration, von der Leyen entraîne l’Union européenne dans un révisionnisme historique controversé.Car non, l’Europe ne repose ni sur le Talmud, ni sur une quelconque tradition rabbinique. Elle est née du legs gréco-romain, enrichi et structuré par le christianisme, en particulier par le catholicisme en Occident et l’orthodoxie en Orient.
Lier l’Europe aux valeurs du Talmud revient à nier ses véritables racines. C’est ignorer que le Talmud n’a jamais été un fondement pour les structures politiques, juridiques ou spirituelles de l’Europe. Pire encore, certaines de ses pages sont ouvertement antichrétiennes, qualifiant Jésus de sorcier et Marie de prostituée. Ces extraits ne sont pas des inventions ou des exagérations : ils sont documentés, traduits, analysés depuis des siècles. Ce texte religieux est né dans un contexte post-destruction du Temple de Jérusalem, en opposition directe à la naissance du christianisme. Intégrer le Talmud comme fondement de la culture européenne relève d’une manipulation idéologique inquiétante.
La déclaration de Von Der Leyen incarne ainsi une volonté claire : déraciner la civilisation européenne de son identité historique, en substituant ses fondements à des références exogènes, promues comme universelles. Il ne s’agit pas d’inclusion ou de dialogue interreligieux, mais d’un effacement planifié au profit d’une mémoire reconstruite à des fins politiques.
Israël sanctuarisé, les Palestiniens effacés
Dans ce même discours, von der Leyen glorifie sans nuance David Ben Gourion, fondateur de l’État d’Israël. Elle parle d’un « héritage durable » et salue un homme présenté comme une lumière pour les siècles à venir. Mais elle tait un fait fondamental : Ben Gourion fut le maître d’œuvre de la Nakba, cette catastrophe palestinienne de 1948, qui a vu plus de 700 000 personnes expulsées, des centaines de villages rasés, des familles détruites, et une société anéantie.
Les historiens israéliens eux-mêmes, comme Ilan Pappé et Benny Morris, ont reconnu cette vérité brutale : la création d’Israël s’est accompagnée d’une épuration ethnique. C’est un fait, non une opinion. En passant cela sous silence, Von Der Leyen engage l’Europe dans une politique d’amnésie volontaire, transformant les criminels historiques en héros de la démocratie. Cette glorification unilatérale revient à justifier un colonialisme actif, toujours en cours, alimenté par les expulsions, les meurtres ciblés, les annexions, et l’apartheid quotidien vécu par les Palestiniens.
En glorifiant l’idéologie sioniste sans mentionner ses conséquences humaines, Ursula von der Leyen légitime un récit falsifié de l’histoire du Proche-Orient. L’Union européenne, sous sa direction, se fait complice d’un régime d’impunité permanente, où les droits de l’homme ne valent que pour certains, et où la réalité des peuples arabes est rayée du discours officiel. Il ne s’agit plus ici d’équilibre diplomatique, mais d’un alignement idéologique sans conditions ni contreparties.
L’Europe de von der Leyen : entre perte d’âme et influences étrangères ?
Le discours de von der Leyen n’est pas un simple excès de zèle diplomatique. Il est le symptôme d’une Union européenne soumise, vidée de sa substance, et transformée en caisse de résonance des agendas mondialistes. Ce projet technocratique, né après la Seconde Guerre mondiale, a été porté par des élites qui ont sciemment voulu effacer les racines chrétiennes de l’Europe pour en faire une structure neutre, désincarnée, et totalement perméable aux influences extérieures.
Jacques Chirac, en refusant toute référence au christianisme dans le préambule du projet de Constitution européenne, a trahi l’histoire de la France et de l’Europe. Il fut l’héritier politique d’un général de Gaulle profondément catholique, attaché à la souveraineté nationale et à l’identité civilisationnelle. Ce reniement n’est pas anecdotique. Il révèle l’ambition réelle du projet européen : substituer une civilisation millénaire par un ordre nouveau, cosmopolite, immigrationniste, athée et hostile aux traditions.
Aujourd’hui, cette trahison se poursuit. L’Europe officielle rejette les valeurs héléno-chrétiennes pour promouvoir une morale abstraite, un humanisme sans racines, un progressisme totalitaire qui assimile toute critique à de la haine. En adoptant les références d’un texte religieux opposé à ses propres origines, en applaudissant des figures controversées sans mentionner leurs crimes, l’Union européenne révèle son inféodation complète à des forces qui ne cherchent pas la paix ni l’équilibre, mais la soumission. La parole de von der Leyen n’est pas une erreur. C’est un manifeste.
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