Le 18 janvier à 9h, Maître David Guyon est l’invité de Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Maître David Guyon est un avocat spécialisé dans la défense des victimes, notamment dans les affaires de violences sexuelles. Il s’est fait un nom en se consacrant avec passion à la défense des droits des plus vulnérables, en particulier les enfants, et en s’engageant dans des dossiers médiatisés de maltraitance.
La Cour de justice de la République (CJR) a récemment blanchi Agnès Buzyn et Olivier Véran, anciens ministres de la Santé. Cette décision prétend valider leur gestion de la pandémie de Covid-19. Pourtant, les faits montrent une réalité bien différente : abus de pouvoir, violations des droits fondamentaux et décisions arbitraires ont marqué cette période critique.
Les familles privées de leurs proches : une injustice inédite
Pendant la pandémie, les familles ont été empêchées de voir leurs proches hospitalisés ou en fin de vie. Cette interdiction brutale, imposée sans cadre légal solide, a généré une souffrance humaine immense. Des milliers de malades sont morts dans l’isolement total, tandis que leurs proches étaient relégués à un rôle d’observateurs impuissants.
Parallèlement, l’obligation de mise en bière immédiate a accentué le traumatisme. Cette mesure, dépourvue de base sanitaire crédible, a bafoué les droits funéraires et interdit tout dernier hommage. Ces décisions, loin d’être des maladresses, étaient assumées et s’inscrivaient dans une logique de contrôle excessif, sous prétexte d’urgence sanitaire.
Des mesures sanitaires anticonstitutionnelles imposées en toute conscience
Les confinements, couvre-feux et autres restrictions ont été instaurés dans le cadre d’un état d’urgence sanitaire qui a contourné les processus démocratiques habituels. Ces mesures, appliquées à coups de décrets, ont suspendu des libertés fondamentales comme la libre circulation et le droit de réunion. Elles ont été imposées avec une autorité absolue, réduisant à néant toute possibilité de débat.
Ce qui est aujourd’hui encore plus troublant, ce sont les informations prouvant que ces restrictions, souvent disproportionnées, étaient mises en œuvre malgré leur inefficacité connue. Ces choix délibérés montrent que l’objectif principal n’était pas de protéger la santé publique, mais de conditionner la population à accepter des restrictions de liberté sans précédent.
Loin d’être des outils temporaires pour gérer une crise, ces mesures ont établi un précédent dangereux pour l’avenir, où l’exécutif peut imposer ses décisions en contournant les institutions de contrôle.
Un État de droit au service des élites : les abus entérinés
La gestion de la crise Covid a révélé une fracture profonde entre le peuple et les élites. Tandis que les citoyens subissaient des restrictions draconiennes, les responsables politiques ont échappé à toute responsabilité. Le blanchiment politique de Buzyn et Véran par la CJR démontre cette impunité. Ce verdict prouve que l’État de droit, censé garantir la justice pour tous, est aujourd’hui instrumentalisé pour protéger les puissants.
Cette instrumentalisation va au-delà des décisions sanitaires : elle met en evidence une gouvernance où les lois sont adaptées aux intérêts d’une minorité au pouvoir, tandis que la majorité doit s’y soumettre. La pandémie a été l’occasion parfaite pour renforcer ce modèle de domination, au détriment des libertés individuelles.
Une fracture démocratique irréversible ?
La crise sanitaire a montré une mutation profonde de l’État. L’utilisation abusive des décrets, le contournement des institutions et l’impunité des décideurs créent un précédent dangereux. Si ces dérives ne sont pas corrigées, elles serviront d’exemple pour de futures crises, où les droits des citoyens pourront à nouveau être suspendus sans justification valable.
La France, pays des droits de l’homme, s’est transformée en un État où les libertés fondamentales sont facilement sacrifiées sur l’autel d’une urgence fabriquée. Le blanchiment politique des responsables ne fait qu’aggraver cette dérive, en consolidant un système où le peuple est le seul à payer les erreurs et les abus des élites.
Une réponse
Et les preuves à l’autopsie que le décès étai du au vaccins.Aucune poursuite ? Pourquoi ?