Le 21 septembre à 19h, Paul Marie Coûteaux est l’invité de Nicolas Stoquer dans Le Monde Réel sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Paul-Marie Coûteaux est un homme politique et essayiste français. Ancien diplomate, il est surtout connu pour être l’un des principaux théoriciens du souverainisme en France.
L’émergence du souverainisme en France
Le souverainisme en France est né dans les années 1990, quand des figures comme Philippe Séguin, Charles Pasqua et Jean-Pierre Chevènement se sont opposées au traité de Maastricht. Ce traité, signé en 1992, instaurait l’union économique et monétaire européenne, et renforçait le pouvoir des institutions européennes, réduisant ainsi l’autonomie des États membres.
Avec le temps, la notion de souveraineté a évolué. Sous la direction de Marine Le Pen, le Front National (devenu Rassemblement National) a adopté ce discours pour promouvoir une France libérée de la tutelle de Bruxelles. Mais aujourd’hui, la question se pose : existe-t-il encore des figures capables de mener réellement ce combat ?
Le dilemme du RN
Le Rassemblement National (RN) semble aujourd’hui prendre un tournant stratégique. Longtemps perçu comme le principal représentant du souverainisme en France, le RN de Marine Le Pen s’éloigne de plus en plus de ce courant. En se préparant à gouverner, le parti souhaite apparaître plus « conforme » aux yeux de l’électorat et de l’élite politico-médiatique. Le souverainisme, autrefois central dans son discours, est désormais vu comme un fardeau trop lourd à porter dans une société de plus en plus mondialisée.
Ce changement se reflète également dans le choix du Rassemblement National de se rapprocher de personnalités politiques conventionnelles, comme Michel Barnier, l’actuel Premier ministre et ancien commissaire européen. En adoptant ce positionnement, le RN espère élargir son électorat et gagner en respectabilité auprès des élites. Toutefois, cette stratégie pourrait bien marquer un tournant décisif dans la relation du parti avec l’idée de souveraineté et même de son électorat.
Le souverainisme n’est pas mort
Les petits partis souverainistes, quant à eux, ont toujours rencontré des difficultés à imposer ce courant sur la scène politique nationale. Marginalisés, souvent perçus comme anachroniques ou précaires, ils peinent à rassembler une base électorale solide. Pourtant, une partie du peuple français, confrontée à une mondialisation débridée, semble toujours en quête de souveraineté. Face à des institutions supranationales de plus en plus puissantes, la demande pour une politique qui redonne à la France sa liberté d’action et sa grandeur d’antan est plus que jamais d’actualité.
Pour Paul-Marie Coûteaux, le souverainisme n’est pas mort, mais en pleine transformation. Il s’agit désormais de savoir qui saura incarner cette idée dans les prochaines années. Le souverainisme pourrait bien connaître une nouvelle métamorphose, adaptée aux défis du XXIe siècle. Alors, qui a les épaules poru prendre le relais de cette lutte pour l’indépendance nationale ?
2 réponses
En fait c’est Géopolitique de l’Escroquerie profonde par Besliu & Pengam !
C’est très bon pour la résistance et la reconquête de la souveraineté du portefeuille !
Mais vous n’avez pas honte ?
Faire un coup pareil en faisant payer les clients à l’avance pour le bouquin de Corneille puis le virer quand on ne peut pas mettre la main sur le magot, et se garder de rembourser spontanément les clients s’ils ne se manifestent pas !
Et vous montrez du doigt ceux de la communauté organisée en faisant pire !
Alors comme ça de Bresliu à Pengam, vous n’êtes qu’une bande d’escrocs ?
Sûr que la France retrouvera sa splendeur avec vous !