MACRON VEUT LA GUERRE POUR ACTIVER L’ARTICLE 16 ?! | GPTV

Le 14 mars à 12h30, Mike Borowski alerte sur la rhétorique guerrière de Macron, qui prépare les esprits à un basculement autoritaire en activant potentiellement l’article 16, un outil offrant au président des pouvoirs absolus, sans aucun contre-pouvoir.

Une rhétorique de guerre pour préparer les esprits

Depuis plusieurs mois, Emmanuel Macron et son gouvernement installent une narration guerrière, martelant l’idée que la France doit se préparer à un conflit majeur. Les discours officiels évoquent une mobilisation générale, une économie de guerre, et la nécessité pour les Français de se sacrifier pour la nation. Cette stratégie de communication repose sur un conditionnement psychologique, comparable à celui utilisé lors de la crise sanitaire.

La gestion du Covid-19 a prouvé que la peur est un levier de contrôle extrêmement efficace. En instaurant un climat d’urgence, le pouvoir obtient la soumission du peuple, prêt à accepter des restrictions inédites en échange d’une promesse de protection. Cette fois-ci, la menace n’est plus un virus, mais un ennemi militaire.

Les médias participent activement à cette mise en scène. Les chaînes d’information en continu multiplient les analyses anxiogènes, insistant sur la vulnérabilité de la France face à une menace extérieure. L’idée d’un effort national obligatoire se répand, avec la possibilité d’un service militaire ou civil contraint. L’objectif est clair : préparer les Français à une acceptation passive des futures décisions autoritaires.

L’article 16 : un outil de dictature légale

L’article 16 de la Constitution offre au président des pouvoirs absolus, en suspendant temporairement la séparation des pouvoirs. Il permet à Macron de gouverner par décrets, sans contrôle du Parlement ni des institutions judiciaires. Pendant 30 jours, il peut imposer toutes les mesures qu’il juge nécessaires, et la seule autorité capable de juger de la prolongation de cet état d’exception est le Conseil constitutionnel.

Le président du Conseil constitutionnel n’est autre que Richard Ferrand, un proche de Macron, fidèle parmi les fidèles. Cette nomination stratégique suggère un contrôle total des institutions, garantissant qu’aucun contre-pouvoir ne viendrait s’opposer à une éventuelle prolongation de l’article 16. Ce dispositif, utilisé une seule fois par De Gaulle en 1961, était alors justifié par une tentative de putsch militaire. Aujourd’hui, un prétexte sécuritaire suffirait pour imposer une dictature temporaire déguisée en mesure de sauvegarde nationale.

L’activation de cet article donnerait à Macron les moyens d’éliminer toute opposition, qu’elle soit politique, sociale ou médiatique. Il pourrait interdire les manifestations, contrôler la presse, censurer Internet et imposer des restrictions inédites à la population. Avec l’appareil judiciaire sous son contrôle, aucun recours ne serait possible.

Vers un verrouillage total du pouvoir

L’accumulation de mesures liberticides ces dernières années montre que le pouvoir teste les limites de l’acceptabilité sociale. Depuis 2020, les Français ont subi des confinements forcés, des pass sanitaires, des censures médiatiques et une criminalisation de la contestation. Chaque nouvelle crise a été une opportunité pour renforcer l’autoritarisme du régime, sous prétexte de protéger la population.

L’installation d’une peur permanente dans l’opinion publique est une condition essentielle pour justifier un basculement vers un régime d’exception. En présentant l’opposition politique comme un danger, en assimilant les contestations populaires à des menaces pour la République, Macron prépare un verrouillage total. L’article 16 serait l’ultime étape de cette stratégie : un coup de force légal, permettant d’écarter définitivement tout contre-pouvoir.

Les signes ne trompent pas : militarisation du discours, contrôle des institutions, désignation d’ennemis internes et externes, et répétition d’un narratif de guerre. Tout indique que le pouvoir se prépare à un passage en force, avec une concentration totale du pouvoir entre les mains du chef de l’État. Une fois cet engrenage enclenché, la France pourrait basculer dans une dérive autoritaire dont elle aurait du mal à sortir.

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Une réponse

  1. Bonjour
    vous écouter mais cest comme pour le reste, rabâcher 100 fois les mêmes choses ne change strictement rien à nos affaires. Vous vous écoutez parler. C’est votre petite occupation très bien.

    — comme tant de médias qui en réalité sont pourvoyeurs de peur. Cela ne lie pas les gens. Ça reste des tentatives. Sans solution pour les moins aises.
    Du virtuel. On n appeend rien de plus. On sait déjà tout ça.

    Je ne m abonné pas. Je ne comprends pas votre démarche. Désolé.

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