“Foutons la paix aux Français !” : la colère totale du peuple contre les ZFE

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Le 22 mai à 17h, Mike Borowski vous propose de découvrir son reportage de terrain. Il s’est rendu au cœur d’une mobilisation explosive contre la dictature verte imposée par Bruxelles et Davos. C’est un cri de révolte contre la Zone à Faible Émission, cette mesure soi-disant écologique qui frappe d’abord les plus modestes. Entre interviews chocs, visages en colère et vérités qu’on n’ose plus dire, ce reportage vous plonge dans la résistance d’un peuple qu’on veut faire taire. Un reportage brut, sans filtre, indispensable pour comprendre ce qui se joue réellement.

ZFE : le cheval de Troie du Great Reset

Sous couvert d’écologie, la Zone à Faible Émission (ZFE) s’impose comme l’un des dispositifs les plus violents de ségrégation sociale instaurés depuis des décennies. Issue d’un règlement européen voté en catimini, cette mesure interdit progressivement les véhicules anciens, c’est-à-dire ceux que possèdent l’écrasante majorité des classes moyennes et populaires. En France, ce sont 20 millions de personnes qui deviennent de fait interdites de centre-ville, sous peine d’amendes automatiques de 135 euros. Le message est limpide : si vous êtes pauvre, vous restez à la périphérie.

La propagande officielle prétend protéger la planète. En réalité, les ZFE ne sont qu’un prétexte pour justifier une réorganisation brutale des mobilités. La voiture devient un luxe. Et plus encore, une arme politique pour trier les citoyens. La sentence est sans appel : vous ne posséderez plus rien.

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Impossible de vendre une voiture classée Crit’Air 3, 4 ou 5. Ces véhicules deviennent des poids morts économiques. L’État pousse à la casse, détruit les derniers biens durables accessibles, et ruine des familles entières en quelques mois. Derrière cette stratégie se cache le dogme du Forum économique mondial : l’homme désapproprié, dépendant d’un système de location, de crédits carbone et d’autorisations numériques.

ZFE et dictature verte : le rôle de Bruxelles et Davos

La mécanique de domination est bien huilée. Depuis le “Green Deal” de 2019, l’Union européenne impose une avalanche de normes environnementales sans concertation nationale. La directive sur les émissions, adoptée en 2020, fixe le calendrier d’interdiction progressive des véhicules thermiques jusqu’à 2035. Ce calendrier s’applique à tous les États membres, sans distinction. La souveraineté des peuples est balayée. Les préfets et les maires ne sont que des courroies de transmission, exécutant des directives élaborées par des bureaucrates déconnectés à Bruxelles.

La collusion entre les institutions européennes et les puissances économiques réunies à Davos est manifeste. Klaus Schwab, père du Great Reset, affirme depuis 2020 que la crise du COVID-19 est une opportunité historique pour “reconstruire mieux”. En réalité, il s’agit d’un vaste programme de réorganisation mondiale, piloté par une élite transnationale. L’autonomie personnelle est perçue comme un danger. Le déplacement libre est une faille. Supprimer la voiture individuelle, c’est neutraliser la dernière forme de liberté concrète pour des millions de citoyens. C’est confiner les individus dans des espaces surveillés, sous prétexte d’urgence climatique.

Une mobilisation inédite contre la dictature verte

Le 18 mai 2025, un tournant s’opère. Dans plusieurs grandes villes, des rassemblements massifs s’organisent contre la mise en place des ZFE. À Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, ce sont des dizaines de milliers de citoyens qui dénoncent une “écologie de caste”. À l’appel de l’écrivain Alexandre Jardin, des motards, des familles, des élus et des personnalités publiques convergent pour crier leur colère. Le slogan est clair : “Nous ne sortirons pas de nos villes, nous ne sortirons pas de nos vies”. Le ton est grave, les visages fermés. Ce n’est plus une simple manifestation, c’est un sursaut populaire.

Parmi les manifestants, des députés dénoncent un apartheid écologique. Certains rappellent que cette politique viole la Déclaration des Droits de l’Homme, en limitant de manière discriminatoire la liberté de circulation. D’autres soulignent le non-sens écologique de cette mesure : forcer à acheter du neuf en détruisant l’ancien est une absurdité environnementale. Une grand-mère montre les courriers de relance, un ouvrier parle de son licenciement faute de pouvoir se déplacer. Tous témoignent d’un même sentiment : la fracture entre le peuple et ses élites n’a jamais été aussi béante.

La lutte contre les ZFE n’est pas seulement une revendication logistique. Elle cristallise un rejet profond du modèle de société que l’on tente d’imposer : une société de contrôle, d’obéissance, de dépossession. Ce mouvement est en train de dessiner les contours d’une nouvelle résistance, celle de ceux qui refusent de devenir des variables d’ajustement d’un monde sans liberté.

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