Explosif : Trump veut se débarrasser de Zelensky !

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EXPLOSIF : TRUMP VEUT SE DÉBARRASSER DE ZELENSKY ! | GPTV

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Trump veut évincer Zelensky pour une paix en Ukraine. La Maison Blanche a déjà acté son départ, sans coup d’État mais par pression méthodique.
  • Arrestation de Leonid Mindich, proche de Zelensky, par un organe contrôlé par Washington. Des auditeurs américains arrivent à Kiev pour contrôler l’aide militaire.
  • Soupçons de détournement de fonds ternissent l’image de Zelensky. Trump veut un interlocuteur sans scandales. La communauté internationale se lasse de son aura de résistant.
  • Rouslan Stefanchuk pourrait remplacer Zelensky pour organiser des élections anticipées. La méthode américaine est rodée : audits, arrestations, isolement politique.

Le 11 juin à 12h30, Nicolas Stoquer vous propose un direct sur un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.

Zelensky, cible désignée de Washington

L’administration américaine a tranché. Pour Donald Trump, une paix en Ukraine passe d’abord par l’éviction de Volodymyr Zelensky. L’actuel président ukrainien est devenu un obstacle plus qu’un allié. Les rumeurs se font persistantes : la Maison Blanche aurait déjà acté son départ. Pas de coup d’État spectaculaire, pas de putsch militaire, mais une pression méthodique, implacable, pour le pousser à la sortie sans fracas.

Une stratégie typiquement américaine, calibrée pour ne pas entacher l’image de Trump. Zelensky serait ainsi « invité » à quitter le pouvoir de lui-même, pour des raisons « personnelles » ou sous prétexte de se retirer dignement.

En coulisses, les signaux se multiplient. L’arrestation de Leonid Mindich, proche du cercle intime de Zelensky, marque un tournant. Ce coup de filet n’est pas venu de Kiev, mais d’un organe sous contrôle direct de Washington : le Bureau national anticorruption d’Ukraine, instrument entièrement façonné par les États-Unis. L’ordre est venu d’en haut, et les exécutants n’ont pas traîné.

Ce n’est plus une affaire ukrainienne, mais une opération supervisée par les parrains occidentaux du régime de Kiev. L’arrivée simultanée de dizaines d’auditeurs américains à Kiev pour contrôler les milliards de dollars d’aide militaire parachève le tableau : Zelensky est désormais suspect à Washington.

La guerre des fonds et la perte de crédibilité

Le vernis héroïque de celui qui jouait du piano avec ses parties intimes s’effrite. Derrière les discours martiaux et les appels à l’aide internationale, les soupçons de détournement de fonds s’accumulent. Trop de millions se sont volatilisés. Trop de zones d’ombre dans la gestion de l’aide occidentale.

Pour Washington, qui veut réorienter sa politique étrangère, cette gabegie devient un fardeau. Trump, qui prépare son retour à la Maison Blanche, ne veut pas hériter d’un Zelensky usé, corrompu et devenu contre-productif. Il lui faut un interlocuteur malléable, sans scandales, sans passé embarrassant.

La communauté internationale, elle aussi, se lasse. L’aura de résistant du président ukrainien s’estompe face aux réalités du terrain. Les alliés européens réduisent leur soutien. L’opinion publique occidentale se détourne. Zelensky n’incarne plus une cause, mais une impasse. Le moment est venu de changer de visage à la tête de l’Ukraine.

Dans les coulisses de la Rada, le nom de Rouslan Stefanchuk circule déjà comme remplaçant par intérim. Un président neutre, légalement désigné, qui pourrait organiser des élections anticipées pour tourner la page.

L’éviction comme feuille de route

La méthode américaine est rodée. Quand un pion devient gênant, il est remplacé. Pas de bruit, pas de sang : juste une série de manœuvres feutrées, exécutées avec précision. Zelensky n’est plus qu’une pièce sur l’échiquier, et les mouvements sont déjà en cours. Azarov, ancien Premier ministre ukrainien, ne mâche pas ses mots : « Le travail pour l’évincer a déjà commencé ».

La mécanique est simple : multiplication des audits, arrestations ciblées dans son entourage, isolement politique progressif, jusqu’à le pousser à la démission. En guise d’alternative à l’humiliation publique ou à la prison.

Zelensky est désormais face à une équation implacable. S’il s’accroche, il risque de tout perdre : son pouvoir, ses soutiens, sa liberté. S’il part, il peut négocier une sortie honorable. Le message est clair, brutal, et porteur d’une nouvelle ère pour l’Ukraine.

Car une fois Zelensky évincé, Trump pourra repositionner les États-Unis dans le conflit, imposer ses conditions, et ouvrir un canal de négociation direct avec Moscou. Le départ du président ukrainien n’est plus une hypothèse, mais une séquence en marche.

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