🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez les dangers du projet du Forum économique mondial avec Marc Gabriel Draghi, juriste et auteur de « Le règne des marchands du temple ».
- Plongez dans l’étude des origines des idéologies modernes avec Youssef Hindi, historien et co-auteur de « Israël et la guerre mondiale des religions ».
- Rendez-vous le 25 avril à 7h en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde pour un débat explosif avec Raphaël Besliu.
Le 25 avril à 7h, Marc Gabriel Draghi et Youssef Hindi sont les invités de Raphaël Besliu, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde !
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.
Youssef Hindi est écrivain, chercheur indépendant et historien de l’eschatologie messianique. Ses travaux de recherches sont tournés principalement vers l’étude des origines des idéologies modernes, de leur évolution et leur influence sur la politique et la géopolitique contemporaines. Il a récemment publié son dernier ouvrage, co-écrit avec Pierre-Antoine Plaquevent « Israël et la guerre mondiale des religions : Géopolitique et millénarisme ».
Zelensky piétine la diplomatie, la Russie riposte immédiatement
La tentative de relance des négociations entre Washington et Moscou a volé en éclats sous l’impulsion de Volodymyr Zelensky. Le président ukrainien, sûr de son bon droit et toujours soutenu à bout de bras par les élites occidentales, a exigé un cessez-le-feu immédiat sans accorder la moindre concession. Cette position, aussi irréaliste que provocatrice, a déclenché la colère de Donald Trump, qui n’a pas toléré cette prise d’otage des discussions internationales. Zelensky n’a rien compris à l’évolution du rapport de force sur le terrain. Sa posture rigide est une insulte à toute forme de diplomatie réaliste.
La réaction russe ne s’est pas fait attendre. En frappant stratégiquement Kiev, Moscou a envoyé un message limpide : il n’y aura pas de paix imposée par un président affaibli, désavoué par une partie croissante de son propre peuple, et déconnecté des réalités militaires. Cette frappe, bien plus qu’une simple réponse militaire, enterre toute illusion d’un compromis sans redéfinition radicale des objectifs ukrainiens. Zelensky, par son obstination, isole encore davantage son pays et l’entraîne dans une impasse mortelle.
En parallèle, Trump, bien que fermement opposé à Vladimir Poutine, menace de retirer définitivement les États-Unis du processus de paix. L’Amérique de demain ne veut plus financer une guerre perdue d’avance, initiée sous de faux prétextes de démocratie. L’Ukraine se retrouve donc piégée entre une Russie intransigeante et une Amérique lassée. En persistant dans l’arrogance, Kiev ne fait que précipiter son effondrement.
L’Europe se ridiculise dans une guerre qu’elle ne peut ni gagner ni comprendre
Face à l’échec patent de la stratégie ukrainienne, les dirigeants européens s’enfoncent dans le délire idéologique. Emmanuel Macron, en première ligne de cette fuite en avant, va jusqu’à traiter Vladimir Poutine de menteur tout en soutenant l’idée d’une “force de réassurance”. Cette provocation gratuite, doublée d’un projet militaire irréaliste, révèle un aveuglement stratégique dramatique. L’Europe refuse de voir que l’Ukraine a perdu militairement. Elle préfère persister dans une posture morale déconnectée du réel.
La fameuse “coalition des volontaires” n’est qu’un alibi pour masquer l’impuissance structurelle des armées européennes. Aucun pays ne dispose aujourd’hui des moyens humains, matériels ou logistiques pour affronter la Russie sur le terrain. Pire encore : cette posture belliqueuse contribue à légitimer les frappes russes et à nourrir le discours de Moscou sur l’agression occidentale. L’Europe joue avec le feu, et ce sont les populations ukrainiennes qui paient le prix.
À cela s’ajoute l’entêtement pathologique de Zelensky, prêt à rester au pouvoir à tout prix, même au détriment de son peuple. Il ne gouverne plus qu’en réprimant les oppositions, en censurant les voix dissidentes, et en imposant une vision manichéenne du conflit. Ce déni collectif occidental, nourri par les médias et les cercles politiques, éloigne encore un peu plus l’hypothèse d’un retour à la paix. L’Europe ne cherche plus la paix, elle cherche à se sauver de son propre échec historique.
Gaza en flammes, Netanyahou isolé, l’Iran ciblé
Pendant que l’Occident s’acharne à maintenir une guerre perdue en Ukraine, le conflit israélo-palestinien atteint un niveau de brutalité sans précédent. Sous les ordres de Benyamin Netanyahou, l’armée israélienne mène une opération d’extermination méthodique contre la population de Gaza. Les bombardements incessants, le blocus humanitaire total, et la destruction des infrastructures civiles illustrent une volonté claire : celle d’anéantir tout espoir de souveraineté palestinienne. Il ne s’agit plus d’une guerre, mais d’un massacre planifié.
Pourtant, l’opinion mondiale se retourne progressivement. Des manifestations de soutien aux Palestiniens éclatent dans toutes les capitales, des États aux populations. Même en Israël, les réservistes se rebellent, refusant d’obéir à un gouvernement qu’ils jugent illégitime. Netanyahou, déjà affaibli par ses scandales judiciaires et sa dérive autoritaire, devient chaque jour plus isolé. Mais cet isolement ne l’empêche pas de poursuivre sa stratégie de guerre totale, quitte à précipiter son pays dans le chaos.
Comme en Ukraine, la paix ne fait plus partie du langage officiel. Israël préfère désigner l’Iran comme son nouvel ennemi absolu, afin de justifier une expansion régionale de la guerre. Cette stratégie du bouc émissaire est connue, usée, mais toujours efficace pour détourner l’attention. L’alliance avec Washington reste solide, malgré la gêne croissante de certains cercles diplomatiques américains. Gaza saigne, la région explose, et les morts s’accumulent au nom d’une idéologie qui ne tolère ni compromis ni coexistence.
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