BRIGITTE MACRON EST-ELLE UN PROJET DE LA CIA ? | GÉOPOLITIQUE PROFONDE

BRIGITTE MACRON EST-ELLE UN PROJET DE LA CIA ? | GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Le 3 janvier à 12h30, Nicolas Stoquer vous donne rendez-vous pour un sujet explosif d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde.

Brigitte Macron : un projet expérimental MK Ultra?

Brigitte Macron incarne une énigme dont les incohérences biographiques suggèrent une construction méthodique. Son état civil demeure introuvable, son parcours semble suivre une trajectoire d’infiltration identitaire troublante, et ses liens supposés avec Jean-Michel Trogneux alimentent des interrogations majeures.

S’agit-il d’une ingénierie sociale avancée, orchestrée par des services occultes pour insérer des figures-clés dans les États-nations et en influencer le destin ?

Une naissance synchronisée avec MK Ultra

Le 13 avril 1953, date officielle de naissance de Brigitte Macron, correspond exactement au lancement du programme MK Ultra par la CIA. Cette coïncidence numérologique est-elle fortuite ou révèle-t-elle un marquage occulte? Si Brigitte Macron est un projet d’expérimentation identitaire, sa date de naissance pourrait bien être un symbole caché.

Problème majeur : son état civil reste inaccessibles au public. Aucun document officiel ne permet de confirmer sa naissance, son parcours scolaire ou son identité avant les années 1980. Plus étrange encore, Brigitte Macron affirme avoir étudié à Alger en 1962, alors qu’elle aurait eu seulement 9 ans. En revanche, un certain Jean-Michel Trogneux, né en 1945, aurait eu 17 ans, âge bien plus crédible pour des études à l’étranger. Un effacement progressif de Jean-Michel Trogneux dès les années 1980 et l’apparition soudaine de Brigitte Macron posent une question cruciale : sommes-nous face à une transformation identitaire complète ?

Jean-Michel Trogneux : l’ombre derrière Brigitte Macron

Avant 1984, Jean-Michel Trogneux est bien documenté dans l’état civil et la vie sociale d’Amiens. Brigitte, elle, est absente. Après 1984, Brigitte devient omniprésente, tandis que Jean-Michel disparaît sans laisser de traces.

Or, des photographies prises lors de la Gay Pride de Paris en 1977 montrent un homme qui ressemble étrangement à Jean-Michel Trogneux, militant actif du mouvement LGBT, récemment revenu des États-Unis. À cette époque, Jean-Michel est un personnage visible, lié à des réseaux contestataires, et sa disparition soudaine des registres officiels alimente les spéculations.

Dès 1985, il s’installe définitivement en Alsace, région-clé pour de nombreux réseaux discrets. Or, c’est précisément en Alsace que l’identité « Brigitte » se solidifie, avant d’arriver officiellement à Amiens dans l’éducation nationale. Cette transition d’identité est-elle le fruit d’un programme structuré, orchestré par des forces supérieures ?

Une transition identitaire protégée au plus haut niveau

Dès 1991/1992, Brigitte apparaît officiellement au lycée La Providence d’Amiens, où elle rencontre immédiatement Emmanuel Macron, alors adolescent. L’influence qu’elle exerce sur lui est immédiate. Or, ce lycée privé catholique bénéficie d’une protection institutionnelle de premier ordre. Ce cadre a-t-il été choisi pour sécuriser l’implantation de la nouvelle identité de Jean-Michel Trogneux, devenu Brigitte Macron?

Plus troublant encore : l’accession de Brigitte Macron à la sphère publique s’est accompagnée d’un verrouillage total des informations sensibles. Aucun document officiel sur sa jeunesse, ses diplômes ou son état civil n’est accessible. Toute tentative d’enquête indépendante sur Jean-Michel Trogneux se heurte à une répression judiciaire immédiate.

Si la thèse d’une simple transition de genre peut être avancée, elle n’explique pas l’extrême protection dont bénéficie Brigitte Macron, ni les moyens colossaux déployés pour effacer toute trace de Jean-Michel. Pourquoi une telle omerta institutionnelle? Qui protège cette identité et dans quel but ?

Le rôle du programme MK Ultra dans la modification du réel

Le programme MK Ultra, officiellement lancé en 1953, visait à contrôler et manipuler l’esprit humain à des fins politiques. Son objectif? Créer des identités artificielles, effacer et reprogrammer des individus pour les implanter dans des cercles stratégiques.

Si Brigitte Macron est le résultat d’un tel projet, cela signifie que l’identité peut être manipulée au plus haut niveau pour façonner les dirigeants de demain. La matrice de la réalité est-elle modifiable à ce point? L’histoire que nous acceptons est-elle une simple mise en scène ?

Les États-Unis ont-ils implanté un modèle d’infiltration sociale pour influencer la politique française? Candace Owens, journaliste et activiste américaine, a affirmé que le dossier Brigitte Macron révélait une ingérence des services américains dans la destruction des États-nations traditionnels. La trajectoire du couple présidentiel français s’inscrit-elle dans cette stratégie de démolition ?

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3 réponses

  1. Un petit enfant capricieux se met à crier : Donald si tu fais pas pression sur Candace pour qu’elle arrête ses trucs je vais soutenir les danois pour te contrer au groenland !!! Ouinnn !

  2. Rappelez-vous les infos d’Assange en 2012 sur l’interception d’un mail américain qui demandait à Hollande de faire entrer Macron au gouvernement.

  3. Au printemps 1977, Jean Michel Trogneux beau comme un jeune soldat luciférien de 32 ans et un mois était en mesure de participer à la conception d’Emmanuel Macron. Reste à déterminer qui fût la vraie mère:
    — Françoise Noguès remplit à merveille le rôle de mère administrative , c’est déjà ça faute de preuve de preuve contraire
    — Fut- elle la mère biologique? La question reste entière mais la probabilité est également sérieuse
    — Reste également la possibilité de l’éprouvette suivi de la couveuse auquel cas l’ovule aurait pu être félibrée par une autre femme…à moins qu’il ne s’agisse d’une mère porteuse
    — Reste aussi la possibilité d’une mère biologique inconnue à ce jour dont la physionomie serait proche de celle d’Emmanuel.
    Ceci ressemble fort à une opération de MK ultra au cours de laquelle on aurait mis en avant l’habitus d’inceste des hautes élites afin d’atteindre cet acmé du vice en conformité avec l’androgénie de leur dieu à tête de bouc .

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