Le 1er février à 9h, Mickaël Auffray est l’invité de Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Mickael Auffray est un auteur et essayiste engagé, spécialiste des enjeux technologiques et sociétaux. À travers ses ouvrages, il explore les dérives du contrôle numérique, la surveillance de masse et l’ingénierie sociale imposée par les élites mondialistes.
Dans cette émission, il nous présente son livre “Pendant qu’il est trop tard”, une plongée glaçante dans une France futuriste où la liberté n’est plus qu’un souvenir. Ce récit d’anticipation révèle un système de contrôle absolu, imposé sous couvert de sécurité et d’efficacité technologique.
L’implantation des puces sous-cutanées : une obligation déguisée
La France de 2030 pourrait bien être celle d’un contrôle absolu. Sous prétexte de sécurité et de modernité, le gouvernement impose une identité numérique sous-cutanée à tous les citoyens. Reliée aux comptes bancaires, au dossier médical et aux déplacements, cette puce devient le sésame indispensable pour exister légalement.
Ceux qui refusent ce marquage numérique sont instantanément marginalisés. Plus d’accès aux soins, interdiction de travailler, blocage des comptes bancaires, exclusion des services publics… La pression devient insoutenable. L’État n’a plus besoin de lois liberticides : il suffit de désactiver une puce pour anéantir une existence.
Le plan de Klaus Schwab et du Forum de Davos devient réalité
Cette dérive n’a rien d’accidentel. Depuis des années, Klaus Schwab et le Forum de Davos façonnent un monde ultra-connecté où chaque individu est un simple maillon d’un système centralisé. Le Great Reset, longtemps présenté comme une opportunité économique et écologique, révèle son véritable objectif : une surveillance de masse sans précédent.
Le remplacement progressif de l’argent liquide par une monnaie numérique programmable verrouille définitivement l’asservissement. Désormais, une simple restriction algorithmique suffit à punir un comportement jugé déviant : un commentaire critique sur les réseaux sociaux, une consommation jugée excessive, une activité non conforme aux normes imposées… Tout est sous contrôle.
Une société déchirée entre soumission et résistance
Dans ce scénario, la France se divise en deux classes distinctes : ceux qui acceptent la puce et bénéficient des services de l’État, et ceux qui refusent, condamnés à une clandestinité totale. Les réfractaires n’ont plus accès aux transports, aux magasins, ni même à un simple emploi. Ils deviennent des fantômes, traqués et criminalisés pour leur simple volonté de rester libres.
La propagande médiatique vendra cette révolution technologique comme une avancée inévitable, nécessaire au bien commun. Mais la réalité est bien plus sombre : la servitude volontaire remplace la liberté individuelle, et le refus d’obéir devient un crime.
Il est urgent de comprendre et d’agir
Cette projection n’a rien de fantaisiste. Mickaël Auffray l’explore en profondeur dans « Pendant qu’il est trop tard », un ouvrage essentiel pour comprendre les mécanismes qui nous conduisent à cette société sous contrôle total. Ce livre est un signal d’alarme, un guide pour ceux qui refusent de se soumettre au diktat du transhumanisme et de la surveillance totale.
