Avec en prime des millions de dollars donnés par les services secrets chinois
Les inquiétudes en matière de sécurité nationale suscitées par le scandale des documents classifiés de Joe Biden viennent de s’aggraver.
En effet, deux rapports ont été publiés, selon lesquels Hunter Biden se trouvait dans la résidence des Biden à Wilmington, dans le Delaware, alors qu’il empochait des millions de dollars grâce à des transactions commerciales liées au PCC.
Tout d’abord, Seamus Bruner (chercheur pour le légendaire dénicheur de bombes Peter Schweizer), rapporte via Breitbart News, que « tout en se droguant, en fréquentant des prostituées et en passant des accords avec des hommes d’affaires liés aux plus hauts niveaux du renseignement chinois, Hunter Biden vivait dans la maison où Joe Biden stockait des documents classifiés. »
Alors qu’il remplissait un formulaire de vérification des antécédents, Hunter a commis une erreur et a indiqué que son « loyer » s’élevait à 49 910 dollars, alors qu’il s’agit en fait du montant du dépôt de garantie et de six mois de loyer pour un espace de bureau de choix à la prestigieuse Maison de la Suède à Washington DC.
Ce qui est le plus intéressant, cependant, c’est que les dates indiquées par Hunter comme vivant dans la résidence de Wilmington, DE – comme l’affirment d’autres documents et états financiers – se chevauchent avec la période au cours de laquelle de multiples membres de la famille Biden recevaient de l’argent d’hommes d’affaires étrangers ayant des connexions aux plus hauts niveaux des services de renseignement de l’État chinois par le biais de la société énergétique CEFC. Comme le note encore Bruner, CNN a décrit CEFC comme une entité dirigée par l’État en 2018.
Le CEFC et au moins quatre de ses dirigeants et associés – Ye Jianming, Patrick Ho, Gongwen Dong et Jiaqi Bao – ont été liés au PCC et à son appareil de renseignement militaire.
Dans un cas, Hunter a décrit Patrick Ho comme « le putain de chef espion de la Chine ».
Le président de la CEFC, Ye Jianming (Photo : CEFC)
Plus d’informations via Breitbart
Début 2017, Hunter correspondait directement avec le personnel du CEFC et s’est rendu à Miami en février de la même année pour rencontrer le président du CEFC, Ye Jianming. Au cours de ce voyage, Ye Jianming a donné à Hunter un diamant de 3,16 carats d’une valeur d’environ 80 000 dollars.
Lorsque l’ex-femme de Hunter a découvert qu’il avait obtenu un objet d’une telle valeur, elle a demandé à l’avocat du divorce d’envoyer un courriel « urgent » afin de déterminer où se trouvait le diamant et de sécuriser le bien avant que Hunter ne puisse le « dissiper ». L’avocat de Hunter a offert un démenti douteux :
« Il n’y a pas de diamant en possession de Hunter. Je ne sais pas où Kathleen a eu accès à cette information, mais sur ce point, ce que votre email prétend ci-dessous est inexact. »
Les métadonnées glanées à partir des photos du diamant sur l’ordinateur portable abandonné indiquent que Hunter a menti en disant ne pas avoir le diamant et qu’il l’avait en fait avec lui à Wilmington. L’emplacement actuel du diamant de 3,16 carats reste inconnu.
Après la réunion fatidique de février 2017 avec Ye, et à peu près au moment où Hunter a affirmé avoir emménagé dans la maison de Wilmington où des documents classifiés ont été trouvés, les affaires des Biden avec le CEFC ont explosé.
Neuf jours après la réunion de Miami, Hunter a reçu deux virements distincts de 3 millions de dollars que le Financial Crimes Enforcement Network du Département du Trésor a signalés comme suspects.
Nous vous encourageons à lire le reste du rapport de Breitbart ici, car il est très détaillé.
Deuxièmement, le Washington Free Beacon rapporte que des photos de l’ordinateur portable abandonné de Hunter Biden le situent à la Wilmington House en juillet 2017. À noter que les documents classifiés auraient été apportés à la maison en janvier de la même année.
Les photos « constituent la preuve la plus concrète à ce jour » que M. Hunter – qui négociait activement un accord avec une société énergétique chinoise liée au PCC – avait accès à des zones du domicile de son père où étaient stockés des documents classifiés.
Un examen de l’ordinateur portable par le Washington Free Beacon a permis de trouver quatre photos de 2017 de Hunter Biden, vêtu d’une chemise blanche à col et d’une casquette de baseball camouflage, au volant de la Corvette Stingray 1967 de son père. Les métadonnées GPS intégrées dans les photos indiquent qu’elles ont été prises à une minute d’intervalle, à 18 h 49 le 30 juillet de cette année-là, juste devant la résidence du président à Wilmington (Delhi). Les photos montrent Hunter Biden posant dans le véhicule à côté de deux jeunes filles. L’une semble être sa nièce, Natalie Biden, alors âgée de 12 ans. L’autre n’a pas pu être identifiée.
Konstantinos Gus Dimitrelos, ancien agent des services secrets et expert certifié en cybercriminalistique, a analysé les photos et confirmé leur authenticité.
« Si on me le demande, je témoignerai que les photographies sont authentiques et ont été prises le 30 juillet 2017 », a-t-il déclaré au Free Beacon.
Et comme le rapporte encore le Beacon – corroborant les informations de Breitbart, « Au moment où les photos ont été prises, Hunter Biden négociait un accord commercial lucratif avec le conglomérat énergétique chinois CEFC, aujourd’hui disparu, était étroitement lié au gouvernement chinois. L’ancien partenaire commercial de Biden, Tony Bobulinski, a affirmé avoir rencontré Joe Biden en personne au début du mois de mai 2017 – moins de trois mois avant que Hunter Biden ne soit photographié en train de prendre le volant du véhicule prisé de son père – pour discuter des transactions commerciales chinoises de la famille Biden. »
Au total, le CEFC a versé à Hunter Biden 6 millions de dollars en frais juridiques et de conseil en 2017 et 2018.
Et bien sûr, les mêmes médias qui ont suggéré que les Trumps étaient des agents russes sur la base d’un canular – sont pratiquement silencieux sur les risques réels pour la sécurité nationale posés par la famille Biden.
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Source : ZeroHedge
